Algerie Europe coopération durable

Algerie Europe coopération durable
Patrick le Berrigaud

mercredi 30 novembre 2011

Mr Benmeradi Europe Vienne Autriche à la 14e session de l’ONUDI


M. Benmeradi prendra part à Vienne à la 14e session 
de l’ONUDI
ALGER - Le ministre de l’industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement, Mohamed Benmeradi, prendra part à la 14e session de la conférence générale de l’Organisation des Nations unies pour le Développement Industriel (ONUDI), prévue du 30 novembre au 2 décembre à Vienne (Autriche), indique mardi un communiqué du ministère.
M. Benmeradi, qui conduira la délégation algérienne aux travaux de cette conférence, participera à cette session en sa qualité de président en exercice de la 19e Conférence africaine des ministres de l’industrie (CAMI 19). La 19e CAMI, qui a tenu ses travaux à Alger du 27 au 31 mars 2011, réunira son bureau à Vienne, précise le communiqué.APS

Algérie invitée d'honneur du 15e Salon du patrimoine



L'Algérie sera l'invitée d'honneur du 15e Salon du patrimoine, des activités culturelles et de la restauration qui se tiendra du 1er au 3 décembre à Venise (Italie), a indiqué lundi un communiqué du ministère de la Culture. La participation algérienne à ce salon a pour but de faire connaître le patrimoine culturel matériel et immatériel algérien à partir «des premiers témoignages de la présence de l'homme jusqu'à l'Algérie d'aujourd'hui», précise-t-on. S'étalant sur une surface de 150m², le stand abritera une exposition du ministère de la Culture, sous le thème de «L'Algérie, art, mémoire et innovation».
Les visiteurs du salon découvriront les sept sites algériens classés au patrimoine mondial de l'humanité: Tipasa, Tassili N'Ajjer, Timgad, Djemila, Vallée du M'Zab, Qalaâ des Beni Hammad et la Casbah d'Alger. Le patrimoine immatériel, avec l'Ahellil du Gourara (inscrit sur la liste du patrimoine immatériel mondial de l'Unesco), l'Imzad, la Sebeiba, le costume nuptial féminin de Tlemcen, entre autres, sera également présent à cette exhibition. Par ailleurs, plusieurs conférences seront données le 2 décembre par des spécialistes algériens du patrimoine culturel. L'organisation de cette exposition a été confiée à l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (Aarc).L'EXPRESSION 

Fondation Konrad Adenauer


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  Visite du président de la Fondation Konrad Adenauer

La politique et les stratégies énergétiques dans les pays du Maghreb et comment améliorer les coopérations sud-sud et nord-sud et état des lieux et perspectives, ont été, hier, au centre des débats d’une conférence internationale qui a réuni d’éminents experts du secteur énergétique, plus particulièrement les énergies renouvelables. La rencontre organisée par la Fondation Konrad Adenauer Stiftung, en collaboration avec la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie (AHK), s’est tenue au siège de cette dernière à Alger. Intervenant à cette occasion, M.H.G. P ?ttering, ancien président du Parlement européen et actuellement membre et président de la Fondation Konrad Adernauer Stifung, a indiqué que "la présence de sa Fondation en Algérie est très importante, vu que ce pays représente une grande force en Afrique à côté de l’Afrique du Sud, l’Egypte et l’Angola". "A en croire les chiffres qui m’ont été communiqués, l’Algérie affiche un PIB de 172 milliards de dollars, soit 138 milliards d’euros, ce qui donne un revenu de 3 500 euros par personne. Et avec des réserves en devises de près de 175 milliards de dollars, sans compter les réserves en or, elle fait figure de géant en Afrique", a-t-il indiqué, ajoutant que sa Fondation, qui a pris conscience de l’importance de l’Algérie, déplore le fait que ses activités soient couvertes à partir de la Tunisie. Abordant le volet de la coopération bilatérale dans le secteur énergétique, M. P ?ttering a déclaré que "le gouvernement allemand a décidé de sortir du nucléaire et cette décision est importante dans la coopération avec l’Algérie. Cette importance n’est pas due au fait que l’Algérie renferme d’importantes réserves de pétrole et de gaz, mais plus au fait que ce pays s’ouvre de plus en plus sur les énergies renouvelables". "En prenant en compte que 98% des exportations sont composées d’hydrocarbures et que ces dernières représentent 30 à 40% du PIB, il existe un déséquilibre dans l’économie algérienne actuelle", a-t-il fait remarquer. L’intervenant a, par ailleurs, tenu à souligner le vif intérêt de son pays pour le secteur des énergies renouvelables en Algérie. "Nous recherchons un partenariat gagnant-gagnant avec l’Algérie, qui représente un excellent marché pour le développement des énergies renouvelables", a-t-il indiqué en ce sens. Selon lui, les conditions climatiques sont très favorables en Algérie pour la production des énergies renouvelable, en particulier l’énergie solaire. Cependant, il a insisté sur "la nécessité de réduire les contraintes administratives et de pousser en avant le processus de réformes pour encourager l’investissement dans ce domaine". Il ajoutera que "le programme de privatisation lancé par l’Algérie aura besoin, pour sa réalisation, du soutien d’un pays développé comme l’Allemagne".
Habiba Ghrib, Le Chiffre d’Affaire

mardi 29 novembre 2011

Algerie entretien avec Mr Lord Howell of Guildford


 TSA

Entretien avec Lord Howell of Guildford, ministre britannique délégué chargé du Commerce et de l’Energie

Lord Howell of Guildford est ministre délégué chargé du Commerce et de l'énergie au ministère britannique des Affaires étrangères. A l’issue de sa visite de travail en Algérie, il a accordé un entretien à TSA.

Quel est l’objet de votre visite en Algérie ?

L’objectif de notre visite est de renforcer les relations entre l’Algérie et le Royaume‑Uni. Le gouvernement à Londres cherche à renforcer nos liens dans le domaine de l’économie avec les pays en développement surtout ceux du Moyen‑Orient et du Maghreb, notamment l’Algérie, que nous pensons être une région stable pour le commerce et l’investissement. Nous voulons renforcer et soutenir notre politique afin d’encourager le commerce et l’investissement en Algérie. Le Royaume‑Uni est l’un des principaux importateurs de gaz algérien.
 
 
L’Algérie peine à découvrir de nouveaux gisements de gaz, à produire plus de gaz. Des inquiétudes planent sur sa capacité à honorer ses engagements internationaux. Le Royaume‑Uni est‑il inquiet ?
 
Il est vrai que le Royaume‑Uni est l’un des plus grands clients de l’Algérie en matière de gaz, mais nous importons surtout du GNL. L’Espagne et l’Italie importent beaucoup plus de gaz algérien. Concernant le GNL, c’est l’une de nos préoccupations. Pour assurer la continuité des approvisionnements en GNL, trouver de nouveaux gisements et de nouvelles réserves de gaz, nous devons investir beaucoup plus en Algérie afin de produire davantage de gaz parce que nous sommes  déjà de grands consommateurs de gaz et nous le serons davantage dans l’avenir.
 
Nous devons travailler pour fournir notre aide en matière de technologie d’exploration et d’exploitation de gisements de gaz et de notre expertise dans ce domaine. Ce que je voudrais ajouter, c’est que nous aimerions qu’à l’avenir, les entreprises britanniques trouvent des facilités pour obtenir des licences d’exploitation ou  d’exploration de gisements de gaz. Nous comprenons que l’Algérie cherche à protéger l’intérêt des entreprises locales, mais je pense aussi que bénéficier de l’aide et de la technologie des compagnies britanniques aidera l’Algérie à accélérer les choses et à trouver de nouveaux gisements de gaz.
 

Justement, les grandes compagnies d’hydrocarbures ne semblent pas très satisfaites de leur présence en Algérie. British Gas a décidé de quitter l’Algérie et il y a une année, BP voulait partir aussi…

Ces deux compagnies veulent toujours avoir plus de gaz, plus de gisements à développer. Malgré leurs réserves actuelles, elles ont besoin de découvrir de nouveaux sites afin de continuer à travailler dans l’avenir. C’est la raison principale qui fait que ces deux compagnies ont cherché à quitter l’Algérie.
 
 
L’Algérie a un programme de développement des énergies renouvelables. Le Royaume‑Uni est‑il intéressé pour coopérer avec l’Algérie au développement de l’énergie solaire ? Est‑ce que vous êtes intéressé par l’électricité produite à partir du solaire en Algérie ?

La réponse générale à votre question sera oui, mais il y a il y a des défis qui concernent le prix et les moyens de transport de cette énergie. Même si les prix de la technologie des équipements et de la production de l’énergie solaire sont en baisse, je pense qu’il y aura toujours un problème de transport de cette énergie en Europe. Je ne sais pas comment le Royaume‑Uni pourra bénéficier de cette énergie dans le futur. Concernant le développement de l’énergie solaire, le Royaume‑Uni est prêt à aider avec son expertise.

L’Algérie peut‑elle aider certains pays européens à sortir de la crise économique qui les affecte actuellement ?

Je ne pense pas que ce serait la meilleure décision pour l’Algérie d’aider ces pays de l’Europe en crise. Il est plus sage de réserver sa puissance économique pour conclure des partenariats internationaux. Je pense que les problèmes de l’Europe doivent être résolus en Europe. La décision finale reste entre les mains de l’Allemagne qui doit décider si les pays européens doivent aider les pays en crise, comme l’Espagne, l’Italie ou le Portugal, ou de rétrécir le système de la zone euro à des pays qui sont à même de renforcer leur économie et de sortir de cette crise économique.
 
 
Avez-vous un autre message à transmettre aux Algériens ?

Il y a un grand intérêt pour l’apprentissage et l’enseignement de l’anglais en Algérie. Et aussi travailler et adhérer au Commonwealth qui est formé de 54 nations. Je suis naturellement favorable à toute demande d’adhésion à ce réseau. J’encourage vivement l’Algérie à rejoindre ce réseau. Nous, en Grande‑Bretagne, nous portons une grande importance aux connexions entre les pays du Commonwealth, surtout entre les 12 pays ayant enregistré un développement technologique très important et qui sont à la pointe de la technologie.

Algerie défis technologiques du pays


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES 

 Une formation spécialisée par la Recherche en totale adéquation avec les véritables défis technologiques du pays


Cette formation supérieure spécialisée davantage orientée sur les préoccupations prioritaires du Programme National de réalisation en Energies renouvelables sera calée sur la réalité quotidienne et tentera d’apporter des améliorations aux quelques insuffisances actuelles pour éradiquer à jamais le spectre honteux du délestage électrique et assurera à notre pays une bien meilleure qualité de fourniture d’énergie électrique aux normes internationales. Cette formation supérieure de qualité est fortement souhaitée par tous et notamment par les jeunes doctorants avides de modernité et de progrès à la recherche d’un parcours scientifique correctement balisé permettant de leur garantir, en fin de cursus, un emploi honorable qui sera en plus, passionnant et davantage tourné sur l’avenir.
Cette formation qualifiée "d’utile" pour le pays nécessite un véritable soutien de la Recherche pour immerger le doctorant, dès son intégration dans un environnement tout à fait approprié et très favorable au développement de ses facultés "créatives" par l’accès direct aux techniques et aux technologies les plus récentes pour entreprendre son initiation auprès des chercheurs expérimentés et bien outillés en conditions réelles sur des installations "pilotes" à l’échelle.
Cette formation qualifiante par la Recherche présente cependant un handicap et des contraintes certaines parce qu’elle va reposer principalement sur des structures en nombre très limité aujourd’hui et qu’il s’agira, coûte que coûte, de redéployer avec dans cette première phase un effort d’investissement conséquent pour l’équipement des laboratoires spécialisés au sein des universités et dans une phase ultérieure un soutien exemplaire aux structures à plein temps pour les hisser aux normes internationales et assurer ainsi une mobilisation qualitative de spécialistes pour accompagner de manière effective les grands chantiers de l’énergie qui se dessinent en perspective jusqu’à l’horizon 2030.
L’engagement annoncé des grandes écoles et des grandes universités Algériennes pour relever ce défi national en s’impliquant, en plus de leur mission principale, sur la Recherche est un signal très fort en direction des doctorants pour encourager les plus ambitieux d’entre eux à s’y engager avec détermination et assurance.
En tous cas, en matière de développement d’énergies renouvelables et c’était notre propos, il faut que ça se sache : l’option est bien prise et le cap pour l’horizon 2030 est clairement affiché.
Et quoi qu’on dise !
C’est une opportunité exceptionnelle pour tous les doctorants Algériens et une perspective favorable et passionnante pour l’avenir énergétique de notre pays et de la région toute entière.
Dr Maïouf BELHAMEL, Directeur du CDER

