Agrandir le plan
Point de presse d’E. Ahamed
ministre indien des Affaires étrangères
L’Inde veut contribuer à l’essor des nouvelles technologies en Algérie”
Par : Mohamed Mouloudj
En visite de deux jours à Alger, sur invitation de son homologue algérien, E. Ahamed, ministre indien des Affaires étrangères, a indiqué que sa venue sera une occasion de rehausser le partenariat économique et politique avec l’Algérie.
Au sujet de la situation qui prévaut dans la région, le chef de la diplomatie indienne indique que “l’Inde ne soutient aucune intervention militaire étrangère dans des pays souverains”. Allusion faite au conflit malien et à l’intervention militaire française au Nord-Mali depuis janvier dernier.
Pour le ministre indien, son pays soutient, en revanche, toute initiative politique émanant des Maliens, seuls, à ses yeux, aptes à choisir leur destinée. “Au Mali, il y avait un gouvernement avant le putsch. C’est aux Maliens de choisir la solution adéquate à leur problème”, a-t-il souligné, avant d’évoquer la question du terrorisme : “Nous combattons le terrorisme pour renforcer la démocratie, mais nous collaborons d’une manière très étroite avec d’autres pays”, a-t-il souligné, avant de préciser que l’évaluation de la situation géopolitique dans la région figure au menu de sa visite. “L’Inde appelle les parties en conflit en Syrie à cesser la violence”, seul préalable, selon lui, “au règlement du problème”.
À propos de sa visite de deux jours, qui prendra fin aujourd’hui, le ministre a souligné que sa venue entre dans le cadre du renforcement des relations bilatérales entre les deux pays. “L’inde était, en 2011, le 10e partenaire économique de l’Algérie avec 3,4 milliards de dollars d’échanges”, a-t-il indiqué, précisant que “cela reste insuffisant” eu égard “aux relations historiques qui lient les deux pays”. Le ministre a évoqué, dans ce sens, le soutien de son pays à la cause indépendantiste algérien dès le Congrès de Bandung en 1955 et l’ouverture de la représentation diplomatique indienne en Algérie “seulement 3 mois après la proclamation de l’Indépendance de l’Algérie”. “Le FLN, par le biais de Ferhat Abbas, a inauguré, dès 1959, son bureau à New Delhi”, a encore indiqué l’hôte de l’Algérie, qui a aussi mis l’accent sur les différentes visites officielles entre les responsables des deux pays, à l’image de la visite d’officiels indiens en Algérie durant les années 1980, et la visite de Bouteflika en Inde en 2001.
Dans les échanges entre les deux pays, le ministre indien estime que “son pays est déficitaire”, du fait, a-t-il précisé, “le recours de l’Inde à l’achat du gaz et du pétrole algériens sur le marché mondial”. Ceci étant, il a émis le vœu “de signer un protocole d’accord avec Sonatrach pour approvisionner l’Inde”, sans passer par le marché mondial.
Interrogé sur les raisons de ces faibles échanges entre les deux pays, malgré les relations historiques, le ministre indien a souligné que cela dépendait de la volonté des deux pays. Il a souligné, par ailleurs, que “l’Inde est disposée à aider l’Algérie dans le développement des nouvelles technologies de l’information, des services, de la pétrochimie…” “Au cours de cette visite, nous allons proposer l’aide de l’Inde à l’Algérie dans les domaines des technologies de l’information, de la pétrochimie, des services, des chemins de fer...”, a indiqué le ministre, rappelant, qu’en 2011, l’Inde a lancé le satellite algérien Alsat 1. “Nous allons aussi proposer la création de centre géo-informatique pour le développement rural”, a encore informé le ministre. Pour résumer les propositions avec lesquelles M. E. Ahamed est venu, il dira que “l’Inde souhaite participer au programme économique algérien de plus de 200 milliards de dollars”. En soutenant que son pays souhaite aussi partager son expérience et son savoir-faire avec les Algériens, en initiant des échanges culturels et touristiques entre les deux populations.
Au sujet de la situation qui prévaut dans la région, le chef de la diplomatie indienne indique que “l’Inde ne soutient aucune intervention militaire étrangère dans des pays souverains”. Allusion faite au conflit malien et à l’intervention militaire française au Nord-Mali depuis janvier dernier.
