Le Premier ministre algérien, Mr Ahmed Ouyahia a annoncé vendredi à la presse une hausse de 20% du salaire minimum. Ce dernier passera de 150 à 180 euros en janvier prochain.
"Le salaire minimum a augmenté de 20% (elle sera effective en janvier 2012) après avoir augmenté de 30% en décembre 2009. En moins de deux ans, il a augmenté de 50%", a affirmé le Premier ministre à la presse après l'avoir annoncé à la clôture de la réunion tripartite entre le gouvernement, le patronat et le syndicat officiel.
Cette réunion avait débuté jeudi à Alger en présence du chef du gouvernement entouré de cinq ministres, de sept organisations patronales et de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), le syndicat officiel. Les syndicats autonomes, majoritaires dans la fonction publique et qui contestent la représentativité de l'UGTA n'avaient pas été conviés à cette rencontre.
Huit points étaient à l'ordre du jour. Outre l'augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG), ils portaient sur la protection de la production nationale, le dossier des retraites ou encore l'évaluation des mesures décidées lors de la dernière tripartite en mai.
Près de 200 mesures économiques avaient alors été satisfaites. Une réunion d'évaluation de l'état d'avancement des mesures prises ces 29 et 30 septembre se tiendra en mars 2012.
La dernière réunion de ce type qui avait eut lieu fin mai, avait débouché sur des décisions économiques pratiques dont la révision du controversé crédit documentaire accusé de ralentir les approvisionnements venant de l'étranger.
le fiagro
"Le salaire minimum a augmenté de 20% (elle sera effective en janvier 2012) après avoir augmenté de 30% en décembre 2009. En moins de deux ans, il a augmenté de 50%", a affirmé le Premier ministre à la presse après l'avoir annoncé à la clôture de la réunion tripartite entre le gouvernement, le patronat et le syndicat officiel.
Cette réunion avait débuté jeudi à Alger en présence du chef du gouvernement entouré de cinq ministres, de sept organisations patronales et de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), le syndicat officiel. Les syndicats autonomes, majoritaires dans la fonction publique et qui contestent la représentativité de l'UGTA n'avaient pas été conviés à cette rencontre.
Huit points étaient à l'ordre du jour. Outre l'augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG), ils portaient sur la protection de la production nationale, le dossier des retraites ou encore l'évaluation des mesures décidées lors de la dernière tripartite en mai.
Près de 200 mesures économiques avaient alors été satisfaites. Une réunion d'évaluation de l'état d'avancement des mesures prises ces 29 et 30 septembre se tiendra en mars 2012.
La dernière réunion de ce type qui avait eut lieu fin mai, avait débouché sur des décisions économiques pratiques dont la révision du controversé crédit documentaire accusé de ralentir les approvisionnements venant de l'étranger.
le fiagro
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire