Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Un chercheur algérien lauréat du deuxième prix du DESERTEC Thesis Award pour la région MENA
Il est primordial d’investir dans la nouvelle génération d’universitaires pour un développement des énergies renouvelables durable et prospère en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.
Le DESERTEC Thesis Award récompense des travaux universitaires remarquables du domaine des énergies renouvelables issues des déserts de cette région. Les gagnants recevront leur prix durant la conférence annuelle de Dii en novembre 2011 au Caire.
Plus de cinquante candidatures ont été envoyées pour le premier DESERTEC Thesis Award par des étudiants et jeunes chercheurs d’Europe, d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Le jury, comprenant des experts de la DESERTEC Foundation, du DESERTEC University Network et de Dii, ont sélectionné les quatre meilleurs travaux de pays arabes et européens.
Le premier prix de la région MENA a été attribué à Mohammad Hassouna de l’Université Allemande du Caire sur le thème : Emplacement optimal de parcs éoliens et centrales solaires en Egypte - Un modèle pour optimiser la prise de décision sur le long et court terme.
Dans ce travail, l’auteur développe un modèle visant à optimiser la prise de décision concernant les emplacements et investissements dans des unités de production d’énergies renouvelables en Égypte. Le principal défi et la nouveauté de l’approche réside dans la modélisation et le fait qu’elle couvre le long et court terme.
Né en Égypte, Mohammad Hassouna est actuellement étudiant en Master de Sciences Informatiques et Ingénierie à l’Université Allemande du Caire. Depuis 2011, M. Hassouna travaille en tant qu’assistant dans le même domaine à l’Université Allemande du Caire.
Le deuxième prix de la région MENA a été attribué à Farouk Chellali du Centre de Développement des Énergies Renouvelables (CDER), Algérie sur le thème : Une étude du comportement aléatoire et cyclique du vent en Algérie.
Ce travail attire l’attention sur le potentiel éolien de l’Algérie. En effet, l’auteur y effectue une étude du comportement aléatoire et cyclique du vent en Algérie. Cette étude a de nombreux domaines d’application tels que la planification de la production énergétique, l’urbanisme mais aussi les transports ou l’agriculture.
M.Chellali a passé son doctorat en électronique à l’École Nationale Polytechnique d’Alger (ENP) en 2011. De 2003 jusqu’à aujourd’hui, M. Chellali a travaillé en tant que chercheur au Centre de Développement des Énergies Renouvelables (CDER) en Algérie.
Le premier prix Europe a été attribué à Johan Lilliestam et Saskia Ellenbeck de l’Institut de Potsdam pour la Recherche Climatique (PIK) sur le thème : sécurité énergétique et commerce de l’électricité issue d’énergies renouvelables - L’énergie produite dans le cadre de Desertec peut-elle être utilisée comme moyen de pression sur l’Europe ?
La production d’énergie des déserts suscite des inquiétudes en termes de sécurité énergétique européenne. La question qui se pose est : avec un approvisionnement énergétique dépendant de l’Afrique du Nord, l’Europe ne risque-t-elle pas de faire l’objet de pressions politiques ? Les auteurs étudient cette question en détail et démontrent que le risque d’interruptions de l’approvisionnement se voit réduit étant donné la diversité des projets qui seront menés dans différents pays exportateurs.
Johan Lilliestam écrit actuellement sa thèse de doctorat en sciences et politique environnementales à l’Université d’Europe Centrale de Budapest en Hongrie. Il travaille également en tant que scientifique junior pour l’Institut de Potsdam pour la Recherche Climatique en Allemagne et pour l’Institut International pour l’Analyse des Systèmes Appliqués en Autriche.
Saskia Ellenbeck a fini ses études en sciences politique aux universités d’Aix-la-Chapelle et de Potsdam en Allemagne en septembre 2009. Depuis 2010, elle travaille en tant que conseillère politique auprès d’un député du parlement de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Landtag NRW) en Allemagne.
Le deuxième prix Europe a été attribué à Kerstin Damerau de l’Institut International pour l’Analyse des Systèmes Appliqués (IIASA) sur le thème : Coûts d’une réduction, à un niveau durable, de la consommation en eau des centrales solaires à concentration (CSP) : scénarios pour l’Afrique du Nord.
La technologie CSP, en plus de l’éolien et du photovoltaïque, jouera un rôle important dans le développement des énergies renouvelables en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Cependant, la majorité des centrales solaires à concentration actuelles requièrent une quantité d’eau considérable, essentiellement pour le refroidissement. Ce travail montre que des systèmes de refroidissement sec ainsi que des sources alternatives en eau rendraient possible une exploitation durable de ces centrales.
Kerstin Damerau a commencé à travailler en tant qu’assistante de recherche pour le programme "Risk, Policy and Vulnerability" de l’IIASA en 2009 et rédige actuellement sa thèse de doctorat à l’Université des Ressources Naturelles et des Sciences de la Vie Appliquées (BOKU) à Vienne.
Les auteurs de six autres travaux ont été sélectionnés par le jury. Il s’agit de Alberto Cuellar, Université d’Oldenburg sur le thème : Consommation en eau des centrales solaires à récepteurs cylindro-paraboliques - Options de refroidissement pour des besoins réduits en eau ; Lukas Streiff & Antoine Artiganave, de l’Université d’Harvard sur le thème : Pensez à demain : Barrières du commerce de l’énergie solaire en Méditerranée et ce que la Commission Européenne peut faire pour les réduire ; Lars Andersen, de Hertie School of Governance sur le thème : Utilisation d’instruments financiers publics pour une réduction des risques et barrières s’opposant aux investissement dans des secteurs à faibles émissions de carbone des pays en développement - Étude du cas Desertec ; Mohamed Labadi, de l’Université de Saad Dahlab of Blida sur le thème : Évaluation des ressources éoliennes en Algérie ; Moustapha Shaaban, de l’Université du Caire sur le thème : Étude des impacts de la production d’énergie des déserts sur les pays EUMENA et enfin Dina Abdel-Fattah, de l’Université d’Amsterdam sur le thme : Participation locale sur des projets éoliens - Étude du cas de la Turquie
Mouldi Miled, co-fondateur et directeur exécutif du DESERTEC University Network, Dr. Aglaia Wieland, Directrice Senior de la Stratégie à Dii ainsi que Dr. Thiemo Gropp, Directeur de la DESERTEC Foundation décerneront les prix le 3 novembre 2011.
Le DESERTEC Thesis Award récompense des travaux universitaires remarquables du domaine des énergies renouvelables issues des déserts de cette région. Les gagnants recevront leur prix durant la conférence annuelle de Dii en novembre 2011 au Caire.
Plus de cinquante candidatures ont été envoyées pour le premier DESERTEC Thesis Award par des étudiants et jeunes chercheurs d’Europe, d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Le jury, comprenant des experts de la DESERTEC Foundation, du DESERTEC University Network et de Dii, ont sélectionné les quatre meilleurs travaux de pays arabes et européens.
Le premier prix de la région MENA a été attribué à Mohammad Hassouna de l’Université Allemande du Caire sur le thème : Emplacement optimal de parcs éoliens et centrales solaires en Egypte - Un modèle pour optimiser la prise de décision sur le long et court terme.
Dans ce travail, l’auteur développe un modèle visant à optimiser la prise de décision concernant les emplacements et investissements dans des unités de production d’énergies renouvelables en Égypte. Le principal défi et la nouveauté de l’approche réside dans la modélisation et le fait qu’elle couvre le long et court terme.
Né en Égypte, Mohammad Hassouna est actuellement étudiant en Master de Sciences Informatiques et Ingénierie à l’Université Allemande du Caire. Depuis 2011, M. Hassouna travaille en tant qu’assistant dans le même domaine à l’Université Allemande du Caire.
Le deuxième prix de la région MENA a été attribué à Farouk Chellali du Centre de Développement des Énergies Renouvelables (CDER), Algérie sur le thème : Une étude du comportement aléatoire et cyclique du vent en Algérie.
Ce travail attire l’attention sur le potentiel éolien de l’Algérie. En effet, l’auteur y effectue une étude du comportement aléatoire et cyclique du vent en Algérie. Cette étude a de nombreux domaines d’application tels que la planification de la production énergétique, l’urbanisme mais aussi les transports ou l’agriculture.
M.Chellali a passé son doctorat en électronique à l’École Nationale Polytechnique d’Alger (ENP) en 2011. De 2003 jusqu’à aujourd’hui, M. Chellali a travaillé en tant que chercheur au Centre de Développement des Énergies Renouvelables (CDER) en Algérie.
Le premier prix Europe a été attribué à Johan Lilliestam et Saskia Ellenbeck de l’Institut de Potsdam pour la Recherche Climatique (PIK) sur le thème : sécurité énergétique et commerce de l’électricité issue d’énergies renouvelables - L’énergie produite dans le cadre de Desertec peut-elle être utilisée comme moyen de pression sur l’Europe ?
La production d’énergie des déserts suscite des inquiétudes en termes de sécurité énergétique européenne. La question qui se pose est : avec un approvisionnement énergétique dépendant de l’Afrique du Nord, l’Europe ne risque-t-elle pas de faire l’objet de pressions politiques ? Les auteurs étudient cette question en détail et démontrent que le risque d’interruptions de l’approvisionnement se voit réduit étant donné la diversité des projets qui seront menés dans différents pays exportateurs.
Johan Lilliestam écrit actuellement sa thèse de doctorat en sciences et politique environnementales à l’Université d’Europe Centrale de Budapest en Hongrie. Il travaille également en tant que scientifique junior pour l’Institut de Potsdam pour la Recherche Climatique en Allemagne et pour l’Institut International pour l’Analyse des Systèmes Appliqués en Autriche.
Saskia Ellenbeck a fini ses études en sciences politique aux universités d’Aix-la-Chapelle et de Potsdam en Allemagne en septembre 2009. Depuis 2010, elle travaille en tant que conseillère politique auprès d’un député du parlement de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Landtag NRW) en Allemagne.
Le deuxième prix Europe a été attribué à Kerstin Damerau de l’Institut International pour l’Analyse des Systèmes Appliqués (IIASA) sur le thème : Coûts d’une réduction, à un niveau durable, de la consommation en eau des centrales solaires à concentration (CSP) : scénarios pour l’Afrique du Nord.
La technologie CSP, en plus de l’éolien et du photovoltaïque, jouera un rôle important dans le développement des énergies renouvelables en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Cependant, la majorité des centrales solaires à concentration actuelles requièrent une quantité d’eau considérable, essentiellement pour le refroidissement. Ce travail montre que des systèmes de refroidissement sec ainsi que des sources alternatives en eau rendraient possible une exploitation durable de ces centrales.
Kerstin Damerau a commencé à travailler en tant qu’assistante de recherche pour le programme "Risk, Policy and Vulnerability" de l’IIASA en 2009 et rédige actuellement sa thèse de doctorat à l’Université des Ressources Naturelles et des Sciences de la Vie Appliquées (BOKU) à Vienne.
Les auteurs de six autres travaux ont été sélectionnés par le jury. Il s’agit de Alberto Cuellar, Université d’Oldenburg sur le thème : Consommation en eau des centrales solaires à récepteurs cylindro-paraboliques - Options de refroidissement pour des besoins réduits en eau ; Lukas Streiff & Antoine Artiganave, de l’Université d’Harvard sur le thème : Pensez à demain : Barrières du commerce de l’énergie solaire en Méditerranée et ce que la Commission Européenne peut faire pour les réduire ; Lars Andersen, de Hertie School of Governance sur le thème : Utilisation d’instruments financiers publics pour une réduction des risques et barrières s’opposant aux investissement dans des secteurs à faibles émissions de carbone des pays en développement - Étude du cas Desertec ; Mohamed Labadi, de l’Université de Saad Dahlab of Blida sur le thème : Évaluation des ressources éoliennes en Algérie ; Moustapha Shaaban, de l’Université du Caire sur le thème : Étude des impacts de la production d’énergie des déserts sur les pays EUMENA et enfin Dina Abdel-Fattah, de l’Université d’Amsterdam sur le thme : Participation locale sur des projets éoliens - Étude du cas de la Turquie
Mouldi Miled, co-fondateur et directeur exécutif du DESERTEC University Network, Dr. Aglaia Wieland, Directrice Senior de la Stratégie à Dii ainsi que Dr. Thiemo Gropp, Directeur de la DESERTEC Foundation décerneront les prix le 3 novembre 2011.
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