Pour le ministre indien, son pays soutient, en revanche, toute initiative politique émanant des Maliens, seuls, à ses yeux, aptes à choisir leur destinée. “Au Mali, il y avait un gouvernement avant le putsch. C’est aux Maliens de choisir la solution adéquate à leur problème”, a-t-il souligné, avant d’évoquer la question du terrorisme : “Nous combattons le terrorisme pour renforcer la démocratie, mais nous collaborons d’une manière très étroite avec d’autres pays”, a-t-il souligné, avant de préciser que l’évaluation de la situation géopolitique dans la région figure au menu de sa visite. “L’Inde appelle les parties en conflit en Syrie à cesser la violence”, seul préalable, selon lui, “au règlement du problème”.
À propos de sa visite de deux jours, qui prendra fin aujourd’hui, le ministre a souligné que sa venue entre dans le cadre du renforcement des relations bilatérales entre les deux pays. “L’inde était, en 2011, le 10e partenaire économique de l’Algérie avec 3,4 milliards de dollars d’échanges”, a-t-il indiqué, précisant que “cela reste insuffisant” eu égard “aux relations historiques qui lient les deux pays”. Le ministre a évoqué, dans ce sens, le soutien de son pays à la cause indépendantiste algérien dès le Congrès de Bandung en 1955 et l’ouverture de la représentation diplomatique indienne en Algérie “seulement 3 mois après la proclamation de l’Indépendance de l’Algérie”. “Le FLN, par le biais de Ferhat Abbas, a inauguré, dès 1959, son bureau à New Delhi”, a encore indiqué l’hôte de l’Algérie, qui a aussi mis l’accent sur les différentes visites officielles entre les responsables des deux pays, à l’image de la visite d’officiels indiens en Algérie durant les années 1980, et la visite de Bouteflika en Inde en 2001.
Dans les échanges entre les deux pays, le ministre indien estime que “son pays est déficitaire”, du fait, a-t-il précisé, “le recours de l’Inde à l’achat du gaz et du pétrole algériens sur le marché mondial”. Ceci étant, il a émis le vœu “de signer un protocole d’accord avec Sonatrach pour approvisionner l’Inde”, sans passer par le marché mondial.
Interrogé sur les raisons de ces faibles échanges entre les deux pays, malgré les relations historiques, le ministre indien a souligné que cela dépendait de la volonté des deux pays. Il a souligné, par ailleurs, que “l’Inde est disposée à aider l’Algérie dans le développement des nouvelles technologies de l’information, des services, de la pétrochimie…” “Au cours de cette visite, nous allons proposer l’aide de l’Inde à l’Algérie dans les domaines des technologies de l’information, de la pétrochimie, des services, des chemins de fer...”, a indiqué le ministre, rappelant, qu’en 2011, l’Inde a lancé le satellite algérien Alsat 1. “Nous allons aussi proposer la création de centre géo-informatique pour le développement rural”, a encore informé le ministre. Pour résumer les propositions avec lesquelles M. E. Ahamed est venu, il dira que “l’Inde souhaite participer au programme économique algérien de plus de 200 milliards de dollars”. En soutenant que son pays souhaite aussi partager son expérience et son savoir-faire avec les Algériens, en initiant des échanges culturels et touristiques entre les deux populations.
LIBERTE
radio web europe
patrick le berrigaud
अल्जीरिया के साथ अल्जीरिया भारत श्री अहमद Pursat आर्थिक और राजनीतिक साझेदारी की. 2013
الجزائر السيد أحمد بورسات شراكة الهند الاقتصادية والسياسية مع الجزائر. 2013
Algeria India Mr Ahamed Pursat economic and political partnership with Algeria. 2013
Algerium India Mr Ahamed Pursat oeconomicam et politicam societatem Algerium. MMXIII
अल्जीरिया के साथ अल्जीरिया भारत श्री अहमद Pursat आर्थिक और राजनीतिक साझेदारी की. 2013
الجزائر السيد أحمد بورسات شراكة الهند الاقتصادية والسياسية مع الجزائر. 2013
Algeria India Mr Ahamed Pursat economic and political partnership with Algeria. 2013
Algerium India Mr Ahamed Pursat oeconomicam et politicam societatem Algerium. MMXIII
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire