Coopération algéro-française : Cap sur les nouvelles technologies
«Une quinzaine de projets de partenariat enregistrés lors du Forum algéro-français, et d’autres sont en négociation avancée», souligne M. Jean-Marie Pinel, président de la CCIAF«Une quinzaine de projets de partenariat enregistrés lors du Forum algéro-français, et d’autres sont en négociation avancée», souligne M. Jean-Marie Pinel, président de la CCIAF
“Lors du Forum de partenariat algéro-français organisé en mai dernier à Alger, avec la participation de 146 patrons d'entreprises françaises, principalement des PME et 520 sociétés algériennes, nous avons enregistré une quinzaine de projets de partenariat et d’autres projets sont en négociation avancée», c’est ce qu’a indiqué hier, M. Jean-Marie Pinel, président de la Chambre de commerce et d’industrie algéro-française. S’exprimant lors d’une conférence de presse organisée au siège de la Chambre de commerce Algéro-française à Télémly (Alger), à l’occasion de la présentation des activités de la CCIAF pour l’année 2011 et des perspectives pour 2012/2013.
Ces projets de partenariat confirment, en fait, l’amélioration des relations économiques entre l’Algérie et la France, qui ont connu des avancées remarquables, particulièrement ces dernières années, à la faveur d’un rapprochement politique et économique. Pour encourager la commercialisation de certains produits algériens qui répondent aux normes internationales sur le marché français, la CCIAF a lancée une campagne de sensibilisation au niveau de déférentes entreprises françaises pour l’importation de ces produits.
M. Jean-Marie Pinel a souligner une série d’objectifs principales de la CCIAF dont, la favorisation du développement des relations entre les entreprises françaises et les entreprises algériennes, en matière industrielle et commerciale, faciliter et promouvoir le contact et la connaissance mutuelles des hommes d’affaires et des entreprises des deux pays, et informer les entreprises françaises et algériennes des conditions économiques financières, juridiques et fiscales dans lesquelles, elles peuvent mener à bien en Algérie ou en France une activité de nature économique, ainsi que l’encouragement des entreprises à la participation aux foires et salon se trouvant dans les deux pays, de plus, le conférencier a estimé qu’il faut encourager des visites de délégations des chefs d’entreprise dans les deux pays ainsi que le développement de la transmission du savoir-faire professionnel et pour cela, développer une action de formation de mise à niveau aux métiers de l’entreprise pour membres de l’association.
A une question relative aux textes de lois économiques algériennes, il a indiqué qu’il n’appartient pas à un étranger de commenter ces textes». S’agissant le contexte économique actuel, le conférencier à indiqué que «celui-ci dans le monde entier est très difficile et comme l’Algérie est un partenaire principal de l'Union européenne, elle n’échappe pas à ce contexte économique. Si l’Algérie veut exporter ses marchandises à part les hydrocarbures, aujourd’hui, les marchés aux nord de la Méditerranée ne sont pas très favorables.
Toutefois, il est important de souligner que «pour développer l’économie algérienne, il est nécessaire de favoriser en premier lieu la recherche de nouvelles technologies. Parce que selon lui, «l’avenir est dans la formation et le développement technologique» Il y a lieu de rappeler, que selon les dernières statistiques officielles françaises, l'Algérie est toujours le premier client de la France au Maghreb. En effet, avec 2,6 milliards d'euros, l'Algérie est toujours en pôle position concernant les exportations françaises au Maghreb.Makhlouf Ait Ziane ELMOUDJAHID
Ces projets de partenariat confirment, en fait, l’amélioration des relations économiques entre l’Algérie et la France, qui ont connu des avancées remarquables, particulièrement ces dernières années, à la faveur d’un rapprochement politique et économique. Pour encourager la commercialisation de certains produits algériens qui répondent aux normes internationales sur le marché français, la CCIAF a lancée une campagne de sensibilisation au niveau de déférentes entreprises françaises pour l’importation de ces produits.
M. Jean-Marie Pinel a souligner une série d’objectifs principales de la CCIAF dont, la favorisation du développement des relations entre les entreprises françaises et les entreprises algériennes, en matière industrielle et commerciale, faciliter et promouvoir le contact et la connaissance mutuelles des hommes d’affaires et des entreprises des deux pays, et informer les entreprises françaises et algériennes des conditions économiques financières, juridiques et fiscales dans lesquelles, elles peuvent mener à bien en Algérie ou en France une activité de nature économique, ainsi que l’encouragement des entreprises à la participation aux foires et salon se trouvant dans les deux pays, de plus, le conférencier a estimé qu’il faut encourager des visites de délégations des chefs d’entreprise dans les deux pays ainsi que le développement de la transmission du savoir-faire professionnel et pour cela, développer une action de formation de mise à niveau aux métiers de l’entreprise pour membres de l’association.
A une question relative aux textes de lois économiques algériennes, il a indiqué qu’il n’appartient pas à un étranger de commenter ces textes». S’agissant le contexte économique actuel, le conférencier à indiqué que «celui-ci dans le monde entier est très difficile et comme l’Algérie est un partenaire principal de l'Union européenne, elle n’échappe pas à ce contexte économique. Si l’Algérie veut exporter ses marchandises à part les hydrocarbures, aujourd’hui, les marchés aux nord de la Méditerranée ne sont pas très favorables.
Toutefois, il est important de souligner que «pour développer l’économie algérienne, il est nécessaire de favoriser en premier lieu la recherche de nouvelles technologies. Parce que selon lui, «l’avenir est dans la formation et le développement technologique» Il y a lieu de rappeler, que selon les dernières statistiques officielles françaises, l'Algérie est toujours le premier client de la France au Maghreb. En effet, avec 2,6 milliards d'euros, l'Algérie est toujours en pôle position concernant les exportations françaises au Maghreb.Makhlouf Ait Ziane ELMOUDJAHID
New technologies Algerian-French cooperation in 2012
التكنولوجيات الجديدة للتعاون algéro-الفرنسية 2012
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