Algerie Europe coopération durable

Algerie Europe coopération durable
Patrick le Berrigaud

lundi 31 octobre 2011

Le président de la République Mr Abdelaziz Bouteflika métro d’Alger

Le président Bouteflika inaugure le poste de commande centralisée du métro d’Alger
ALGER - Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a inauguré lundi à Alger le poste de commande centralisée du métro d’Alger, situé au niveau des Annassers (ex-Ruisseau). D’une longueur initiale de 9,5 km, le métro d’Alger desservira dix stations implantées dans les communes de Bachdjarah, El Magharia, Hussein Dey, Sidi M’hamed et Alger-Centre.
Le projet du métro d’Alger comprend plusieurs extensions en vue d’atteindre, en 2020, un réseau de 40 km allant de Dar El Beïda à Draria.
Faute de ressources financières, ce projet lancé au début des années 1980, avait été suspendu pendant plusieurs années, voire totalement mis à l’arrêt, avant d’être relancé à la faveur du Plan de soutien à la relance économique 2000-2005 et du Plan complémentaire de soutien à la croissance 2005-2009.
Le projet aura coûté 90 milliards DA sans les travaux d’extension, dont une bonne partie a été déjà engagée et qui devraient porter à 139 milliards DA son coût total, rappelle-t-on.
Les essais à blanc, avant l’exploitation commerciale du métro d’Alger, avaient débuté l’été dernier, une dizaine de rames ayant effectué plusieurs rotations de jour comme de nuit.APS

Algerie Cetival stations solaires

 

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Cevital prêt à investir dans la réalisation de stations solaires de 600 MW

Dimanche 30 octobre 2011
Placer des raffineries de sucre de production algérienne de différentes capacités de production sur le marché traditionnellement sous l’emprise de puissances économiques comme les Etats-Unis et l’Europe n’est pas chose aisée pour un opérateur d’un pays émergent.

Algerie inauguration du métro d'Alger

 Le métro d’Alger sera inauguré lundi par le président Mr Abdelaziz Bouteflika ainsi qu’une visite au centre de contrôle du métro situé à Hussein Dey. Le métro d’Alger, d’une longueur initiale de 9,5 km entrera en service dès le 1er novembre prochain et il reliera la Grande Poste au quartier Al Badr à Kouba (sud-est). La société RATP-El Djazaïr est chargée de l’exploitation du métro avec plus de 400 agents. Son fonctionnement est prévu sept jours sur sept de 5h du matin à 23h. Le métro d’Alger permettra de transporter plus de 25 000 personnes par heure.

dimanche 30 octobre 2011

Algerie France Unesco matière d'éducation.

Algérie / Unesco : Le ministre de l'Education s'entretient à Paris avec la directrice générale de l'Unesco Le ministre de l’Education nationale, M. Boubekeur  Benbouzid, a été reçu vendredi soir en audience par la directrice générale de l’Unesco, Irina Bukova, en marge de la 36e session de la Conférence générale de l’organisation onusienne, qui se tient depuis le 25 octobre à Paris.
Lors de cette entrevue à laquelle a pris part l’ambassadeur de l’Algérie à Paris, M. Missoum Sbih, les deux parties ont souligné l'"excellence" des relations entre l’Algérie et l’Unesco en matière d'éducation.
Ils ont évoqué, à cette occasion, les deux programmes d’appui à la réforme du système éducatif (PARE1-PARE2) et affiché leur satisfaction quant aux résultats auxquels est parvenue leur mise en œuvre.
M. Benbouzid et Mme Bukova ont émis le souhait de poursuivre cette coopération dans le cadre d’un nouvel élan devant raffermir les liens qui unissent l’Algérie et l’Unesco.
Le ministre a exprimé, à cette occasion, son souhait de voir la directrice générale de l’Unesco effectuer une visite en Algérie dans un proche avenir pour justement consolider l’élan de coopération entre Alger et l’organisation onusienne.
La 36e Conférence générale de l’UNESCO s’est ouverte mardi dernier à Paris avec en point de mire l’éducation et ses défis, et l’adhésion de la Palestine à l’organisation onusienne.
L’Algérie y prend part avec une forte délégation interministérielle (Education, Enseignement supérieur et Recherche scientifique, Formation professionnelle, Culture, Communication) conduite par M. Benbouzid. 
Le ministre avait prononcé vendredi une allocution officielle devant la 36e session de la Conférence générale de l’Unesco.
 
APS

samedi 29 octobre 2011

Métro d'Alger 1914 première étude de construction

Deux Guerres Mondiales et une guerre de Libération ont été nécessaires pour voir le démarrage du métro d'Alger.
La première étude de sa construction a été déposée en 1914, suivie de plusieurs autres en 1925, 1929, 1934 mais ce n'est qu'en 1982 que l'étude a été validée et approuvée, et ce n'est qu'en 2011 qu'il sera mis en service. En comparaison, le Métro de Tunis a été mis en service en 1985 et celui de Casablanca le sera en 2015.
La première section de chemin de fer au Maghreb a été réalisée entre Alger et Blida en 1862 sur une distance de 51 kilomètres, celle de Tunis en 1875 et celle du Maroc en 1900, à des fins économiques et militaires.l'expression

Alger délégation américaine

Une délégation américaine en visite de trois jours à Alger
Une délégation de douze opérateurs économiques et conseillers américains est attendue aujourd'hui à Alger pour une visite de trois jours. Elle sera dirigée par Mme Lorraine Hariton, représentante spéciale des affaires commerciales au Département d'État américain. Le déplacement de cette délégation intervient dans le cadre du Partenariat nord-africain pour les opportunités économiques (NAPEO) dont l'objectif est de renforcer les relations de partenariat et des échanges commerciaux entre les deux pays.

vendredi 28 octobre 2011

Algerie Air Algérie paiement par carte de crédit au Canada

La représentation au Canada de la compagnie aérienne nationale vient d’obtenir le feu vert pour lancer le système de paiement par carte de crédit Visa et Mastercard.

Depuis deux jours, les passagers qui veulent acheter leurs billets de Montréal à Alger, destination ou en correspondance, peuvent utiliser leurs cartes de crédit Visa ou Mastercard pour payer leur voyage.
L’opération a déjà profité à quelques passagers qui se sont déplacés à l’agence de la rue Sherbrooke au centre ville de Montréal. Ils étaient surpris de voir les logos de ces deux modes de paiement affichés à l’entrée de la représentation montréalaise d’Air Algérie.

Algerie dynamique démographique stratégie de développement

La dynamique démographique doit être prise en compte dans toute stratégie de développement
ALGER - La dynamique démographique et la structure par âge de la population doivent être prises en ligne de compte dans toute stratégie de développement en Algérie, a recommandé mercredi à Alger, la directrice de la population au ministère de la santé, de la population et de la réforme hospitalière (MSPRH), Mme Nassira Keddad.

Algerie investissement touristique

Une étude en cours pour déterminer les zones à recevoir de nouveaux projets (ministre)
BLIDA - Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Smail Mimoune, a fait état jeudi à Blida, de l’existence d’une étude en cours de réalisation pour déterminer au niveau national les zones "habilitées à recevoir de nouveaux investissements touristiques".APS

jeudi 27 octobre 2011

Alger label de coopération Algerie France

.Relais entre hier et demain, le patrimoine bâti est un outil de développement local au service du territoire.
Support pour dynamiser l’emploi, il a un rôle social (chantiers d’insertion) et un impact
sur le cadre de vie et l’attractivité du territoire.
Comprennent les matériaux, les techniques, les savoir-faire. C’est-à-dire construction et compétence du constructeur. Nous sommes dans le champ de l’habitat, du bâti.
Et si votre espace de travail se pliait à toutes vos exigences professionnelles et personnelles ?Organiser une réunion dans un lieu prestigieux, établir votre entreprise sur un nouveau territoire, développer vos ressources internes… Vos besoins en immobilier d’entreprise sont multiples et évoluent avec votre activité, centre d'affaires les "Arcades de l 'Amirauté" situé à coté de la Chambre de Commerce Algérienne vous accompagne dans tous vos projets.1 boulevard Amilcar Cabral
Notre centre d’affaires vous permettent d’assortir votre location de bureaux équipés, de salles de réunion ou votre domiciliation à une large gamme de services professionnels adaptés à vos besoins.

Fonctionnels, flexibles, équipés de technologies de pointe et immédiatement disponibles, les espaces de travail répondent à toutes vos exigences professionnelles et budgétaires.Notre savoir-faire repose sur une solide connaissance de la règlementation locale et une longue pratique des hommes, des circuits décisionnels et des principaux acteurs économiques du marché.
En dehors de nos propres experts, nous avons développé un important maillage de partenaires, choisis pour leur professionnalisme, et nécessaires à la concrétisation de vos projets d’implantation en Algérie.Nous vous accompagne tout le long de votre projet d'implantationn,Nos experts peuvent vous aider dans la gestion de votre entreprise par :
Le recrutement du personnel
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•Pour vous informer des réglementations en vigeur
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•Pour vous conseiller pour vos déclaration d'impôts
Réseau Viadeo
http://www.viadeo.com/profile/0022c0drh9jv1q6c/fr/?readOnly=true&ga_from=Fu:/tableaudebord/accueil/index.jsp;Fb%3Atopmenu%3BFe%3AL2%2Bdrop_see%3B plbdeu@gmail.com merçi pour votre visite

Algérie croissance économique

La chef de la mission du Fonds Monétaire International (FMI), Mr Joel Tojas-Bernaté  a  affirmé à Alger que la  croissance économique en Algérie, qui est à 2 et 3% est plus que  satisfaisante. Estimant qu’elle reste  solide notamment dans le secteur hors hydrocarbures.

Algerie DESERTEC Thesis Award Mr Mohammad Hassouna

Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

Un chercheur algérien lauréat du deuxième prix du DESERTEC Thesis Award pour la région MENA


Il est primordial d’investir dans la nouvelle génération d’universitaires pour un développement des énergies renouvelables durable et prospère en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.
Le DESERTEC Thesis Award récompense des travaux universitaires remarquables du domaine des énergies renouvelables issues des déserts de cette région. Les gagnants recevront leur prix durant la conférence annuelle de Dii en novembre 2011 au Caire.

mercredi 26 octobre 2011

Algerie FMI secteur privé investissements publics

Le secteur privé doit prendre le relais des investissements publics en Algérie selon le FMI.
Joël Toujas-Bernaté, chef de division du département Moyen Orient – Asie centrale au Fonds monétaire internaitonal (FMI), appelle la Banque d’Algérie à être « vigilante » quant aux pressions inflationnistes qui pourraient se manifester suite aux hausses des rémunérations dans la Fonction publique. Mais aussi d’appeler les autorités nationales à rationaliser les dépenses courantes, d’autant que les dépenses de fonctionnement qui revêtent un caractère d’« incompressibles » et visent à répondre aux besoins sociaux et de « rattrapage » salarial, réduisent néanmoins la marge de manœuvre en matière d’investissements. Soit améliorer la maîtrise et le ciblage des dépenses, y compris les salaires et les transferts sociaux. Mais aussi le FMI de prévenir quant aux risques d’effondrement des prix pétroliers, en raison du ralentissement possible de l’économie mondiale qui pourrait se traduire par la fragilité des équilibres budgétaires de l’Algérie. La mission du FMI observe que « le PIP ne plus jouer un rôle dynamique », d’autant qu’il atteint, selon Joël Toujas-Bernaté, son « plafond ».
D’où la nécessité de développer « d’autres moteurs de croissance », selon le FMI qui estime que le secteur privé doit prendre le relais, jouer « un rôle plus dynamique et créateur d’emplois ». En d’autres termes, l’instance internationale appelle l’Algérie à relever le « défi » de la diversification de l’économie à même d’être moins dépendante des hydrocarbures, en développant l’investissement privé. Soit œuvrer à améliorer davantage le climat des affaires en Algérie dont la perception reste « assez peu favorable » et même si la mission du FMI a salué les initiatives gouvernementales prises lors des récentes rencontres tripartites en faveur de la PME et de l’amélioration de de l’environnement de l’entreprise et qui reflètent une « prise de conscience ». Comme il s’agit de poursuivre le processus de modernisation du système financier et bancaire, notamment en matière d’évaluation des risques et de lancement de nouveaux crédits. Dans cet ordre d’idées, le représentant du FMI trouve « normal » que la Banque d’Algérie maintienne les placements des réserves de change en bons du Trésor américain. Dans la mesure où les fondamentaux économiques des Etats-unis restent solides et que les investisseurs étrangers aient gardé leurs titres du Trésor américain dans leurs portefeuilles.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après le Soir d’Algérie

Algerie Autriche Europe opportunités de coopération

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Des hommes d’affaires autrichiens montrent leur ntérêt pour les énergies renouvelables


Une délégation d’hommes d’affaires autrichiens représentant vingt-deux entreprises a effectué hier, une visite dans notre pays, destinée à explorer les opportunités de coopération qu’offre l’Algérie et à tisser des partenariats avec des entreprises algériennes.
Initiée par la section commerciale de l’Ambassade d’Autriche à Alger, cette mission s’inscrit dans le cadre d’une stratégie d’internationalisation des entreprises autrichiennes et leur promotion dans la région du Maghreb notamment l’Algérie. Profitant de cette opportunité, les hommes et femmes d’affaires autrichiens auront le loisir de rencontrer leurs homologues algériens dans le but de faire connaître leurs produits et d’examiner les moyens de sceller de nouveaux partenariats.
S’exprimant, lors d’une conférence de presse organisée, à Alger le conseiller commercial de l’ambassade d’Autriche à Alger, Mme Ulrike Straka a souligné que "l’Algérie constitue le troisième partenaire économique africain et le premier dans la région du Maghreb pour l’Autriche". Selon elle, les PME constituent la principale composante du tissu économique des deux pays. Dans le cadre d’une stratégie de focalisation pour définir les nouveaux champs de coopération avec l’Algérie dans les deux années qui viennent, Ulrike Straka a fait savoir que "sa section commerciale mettra l’accent sur les secteurs des énergies renouvelables, de la santé et des travaux publics". Elle dira dans ce contexte que "des études et des analyses de marché pour ces secteurs sont en cours d’élaboration et seront présentées lors de séminaires et colloques en Autriche afin d’éveiller l’intérêt envers les opportunités d’affaires offertes par le marché algérien. Avant d’ajouter que cette mission comprend des entreprises opérant notamment dans plusieurs secteurs tels la photovoltaïque et thermique, les stations d’épuration des eaux usées, la fibre optique, les câbles pour les infrastructures et TP, l’éclairage public, etc. De son côté, l’un des représentant de l’entreprise Obermeyer Bernard, composée d’ingénieurs conseils et architectes, a fait savoir qu’ils sont actifs en Algérie depuis 2005 et essayent, à travers la soumission aux appels d’offres d’élargir leurs activités dans les différent domaines notamment, le bâtiment. Enfin, il est à noter que, le volume des échanges commerciaux bilatéraux a atteint environ 200 millions d’euros en 2010.
Makhlouf Ait Ziane, El Moudjahid

Déssimination du programme FP7 Europe Algerie

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La direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique organise la deuxième journée de dissémination de l’information sur le programme européen FP7.

mardi 25 octobre 2011

Algerie FMI salue les performances macroéconomiques

A l’issue d’une mission de deux semaines à Alger : Le FMI salue les performances macroéconomiques

Le Fonds monétaire international (FMI) a salué, hier à Alger, les performances macroéconomiques enregistrées par l'Algérie en 2011, tout en appelant les autorités du pays à mieux "rationaliser" les dépenses publiques, diversifier l'économie nationale et améliorer davantage le climat des affairesLe Fonds monétaire international (FMI) a salué, hier à Alger, les performances macroéconomiques enregistrées par l'Algérie en 2011, tout en appelant les autorités du pays à mieux "rationaliser" les dépenses publiques,  diversifier l'économie nationale et améliorer davantage le climat des affaires.          .elmoudjahid.dz

Algérie Qatar la coopération dans le domaine de l’habitat

Algérie-Qatar : la coopération dans le domaine de l’habitat au centre de discussions à Alger
ALGER - Le ministre de l’Habitat et de l’urbanisme, Nouredine Moussa, s’est entretenu lundi à Alger avec l’ambassadeur du Qatar en Algérie, Abdallah Nacer Abdallah El Hamidi, sur les moyens de renforcer la coopération bilatérale, notamment dans la réalisation de projets de logements, indique un communiqué du ministère.APS

Algerie PNR Innovation : Projets nationnaux de recherche innovants

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Dans le cadre des Programmes Nationaux de Recherche, l’Agence Nationale pour le Développement de la Recherche Universitaire, sous l’égide de la Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique, lance les Projets de Recherche "Innovation"
Les enseignants chercheurs, hospitalo‐universitaires, chercheurs permanents, doctorants, chercheurs algériens établis à l’étranger, cadres des différents secteurs d’activités nationales sont appelés à identifier des problématiques réelles du secteur socioéconomique et à proposer des solutions, des idées innovantes et des projets créatifs.
Cet appel à projets, dans la continuité de celui lancé par la Direction générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique DGRS-DT en 2010 ayant permis de financer plus de 2600 projets de recherche, a pour objectif de sélectionner les projets porteurs dans le secteur socioéconomique, de permettre aux chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants et cadre nationaux de participer par leur créativité à l’effort national de transférer, pour en faire profiter, les connaissances scientifiques cumulées dans les établissements de recherche vers l’entreprise et la société.
Les propositions, inscrites dans la stratégie nationale de recherche, devront répondre à plusieurs critères qui seront appréciés par un jury compétant (voir critères et modalités de sélection).
La date limite pour la soumission est fixée au 15 novembre 2011 pour une publication de la liste des projets retenus à la fin de l’année 2011.
Les objectifs tracés ont pour ambitions d’assurer le transfert du savoir aux acteurs économiques et sociaux de favoriser l’enracinement de la culture de l’innovation dans la société et initier la mise en place de réseaux et de dispositifs de co‐élaboration du savoir.
L’Algérie a inscrit la recherche scientifique comme facteur essentiel de soutien et d’accompagnement à sa stratégie de développement. Cette politique s’est concrétisée par la mise en place d’un dispositif institutionnel et d’importants investissements financiers. La volonté est de mettre en place un système national de recherche qui soit opérationnel, performant et surtout à même de conduire le pays vers l’économie du savoir.
Dans l’économie du savoir, le système scientifique doit établir un équilibre non seulement entre ses fonctions de production du savoir (recherche) et de diffusion du savoir (enseignement et formation), mais également avec sa troisième fonction de transfert du savoir aux acteurs économiques et sociaux, en particulier aux entreprises, qui auront à l’exploiter. Il s’agit d’un élément capital qui déterminera l’aptitude du pays à assimiler et maximiser la contribution de la science à la technologie et de là au développement de procédés de réalisation et de production à grande échelle de produits et (ou) de service.
Sous l’influence de la mondialisation et des nouvelles technologies, il s’avère que l’innovation est désormais au coeur même du processus de développement économique. L’entreprise, si elle se veut compétitive, se doit de suivre un contexte en pleine mutation et réagir afin de s’adapter. La mission désormais assignée à la recherche est donc de s’orienter vers l’aptitude à apporter des réponses, réactives, aux besoins spécifiques de la société et se mettre en lien avec l’entreprise afin de favoriser le développement économique attendu. L’innovation, avec la recherche et l’enseignement, sera le troisième maillon dans la chaine du développement.
Les projets "innovation"
L’innovation est la mise en application d’idées nouvelles et de résultats de recherche. Il s’agit de l’achèvement de processus de découvertes évoluant en phases. Vient, en premier lieu, la conscience du besoin laquelle stimule la réflexion. La recherche scientifique s’attelle ensuite à cerner les réponses. Suivent les stades successifs de la mise au point, de la production et de la commercialisation et, enfin, la mise en vente et la conquête du marché.
L’innovation peut prendre de nombreuses formes : Ce peut être des ajouts ou améliorations apportés à des produits déjà existants, l’application d’une technologie à de nouveaux marchés, ou encore l’utilisation de nouvelles technologies pour alimenter et booster des marchés déjà assis. L’innovation nécessite donc une intense communication entre les différents acteurs — entreprises, laboratoires, établissements universitaires et consommateurs — ainsi que des allers-retours entre les volets science, technique, développement des produits, fabrication et commercialisation. L’innovation résulte donc des multiples interactions d’une communauté d’agents économiques et d’établissements qui, ensemble, forment un système d’innovation.
Les germes de l’innovation proviennent principalement de l’identification de besoins. C’est dans ce contexte que les projets "innovation" sont lancés. La communauté des chercheurs est appelée à identifier des problématiques réelles du secteur socioéconomique et à proposer des solutions, des idées innovantes et des projets créatifs.
L’objectif premier est de favoriser l’enracinement de la culture de l’innovation dans la société en faisant des problèmes économiques, techniques et technologiques des objets de réflexion. Il s’agit également de à la création, dans la société, d’un esprit de collaboration multilatérale et d’assoir les conditions de changements évolutifs en mettant en place des dispositifs de partenariat dans l’élaboration du savoir et sa mutation vers l’efficience.
En termes d’innovation, deux types principaux sont identifiés :
Innovation de produit ou de service : Elle correspond à la mise au point d’un produit ou service nouveau ou de l’incorporation d’une nouveauté dans un produit ou service existant. Elle vise à modifier la qualité de ce produit ou de ce service afin d’évincer la concurrence ou élargir le marché. Elle peut intervenir en utilisant de nouveaux matériaux, en introduisant des éléments fonctionnels, en modifiant l’aspect ergonomique ou, plus radicalement, en introduisant un produit ou service alternatif. L’innovation en matière de produit et de service prend sa source dans les besoins non satisfaits des consommateurs.
Innovation de procédé : Elle correspond au changement dans l’organisation d’une chaine de fabrication ou de distribution, ou à la mise en oeuvre de nouvelles techniques ou méthodes de production en rapport avec un changement significatif dans l’équipement, les matériaux, le logiciel, la technologie, ou l’introduction d’une fonction radicalement nouvelle qui entraine une modification de fond dans le processus. L’innovation en matière de procédé prend sa source dans les besoins non satisfaits des entreprises. Les ensembles d’innovations de produit, service et de procédé s’entrecoupent du fait que certaines innovations de produit et de service requièrent des innovations de procédé pour assurer leur faisabilité, et que certaines innovations de procédé requièrent ou permettent des innovations de produit.
Nature et degré de l’innovation
L’innovation peut être l’application d’une percée scientifique, une innovation technique notable, une amélioration ou modification technique, le transfert d’une technique vers un secteur différent ou l’adaptation d’un produit existant à un nouveau marché. La nouveauté apportée peut l’être pour le monde entier, comme elle peut ne concerner que les secteurs socioéconomiques du pays, voir l’entreprise qui s’y attache uniquement. L’un des objectifs visés par les projets "innovation" est de promouvoir le transfert de technologie et l’acquisition du savoir faire dans l’entreprise nationale.
Communauté concernée par les projets "innovation"
Dans le cadre de la stratégie nationale de recherche, inscrite dans les différents textes réglementaires y afférant, tous les enseignants chercheurs, hospitalo-universitaires, chercheurs permanents, chercheurs algériens établis à l’étranger ainsi que tous les cadres des différents secteurs d’activités nationales sont appelés à participer dans l’effort national pour la promotion de l’innovation.
Domaines de l’innovation
L’innovation ne peut être restreinte à un domaine en particulier. Toutefois, l’Algérie a ses priorités. Elles sont inscrites dans les Programmes Nationaux de Recherche dont une partie est retenue comme thèmes privilégiés dans le programme quinquennal de développement 2010-2014 de la Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique. Les domaines prioritairement encouragés dans les projets innovation sont : la culture, la science et la société ; l’environnement et le développement durable ; Les sciences de l’organisation ; les sciences et génie des matériaux ; la vie et la santé ; les risques majeurs ; les technologies de l’information et de la communication ; l’agriculture, l’agro-ressource, l’agro-alimentaire, l’aquaculture et les ressources Halieutiques.
ANDRU
 

lundi 24 octobre 2011

La coopération franco-algérienne dans le domaine de la Santé

La coopération franco-algérienne dans le domaine de la Santé, et plus particulièrement dans le domaine hospitalo-universitaire, s’appuie sur les liens étroits existants, institutionnels et personnels, et notamment sur les relations établies entre les 10 Facultés de médecine algériennes et les CHU français,

Algerie partenariat international

Dans le cadre d’un partenariat international

Benmeradi annonce la réalisation d’une usine sidérurgique à Jijel

Une usine sidérurgique sera implantée dans la région de Bellara  à Jjijel, dans le cadre d’un partenariat international, a annoncé, dimanche 23 octobre, Mohamed Benmeradi, ministre de l’industrie, de la PME et de la promotion des investissements. Elle produira annuellement 5 millions de tonnes, a précisé le ministre devant les députés de l’APN. « Nous comptons conclure des partenariats internationaux notamment dans le domaine de la sidérurgie. Nous sommes sur le point de signer une convention de partenariat pour construire une usine d’une capacité de 5 millions de tonnes/an », a déclaré M. Benmeradi, qui s’exprimait à l’issue des débats sur le projet de loi de finances pour 2012.
 

dimanche 23 octobre 2011

Algerie ORAN 2012 forum Asie-Arabe sur l'énergie durable


Forum Asie-Arabe sur l'énergie durable en 2012 à Oran

La deuxième édition du Forum Asie-Arabe sur l'énergie durable se tiendra en mai 2012 à l'Université des sciences et de la technologie Mohamed-Boudiaf d'Oran (USTO), a annoncé hier à Oran le président de cette rencontre.La deuxième édition du Forum Asie-Arabe sur l'énergie durable se tiendra en mai 2012 à l'Université des sciences et de la technologie Mohamed-Boudiaf d'Oran (USTO), a annoncé hier à Oran le président de cette rencontre. Ce forum qui est prévu les 15 et 16 mai 2012 coïncidera avec le 4e workshop international sur le programme algéro-japonais "Sahara Solar Breeder" (SSB) dédié aux développements des technologies solaires, a précisé M. Amine Boudghène Stambouli. La mise en œuvre d'une vision d'avenir en matière d'approvisionnement énergétique, à l'appui du programme "SSB", constitue l'objectif majeur de ce prochain forum, a-t-il indiqué. Professeur à la faculté de génie électrique de l'USTO, M. Stambouli est également le manager scientifique du projet algéro-japonais lancé en janvier 2011 en partenariat avec un consortium de six universités et deux agences japonaises (JICA et JSTA). Cette opération doit permettre, dans un délai de cinq ans, l'acheminement de l'énergie solaire du sud vers la région nord du pays en vue d'alimenter les stations de dessalement de l'eau de mer. L'USTO bénéficiera de la création d'un centre de recherche dédié au développement des technologies solaires dans le cadre de ce programme de coopération qui prévoit aussi la réalisation d'une ferme solaire expérimentale à Saïda. Le Pr Stambouli s'exprimait à l'occasion d'une conférence en marge de la troisième journée du Salon international des énergies renouvelables, des énergies propres et du développement durable..elmoudjahid.dz

Alger le compromis idéal pour satisfaire au maximum vos exigences

Réduisez les charges de fonctionnement de votre entreprise tout en conservant fonctionnalité, confort et attrait dans votre espace de travail.
Centres d’Affaires Alger centre ,vous propose tout en respectant votre budget.
Alger le label s’inscrit dans une démarche de développement de coopération cente d’affaires Acades de l’AMIRAUTE ALGER entreprise spécialisée dans la mise à disposition d’espaces de travail pour les firmes. Ce centre vient ainsi consolider l’implantation en algerie Ce centre d’affaires donnera la possibilité aux entreprises nationales et internationales de s’installer dans des zones d’affaires stratégiques et en pleine expansion. Ce centre d’affaires permettra de ce fait d’accompagner la croissance et l’ouverture économique de ce pays. Il pourrait dans ce contexte favoriser l’établissement d’entreprises locales mais également de groupes internationaux désireux de se lancer sur le marché du Maghreb

Alger festival international du théâtre

Festival international du théâtre d’Alger : Du pain bénit sur les planches…

Ils sont venus pratiquement des quatre coins de la planète et notamment du monde arabe et africain célébrer le quatrième art : plus d’une dizaine de troupes ont ainsi répondu présent à l’invitation d’un pays qui sait tellement y faire en la matière.De notre envoyé spécial Amar Zentar

Algerie Rennes France échange culturel

Un échange culturel
Toufik Hedna est président de l'association rennaise Les amis d'Algérie. Celle-ci a pour objectif de tisser et de développer des liens amicaux franco-algériens, à travers aussi bien ses citoyens d'origine, que tous ceux qui sont nostalgiques et amoureux de l'Algérie, de son patrimoine, de son paysage, de son histoire, de sa culture, de ses traditions et de son peuple.
L'association organise en ce moment à Rennes et pour la 2 e année consécutive le festival culturel Rencontres avec l'Algérie. Dans ce cadre, des collégiens et lycéens du groupe scolaire Bouabdallah de Tlemcen, ville située au nord-ouest de l'Algérie à 520 km au sud-ouest d'Alger et consacrée capitale mondiale de la culture islamique pour 2011, sont accueillis à Rennes depuis le 15 octobre.
L'émission « Entre deux rives »

samedi 22 octobre 2011

Algerie développement et éthique : investir dans l’éducation et les institutions démocratiques

L’essence de la crise actuelle de l’économie mondiale est avant tout une crise morale puisque les logiques financières spéculatives l’emportent sur la sphère réelle et le travail. Pour le cas de l’Algérie, elle ne peut se comprendre sans la situer par rapport à la logique rentière où tout est irrigué par la rente des hydrocarbures.

Algerie les assises d’une révolution énergétique

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Les assises d’une révolution énergétique
Samedi 22 octobre 2011
Pays pétrolier et gazier, dont les gisements de Hassi R’mel, de In Salah ou les ports de Bethioua ou Skikda sont connus à l’échelle planétaire, l’Algérie a également pris de sérieuses options dans les énergies renouvelables pour les mettre au service du développement socioéconomique avec, toutefois, une dimension environnementale et écologique encore plus marquée avec ce recours aux énergies propres.
Le visiteur du Salon international pour la promotion des énergies propres essentielles au développement durable, que la ville d’Oran a abrité durant trois jours, s’en est bien rendu compte puisque une quarantaine d’entreprises algériennes, qui activent dans ce nouveau secteur , y étaient alignées. Certes, même si le point d’orgue de ce salon était la promotion des investissements et l’encouragement au partenariat, ce salon a aussi grandement contribué à faire connaître les expériences des pays participants dans leur utilisation de ces énergies propres. De nombreux experts et chercheurs algériens, dont certains sont venus des wilayas de l’Est et du Centre à leurs propres frais, ont fait le déplacement pour "voir"… Preuve, si l’en est, de l’importance pour le potentiel intellectuel algérien d’une manifestation pareille. Sur une surface de 7.000 m², 70 exposants algériens et étrangers, tous des professionnels dans ce secteur en plein essor, ont mis en exergue des solutions énergétiques, globales ou segmentées avec de nombreuses conférences pointues et plusieurs démonstrations. L’un des organisateurs de ce salon nous a confirmé ce qu’on annonçait déjà dans notre édition précédente : le choix d’Oran pour fixer la tenue de ce salon. Un choix réfléchi, nous dit-on, au vu du poids et de l’importance de cette ville dans le commerce mondial des énergies fossiles, la présence sur son territoire de grands complexes industriels et l’habitude prise par cette ville d’abriter des événements internationaux dans divers domaines, y compris et surtout énergétiques. Ceci sans compter l’attrait touristique de cette ville aéroportuaire.

Made in Algeria énergies renouvelables

Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

Des produits made in Algeria en attente d’être valorisés
A son deuxième jour, jeudi dernier, le deuxième Salon international des énergies renouvelables, des énergies propres et du développement durable (ERA 2011), qui se tient au Palais des sports d’Oran, attire autant de professionnels et d’opérateurs que de simples consommateurs d’énergie, des citoyens.Pour les premiers, ERA est l’occasion de découvrir les dernières évolutions et, si possible, établir des contacts pour des partenariats. Les consommateurs trouvent, eux, au salon les réponses tangibles à leurs questionnements sur l’usage des énergies renouvelables. Ils peuvent voir des appareils et des équipements dont ils entendaient jusque-là parler. Ils peuvent même assister, pour certains, à des démonstrations.La star du salon est incontestablement le panneau photovoltaïque. Les visiteurs découvrent son utilisation dans une pompe à eau qu’ils peuvent voir fonctionner dans le stand de l’entreprise italienne Green Energy SRL et comprennent son importance dans les zones mal desservies par le réseau électrique. A préciser que cette entreprise projette l’ouverture, en février 2012, d’une usine de fabrication de panneaux solaires à Béjaïa.
Le même intérêt est affiché pour le chauffe-eau solaire qu’on retrouve dans trois stands. Notre attention sera retenue par le chauffe-eau made in Algeria, l’unique exemplaire dans ce salon, qui est exposé chez Rayhane Aménagement. Mourad Ramdani, le directeur de cette entreprise basée à Oran, nous indiquera que son produit est agréé par le Centre de développement des énergies renouvelables depuis 10 ans, mais il n’a toujours pas bénéficié des 45% accordés dans le cadre du programme national d’appui pour l’intégration des énergies renouvelables qui était pris en charge par l’Agence pour la rationalisation de l’utilisation des énergies (Aprue) avant de passer dernièrement sous l’autorité de New Energy Algeria (Neal). Pis, des chauffe-eau tunisiens sont importés et commercialisés dans le cadre de ce même programme… La préférence nationale, qui est institutionnalisée, est allégrement et impunément piétinée sans qu’aucun responsable ne réagisse.Solargol est un autre opérateur qui a relevé le défi du made in Algeria et s’est lancé, lui, aussi, dans la fabrication de chauffe-eau. Le directeur-général de cette jeune start-up, Qaïs Hamadou, n’expose pas au salon mais y est chaque jour pour prendre des contacts et tâter le terrain. Il a d’ailleurs rencontré celui qui pourrait devenir son concurrent, M. Ramadani, dont l’expérience et la déconvenue l’ont grandement intéressé, différemment. M. Hamadou, que nous avons rencontré, nous expliquera que son produit, « qui est à 95% algérien », se distingue par rapport aux autres autant par sa conception épurée que par son prix. Dans le chauffe-eau de Solargol, le module photovoltaïque disparaît. Il est remplacé par une peinture spéciale, importée, – c’est les 5% – recouvrant le réservoir et qui capte les rayons de soleil. Quant au prix de l’appareil, il se situera autour de 70 000 dinars alors que les chauffe-eau importés sont vendus entre 110 000 et 150 000 dinars.Avis aux défenseurs du produit algérien et de la préférence nationale. Il suffirait d’une bonne décision, qui sera suivie du geste nécessaire, et la machine pourra partir. La dynamique sera dès lors enclenchée et elle ne pourra qu’aboutir à des résultats satisfaisants, d’autant plus qu’on enregistre un début de prise de conscience chez le citoyen qui ne demande qu’à être accompagné. Les politiques, les décideurs et les législateurs sont attendus sur ce terrain-là et leur responsabilité n’est pas grande, mais déterminante, voire vitale.
Hassan Gherab, La tribune

vendredi 21 octobre 2011

Alger organiser une réunion dans un lieu prestigieux

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Banque d’Algérie

Banque d’Algérie : trois mesures pour promouvoir les exportations hors hydrocarbures et l’entrepriseALGER- Le Conseil de la monnaie et du crédit (CMC), réuni à Alger, a pris trois mesures destinées à la promotion des exportations hors hydrocarbures et à l’amélioration de l’environnement de l’entreprise, indique jeudi la Banque d’Algérie dans un communiqué.
Lors de cette réunion présidée, par le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohammed Laksaci, le CMC a édicté un règlement modifiant et complétant le règlement n° 07-01 du 3 février 2007 relatif aux règles applicables aux transactions courantes avec l’étranger et aux comptes devises.
Ce règlement a pour objet de modifier les dispositions de l’articles 61 du règlement n° 07-01 relatif au délai de rapatriement des recettes d’exportation. Ainsi, ce délai passe de 120 jours à 180 jours, selon la Banque d’Algérie.
Le CMC a procédé également à la modification de deux instructions l’une relative au marché interbancaire des changes et l’autre à l’augmentation du taux de rapatriement des recettes d’exportation hors hydrocarbures.
Aux termes de la première instruction, la Banque d’Algérie autorise les banques à effectuer entre elles des opérations de prêt et d’emprunt en devises librement convertibles sur le marché interbancaire des changes.
"Les opérations de prêt/emprunt peuvent porter sur une période allant jusqu’à 180 jours", précise le communiqué. "Les opérations sus-visées doivent être dédiées exclusivement à la couverture du risque de change sur les opérations d’importation et d’exportation de biens", note la Banque d’Algérie.
La deuxième instruction concerne la modification de l’ancienne instruction portant sur le pourcentage des recettes d’exportation hors hydrocarbures et produits miniers effectivement rapatriés pouvant être utilisés librement à la discrétion des exportateurs et sous leur responsabilité.
Ainsi, le taux de rapatriement passe désormais de 20 à 40% de la part des recettes d’exportation ouvrant droit à l’inscription au compte devises de l’exportateur.
Ces trois mesures "entrent dans le cadre des actions prises par les pouvoirs publics dans les domaines de la promotion des exportations hors hydrocarbures et d’amélioration de l’environnement de l’entreprise, notamment de la PME", souligne la Banque d’Algérie.APS

Rapprochement culturel entre l’Algérie et l’Europe

L’exposition «Alger : regards croisés» se veut l’expression d’un rapprochement culturel entre l’Algérie et l’Europe.

Une dame en chapeau regarde des bateaux immobiles au large, un artisan fait des dessins sur une boîte en bois, un anonyme tire le museau d’un chien blanc dévoilant ses dents, un vieil homme se concentre sur le mouvement des vagues, un adolescent s’apprête à sauter à reculons dans des eaux lumineuses, une porte en fer forgé plongée dans une ambiance rouge sombre, des pêcheurs déploient les fils au coucher du soleil, une fillette regarde le ciel à côté d’un mur décrépi, des jeunes s’amusent avec des moutons, un marchand de roses semble regarder un horizon incertain… 18 photographes algériens et européens se sont regroupés et ont saisi des moments furtifs, des mouvements, des sons et des couleurs de la ville blanche. Leurs travaux portent un nom : «Alger : regards croisés».

Algerie entreprises du bâtiment programme national de construction

Les entreprises du bâtiment doivent s’impliquer plus dans le programme national de construction de logements (M.Moussa)ALGER- Le ministre de l’Habitat et de l’urbanisme, M. Noureddine Moussa, a appelé jeudi à Alger les entreprises affiliées à la société de gestion des participations de l’Etat SGP-INDJAB à "une meilleure implication" dans la réalisation du programme national de construction, notamment des 2 millions de logements APS

Le ministre de l’Energie et des Mines, Mr Youcef Yousfi participera à la conférence sur "L’avenir des hydrocarbures CANADA

Le ministre de l’Energie et des Mines, Mr Youcef Yousfi participera à la conférence sur "L’avenir des hydrocarbures comme source d’énergie mondiale" qui se tiendra du 21 au 23 octobre à Calgary (Canada), a indiqué mercredi un communiqué du ministère. Durant cette rencontre, le ministre rencontrera des dirigeants des compagnies pétrolières internationales "pour examiner les possibilités de coopération dans les domaines des hydrocarbures", précise le ministère

jeudi 20 octobre 2011

Alger hommage et à son patrimoine

ALGER REGARDS CROISÉS EXPO AU BASTION 23

Hommage à Alger et à son patrimoineLe bastion 23 accueille à partir de ce mardi et jusqu'au 16 novembre près d'une centaine de photos provenant de 18 photographes: huit étrangers et dix Algériens.

Voilà bientôt un an que 18 photographes d'ici et d'ailleurs, constitués en résidence algéro-européenne ont sillonné la capitale pour capter de leurs sensibilités ce qui pu les émouvoir et les toucher durant leur villégiature algéroise. Le thème retenu au départ était le patrimoine culturel et architectural mais au fur et à mesure de leur exploration et leur rencontre avec les gens leur optique va changer pour se focaliser pour la majorité d'entre eux sur les scènes de vie de tous les jours. Aussi, des 300 photos réalisées, un jury en a choisies au final 100, lesquelles seront exposées ce mardi au Bastion 23, un autre joyau architectural algérien. Pour rappel, cette expo n'a pu voir le jour sans l'aide de la délégation de l'Union européenne, l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel avec le concours des services culturels des Etat membres de l'UE. Pour rappel, ils sont 18 photographes, dont 10 Algériens, issus de la photographie d´art, de photo-journalisme et des arts contemporains. Cette résidence avait regroupé différents photographes venus d'Allemagne, l'Autriche, Belgique, Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie, et Pologne, ainsi que des photographes algériens. Le but était, a affirmé hier Madame laura Baeza, chef de la délégation de l'Union Européenne «de créer un espace d'échange entre les photographes sur le thème du patrimoine culturel architectural algérois». Nous voulons rapprocher l'Europe de l'Algérie. C'est ce que nous cherchons à faire à travers cette exposition (dans l'objectif): avoir des regards plus bienveillants les uns sur les autres, des regards plus compréhensifs et d'acceptation Mutuelle», a-t-elle soutenu. Aussi, nous apprend-on, pendant quatre jours ces photographes ont sillonné la ville en faisant connaissance avec ses habitants, son histoire, son architecture, ses us et coutumes, et ses traditions millénaires pour arriver à s'imprégner de son aura et son patrimoine au sens le plus large. Des étroites ruelles de la casbah au port de Tamentfoust, les appareils des photographes ont capté des lieux, des paysages et surtout des visages, des positions et des regards. «Pour les enfants du pays, il s'agissait avant tout de raconter leur ville et son patrimoine qui n'a rien à envier à celui des plus belles villes du monde avec sa merveilleuse baie» tandis que «pour les photographes européens il s'agissait de se saisir de cette ville dont ils connaissent peu de chose.» Aussi, au bout de quatre jours nos photographes-artistes, chacun avec son approche artistique et technique, sont revenus avec des photographies des plus saisissantes. Des images qui racontent le patrimoine algérois, mais pas uniquement car le ciel, la mer et les petites gens sont souvent présents et ne peuvent en être autrement dans une ville méditerranéenne bruyante à multiple facettes et contrastes. Au final, le jury a sélectionné entre 5 et 10 photos. Ce jury était composé de M. Mpkrane Zerda, professeur à l'école de beaux arts d'Alger, Azzedine Sefadj, représentant du Musée des arts modernes et contemporains (Mama), Amzeiane Ferhani, journaliste, Youcef Benmehidi représentant de l'AARC, et madame Ana Padilla, représentante de la délégation. Le jury a sélectionné ainsi une centaine de photos que la délégation a confié à M. Juan Angel De Corrall, photographe professionnel espagnol de renom qui a participé à la Résidence et qui pris la responsabilité du montage de l'exposition en prenant en considération les particularités du Palais des rais en matière d'éclairage et d'architecture. Le résultat sera cette variété de tableaux qui seront discernables à partir de ce mardi lors du vernissage de cette exposition. A ne pas manquer! Notons que 90 photos, soit 5 photos pour chaque photographe ont été retenues pour la réalisation d'un livre d'art qui sera publié à la fin de l'expo. Le prologue de l'expo est écrit par l'écrivain algérien Anouar Ben Malek. Cette expo se tiendra en 2012 dans la capitale européenne Bruxelles, probablement au siège de l'UE, à l'occasion du cinquantenaire de l'Indépendance de l'Algérie a indiqué madame Baeza qui fera remarquer que les relations en matière d'échange culturel entre l'Algérie et l'Europe sont très bonnes. L'Algérie n'est hélas pas une destination touristique majeur pour les Européens et ces photos permettront de donner une meilleure visibilité à Alger car certains de ces photographes faut-il le noter, sont revenus et sont restés ébahis par la richesse de l'Algérie et des Algériens», a constaté Madame Baeza. Evoquant le dialogue interculturel et le rôle des écrivains dans la promotion de la diversité, la chef de la délégation de l'Union européenne a estimé en évoquant le colloque qui avait réuni dans le courant de l'année un certain nombre d'écrivains euro-méditerranéens que l'Algérie possède une culture spécifique et qu'elle devrait être davantage diffusée a fortiori la littérature en langue arabe qui est moins traduite que d'autres et trouve un peu moins d'écho dans le monde, nonobstant aujourd'hui le phénomène de la traduction qui se répand de plus en plus. Mme Baeza a par ailleurs annoncé que la délégation de l'UE en Algérie organiserait l'année prochaine un concours de peinture destiné aux étudiants de l'Ecole nationale des Beaux-Arts d'Alger. Les oeuvres des lauréats feront l'objet d'une exposition prévue pour le 9 mai 2012, Journée de l'Europe.l'EXPRESSION

Management de l'économie en Algérie

Programme européen d'appui au management de l'économie - La satisfaction de Temmar. Le ministre de la Prospective et des Statistiques s'est montré, hier à Alger, «satisfait» des résultats obtenus dans le cadre du programme européen d'appui au management de l'économie (AMECO). Selon Abdelhamid Temmar, le programme AMECO va permettre au ministère de la Prospective et des Statistiques (MPS) d'améliorer ses missions de planification, de prospective et de vulgarisation de l'information économique, notamment en ce qui concerne l'élaboration de recommandations en matière d'encadrement macroéconomique et d'orientations en direction des secteurs.

«Le programme AMECO a permis au MPS de se doter des instruments de prévision et d'évaluation nécessaires, pour éclairer le gouvernement et lui permettre de prendre les décisions en toute connaissance de cause», a-t-il déclaré à l'APS, en marge d'un séminaire de présentation des résultats de ce programme. Les cadres ayant bénéficié des formations prévues par ce programme ont réussi à «s'approprier ces instruments en tenant compte des spécificités de l'économie algérienne».

L'autre bonne appréciation relevée par M. Temmar a trait aux formations dispensées dans le cadre de ce programme, notamment dans le domaine de la gestion des politiques publiques, de la macro-économie et de la modélisation. Plus de 100 cadres ont été formés dans le domaine de la macroéconomie et dans le domaine de l'évaluation des politiques publiques, a-t-il précisé.

La mise en place d'un master professionnel en statistiques publiques et analyse économique, bénéficiant d'un label européen, constitue pour le ministre un autre «élément de satisfaction».

Financé par le programme AMECO pour un montant de 210 000 euros, ce master professionnel sera mis en oeuvre dès janvier 2012. La première promotion est recrutée et les premiers diplômes seront délivrés fin 2013.

Mme Laura Baeza, chef de la Délégation de l'Union européenne en Algérie, a relevé, pour sa part, «plusieurs motifs de satisfaction», notamment en ce qui concerne l'amélioration des missions de planification, de prospective et de vulgarisation de l'information économique du MPS, à travers le lancement de la réalisation de pas moins d'une dizaine d'études économiques et d'enquêtes statistiques.

L'autre motif de satisfaction a trait au renforcement du Système national d'information statistique (SNIS) et de l'Office national des statistiques (ONS), à travers l'appui apporté par le programme AMECO à la réalisation, en 2011, des opérations relatives au Recensement économique et à l'Enquête sur la consommation des ménages où ont été utilisés, pour la première fois, des instruments de lecture optique et des équipements d'impression nouveaux, fournis par le programme.

Lancé en 2007 avec l'assistance de l'UE, le programme AMECO a mobilisé plus de 11 000 jours d'expertise et plus de 250 experts. Le programme visait l'amélioration des missions de planification, de prospective et de vulgarisation de l'information économique du MPS, le renforcement du système national d'information statistique (SNIS) à travers l'assistance à l'ONS, l'amélioration des capacités d'analyses et de prévision du ministère des Finances, la modernisation du ministère des Travaux publics et l'appui aux activités de communication institutionnelle.

Rafik Elias

La Tribune/19/10/2011

Algerie ORAN l’énergie solaire

ORAN - Quelque 10.000 habitations rurales réparties à travers le territoire national seront approvisionnées "avant la fin de l’année en cours" en électricité par le biais de l’énergie solaire, a annoncé jeudi à Oran un représentant du Haut commissariat au développement de la steppe (HCDS).
"Ce programme, initié par le HCDS, est destiné aux éleveurs et agriculteurs, et sera lancé avant la fin de l’année en cours", a précisé ce responsable dans une déclaration en marge des travaux du Salon international des énergie nouvelles et propres et le développement durable.
Le Haut commissariat au développement de la steppe avait déjà réalisé un programme ciblant 5.000 foyers de nomades ainsi que des habitations fixes, situées dans des zones rurales, en plus du renforcement important des puits par des équipements en énergie solaire.
Par ailleurs, le HCDS £uvre à l’utilisation de l’énergie solaire à d’autres filières agricoles, à l’instar de l’aviculture, et envisage également le développement d’autres énergies, comme l’énergie éolienne et la géothermique, utilisée dans le réchauffement des serres.
Ce Salon, inauguré mercredi, constitue pour le HCDS, qui pilote 18 wilayas steppiques, une opportunité pour exposer les programmes de développement dans ces zones.
Ce rendez-vous qui prend fin vendredi a connu la participation de plusieurs secteurs, comme l’agriculture et l’hydraulique, qui utilisent des technologies modernes, basées sur les énergies renouvelables, dans le traitement des eaux destinées à l’irrigation agricole.
ORAN - Quelque 10.000 habitations rurales réparties à travers le territoire national seront approvisionnées "avant la fin de l’année en cours" en électricité par le biais de l’énergie solaire, a annoncé jeudi à Oran un représentant du Haut commissariat au développement de la steppe (HCDS).
"Ce programme, initié par le HCDS, est destiné aux éleveurs et agriculteurs, et sera lancé avant la fin de l’année en cours", a précisé ce responsable dans une déclaration en marge des travaux du Salon international des énergie nouvelles et propres et le développement durable.
Le Haut commissariat au développement de la steppe avait déjà réalisé un programme ciblant 5.000 foyers de nomades ainsi que des habitations fixes, situées dans des zones rurales, en plus du renforcement important des puits par des équipements en énergie solaire.
Par ailleurs, le HCDS £uvre à l’utilisation de l’énergie solaire à d’autres filières agricoles, à l’instar de l’aviculture, et envisage également le développement d’autres énergies, comme l’énergie éolienne et la géothermique, utilisée dans le réchauffement des serres.
Ce Salon, inauguré mercredi, constitue pour le HCDS, qui pilote 18 wilayas steppiques, une opportunité pour exposer les programmes de développement dans ces zones.
Ce rendez-vous qui prend fin vendredi a connu la participation de plusieurs secteurs, comme l’agriculture et l’hydraulique, qui utilisent des technologies modernes, basées sur les énergies renouvelables, dans le traitement des eaux destinées à l’irrigation agricole.APS

Algerie Europe l'eldorado algérien

DES DÉLÉGATIONS DÉFILENT À L'AÉROPORT HOUARI-BOUMEDIENE

L'eldorado algérien pour sauver l'Europe La prospérité des banques étrangères installées en Algérie est l'élément décisif qui pousse celles-ci à se ruer sur l'eldorado algérien.

La Grande-Bretagne, l'Espagne, le Portugal, l'Autriche, la Fédération de Russie, en plus des pays traditionnellement présents en Algérie comme la France et l'Italie, se bousculent à l'aéroport d'Alger. L'Europe est en crise financière aiguë, c'est la course vers cette niche algérienne qui paraît subitement comme l'un des recours les plus intéressants à ces pays en butte à de graves difficultés économiques. La course en vaut la peine puisqu'il s'agit «d'arracher» une part de la cagnotte de 286 milliards de dollars que l'Algérie met sur le tapis pour les quatre prochaines années. «Quand j'entends parler de l'Algérie je pense d'abord au pétrole, au gaz. Mais cette fois-ci, notre pays veut avoir sa part dans les projets en Algérie car nous avons des difficultés financières» a confié Adrian Croft, journaliste à l'agence britannique Reuters News, qui a accompagné le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, dans son périple à travers l'Afrique du Nord. Si l'aspect sécuritaire a été mis en avant lors de cette visite, il n'en demeure pas moins que l'économie a pris une place importante dans les discussions que M. Hague a eu avec son homologue algérien Mourad Medelci et avec le président de la République. L'Espagne a dépêché mardi dernier, son secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, Juan Antonio Yanez-Barnuevo. Le communiqué annonçant cette visite évoque laconiquement la poursuite du dialogue et de la concertation politique entre l'Algérie et l'Espagne qui «permettra aux deux parties de passer en revue l'ensemble des volets des relations bilatérales dont la question de circulation des personnes ainsi que des questions d'actualité régionale et internationale d'intérêt commun». Mais ce n'est que pour la forme. Le fond est strictement économique. Le Royaume étouffe financièrement. Il faut donc grignoter quelques milliards de dollars. Le Portugal ne s'en cache pas. Le ministre d'Etat et des Affaires étrangères de la République portugaise, Paulo Portas, est arrivé mardi dernier à Alger avec un objectif clair: renflouer les caisses des entreprises de son pays qui peinent à trouver des ressources financières. Au terme de cette visite, l'Algérie et le Portugal ont décidé de la mise en place d'un groupe de travail qui identifiera les secteurs dans lesquels les deux pays peuvent faire avancer les opérateurs économiques. Les Russes ne sont pas en marge de cette dynamique. Pas moins de 50 hommes d'affaires ses sont déplacés à Alger la semaine écoulée dans le cadre du forum d'affaires algéro-russes. Dans le cadre de la mission économique, les Autrichiens arrivent avec 22 sociétés pour trouver des opportunités d'affaires. Le constat est que la situation financière et économique est morose à l'échelle mondiale. Etant déconnectée de toute cette dynamique, l'Algérie devient malgré elle une véritable bouée de sauvetage pour de nombreux pays particulièrement européens. La prospérité des banques étrangères installées en Algérie, au moment où des géants mondiaux de la finance chavirent est l'élément décisif qui pousse ces banques à se ruer vers l'eldorado algérien. «Les banques privées ont réalisé en 2010 des bénéfices de plus de 24 milliards de dinars (240 millions d'euros) contre 15,6 milliards en 2009, soit une hausse de 54%,», a indiqué le journal on line TSA reprenant des déclarations du gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Laksaci. «Les bénéfices des banques publiques progressent en revanche moins rapidement: 71,86 milliards de dinars en 2010 contre 70,23 milliards en 2009, soit une légère hausse de 2,3%», a ajouté la même source. Il est à remarquer qu'à propos de cette dynamique, les partenaires traditionnels ne font pas beaucoup de bruit. Le patronat français ne grince pas des dents dans ce défilé d'entrepreneurs. Les patrons de l'Hexagone semblent adopter l'approche du B to B, celle de la proximité directe, de patron à patron. En tout cas, du côté d'Alger, on a cessé de répéter que les d'entreprises françaises sont frileuses ou retirées. Faites comme si on n'a rien vu. Les entreprises françaises gèrent l'aéroport, l'eau, le tramway, le métro, l'autoroute Est-Ouest et la France demeure le premier partenaire commercial de l'Algérie. Ce qui n'est pas rien en dépit des relations politiques en dents de scie.L'EXPRESSION Par

mercredi 19 octobre 2011

Algerie Alger cente d’affaires accompagner la croissance et l’ouverture économique de ce pays.

Alger le label s’inscrit dans une démarche de développement de coopération cente d’affaires Acades de l’AMIRAUTE ALGER entreprise spécialisée dans la mise à disposition d’espaces de travail pour les firmes. Ce centre vient ainsi consolider l’implantation en algerie Ce centre d’affaires donnera la possibilité aux entreprises nationales et internationales de s’installer dans des zones d’affaires stratégiques et en pleine expansion. Ce centre d’affaires permettra de ce fait d’accompagner la croissance et l’ouverture économique de ce pays. Il pourrait dans ce contexte favoriser l’établissement d’entreprises locales mais également de groupes internationaux désireux de se lancer sur le marché du Maghreb

Algerie EUROMED AUDIOVISUEL III

L'ALGÉRIE PREMIER PAYS HÔTE AU PROGRAMME EUROMED AUDIOVISUEL III

L'avenir de l'audiovisuel algérien entre enjeux et compétition

Les besoins et attentes du secteur cinématographique et audiovisuel algérien étaient au centre d'un débat lors d'une table ronde animée lundi dernier entre des professionnels algériens et européens.

Son objectif? Renforcer les capacités institutionnelles et législatives du secteur cinématographique et audiovisuel dans la région sud-méditerranéenne. Pour en savoir plus, un point de presse a réuni lundi dernier à l'hôtel El Biar, Ahmed Bejaoui, consultant au ministère de la Culture, et Laura Baeza chef de la délégation de l'Union européenne, laquelle était accompagnée de plusieurs représentants du programme Euromed audiovisuel III. Si les deux premiers programmes d'Euromed Audiovisuel se sont appliqués à renforcer le dialogue interculturel et la promotion des échanges dans la région euro-méditerrannénne, en aidant les professionnels à développer, distribuer et promouvoir leurs oeuvres sur le marché international, le nouveau programme, nous indique-t-on, s'appuie sur «la stratégie de développement de la coopération audiovisuelle dans la zone euro-méditerrannéeene» approuvée à Athènes en 2008. Aussi, a t-on choisi l'Algérie comme premier pays de consultation et d'inauguration de son programme. «Cela explique bien la disponibilité de l'Algérie à renouer avec le cinéma», a tenu à faire remarquer M. Bejoui. Il soulignera un peu plus loin: «Le coût d'un film a augmenté. Le ministère de la Culture n'est pas là pour financer tout le film mais de le soutenir grâce à un fond d'aide que je préside. Il faut s'adapter. L'Algérie ne possède pas de marché.. On doit trouver des solutions, donc s'associer à d'autre pays et trouver des financements. Il y a la coproduction. C'est ce dont on a débattu ce matin en toute liberté. Des demandes ont été faites aux institutions et Euromed est là pour apporter des mesures d'accompagnement, notamment au montage financier. Nous sommes à l'ère de l'ouverture aux lois de l'économie du marché. Et nous faisons appel à l'Europe car c'est normal, ce sont nos voisins. C'est ça le pragmatisme. Il faut être à la hauteur pour apporter au public ce qu'il demande»

Les lois de l'écon omie de marché
Des lois du marché qui nécessitent une rude compétition, a fait remarquer la représentante, Madame Renate Roginas le team leader d'Euromed Audiovisuel, qui soulignera la nécessité de soutenir l'échange sud-sud tout en renforçant le savoir-faire des producteurs par une formation qui vise à augmenter leur capacités. «Il faut donc être dans la compétition», a-t-elle arguée.
En effet, coproduction internationale, formation professionnelle, distribution et exploitation des films, financements du cinéma régional et national, lutte contre le piratage... des enjeux de taille pour le secteur cinématographique et audiovisuel en Méditerranée étaient au coeur du débat organisé par le programme Euromed Audiovisuel III et la Délégation de l'Union européenne à Alger ce 17 octobre 2011.
Autour de la table ronde, les représentants de différents ministères, la télévision, des producteurs, réalisateurs, distributeurs, présidents d'associations cinématographiques, des représentants des écoles de cinéma et les organisateurs de festivals de film en Algérie, ainsi que les experts du programme Euromed Audiovisuel, indique le communiqué de presse, ont discuté de divers thèmes qui sont le financement des oeuvres cinématographiques et audiovisuelles - du développement à la postproduction, le statut des sociétés de production en tant que PME créatives - nécessité de leur reconnaissance à part entière, et l'exploitation des oeuvres cinématographiques et audiovisuelles - Accès aux marchés audiovisuels au nord et au sud de la Méditerranée. Des échanges qui ont permis de déterminer les priorités et les actions susceptibles d'être engagées dans ce domaine dans le cadre d'Euromed Audiovisuel et déterminer les priorités et les actions susceptibles d'être engagées par la suite dans les domaines du film et de la télévision et d'identifier les réponses que pourraient y apporter l'Union européenne dans le cadre dudit programme qu'elle finance. Nous a-t-on appris.

4,5 millions d'euros d'aide
Le Programme régional Euromed Audiovisuel, qui est entré dans sa troisième phase d'opération, consacre en ce sens 4,5 millions d'euros. Ce développement stratégique couvre plusieurs aspects identifiés comme prioritaires, allant de la formation des professionnels notamment à la coproduction internationale, des archives de cinéma et de télévision, de la distribution et l'exploitation, encouragement également de la création de fonds en faveur du cinéma régional et national, jusqu'à la lutte contre le piratage.
«Aider les pays de la rive sud à développer ses capacités institutionnelles, législatives, notamment les infrastructures, la distribution, l'amélioration des programmes pédagogiques..., c'est ce que le projet a pour vocation.
Autrement, venir en appoint soutenir ces programmes institutionnels», nous expliquera Lyès Belaribi, expert législatif au sein de Euromed audiovisuel III. Un programme ambitieux qui s'étalera sur une longue période et résumé comme suit par M. Bejaoui: «identification des besoins et des intérêts, établissement d'un plan avec l'ensemble des acteurs du secteur audiovisuel, ensuite mise en application des solutions». Il est bon de rappeler par ailleurs que cette table ronde fait écho à un contexte bien particulier, à savoir à l'ouverture annoncée du champ audiovisuel au privé en Algérie. «La multiplication des canaux de diffusion conduira sans nul doute à une forte demande en matière de contenu, ce qui ne manquera pas de stimuler l'ensemble de la production audiovisuelle qu'elle soit filmique ou télévisuelle», a-t-on estimé.

l'expression quotidien