Algerie Europe Mr Dr Mourad Preure. Expert pétrolier international, président du cabinet Emergy «L’Europe gagnerait à se tourner davantage vers la source algérienne



Dr Mourad Preure. Expert pétrolier international, président du cabinet Emergy

«L’Europe gagnerait à se tourner davantage vers la source algérienne»


-En quoi la mise en marche du gazoduc Northstream constitue-t-elle un fait majeur pour le marché européen du gaz ?
Le gazoduc Northstream reliant les gisements russes à l’Allemagne en passant par la mer baltique représente une capacité de 55 Gm3 (milliards de mètres cubes) sur un marché de près de 456 Gm3. Il permet à la Russie d’accéder aux marchés européens par voir direct en évitant les pays de transit. La Russie couvre 23% de la demande européenne, la Norvège 19%, l’Algérie 10% et le dernier venu aux dents longues, le Qatar 6%. L’intérêt de ce gazoduc est surtout la liberté qu’il apporte à la Russie et la sécurité d’approvisionnement qu’il permet à une Allemagne s’apprêtant à quitter le nucléaire en 2022.
Il est clair que ce gazoduc transporte quasiment l’équivalent des exportations algériennes et doit donc être pris au sérieux, car le réseau gazier européen est fortement interconnecté. Mais il me semble adresser ses volumes surtout vers l’Europe du Nord, marché qui nous échappe aujourd’hui. D’autre part, il faut tenir compte du fait que l’Europe dont la dépendance gazière dépasse les 50% aujourd’hui dépendra à 80% de sources extra-communautaires à l’horizon 2030. Je ne suis pas sûr qu’elle fasse le bon choix en privilégiant les sources russe et qatarie.
Les ambitions gazières russes ne sont jamais loin d’ambitions de puissance, quant à la source qatarie, elle est volatile par essence, car il s’agit de GNL et que ce GNL se déplacera demain vers d’autres marchés s’il y trouve son compte, or l’effet Fukushima à lui seul génèrera 100 milliards de mètres cubes de demande, sans compter les besoins indiens, et ceux abyssaux d’une Chine qui devra réduire sa consommation de charbon qui représente 70% de la consommation énergétique. L’Europe gagnerait à se tourner davantage vers la source algérienne en y soutenant activement le développement gazier.
-La position de l’Algérie en tant que fournisseur du marché européen peut elle être affectée même si le gazoduc ne s’adresse pas à l’Europe de sud?
Nos débouchés seront davantage affectés par le futur gazoduc russe, le Southstream qui reliera les gisements russes à l’Italie via la Bulgarie et la Grèce et dont la capacité sera de 63 Gm3 soit au-delà des exportations algériennes.
Il est clair que la Russie veut consolider ses positions sur le marché européen, et convoite ouvertement le marché européen du sud. Un autre acteur que je juge dangereux est en train de prendre pied dans le marché européen du sud, c’est le Qatar qui très rapidement est arrivé à talonner l’Algérie. Le Qatar s’est doté, en s’endettant vivement, des premières capacités mondiales de liquéfaction de gaz naturel avec 77 millions de tonnes (Algérie 29.5 MTA). Il est le principal moteur du développement des marchés spot de gaz en Europe qui exercent une pression extrême sur les transactions de long terme avec clause de take or pay, rendant de plus en plus inadaptés les prix indexés sur le pétrole.
L’essentiel de nos exportations se fait sur cette base. Il s’agit ici de notre marché naturel, et nous devons le protéger par des stratégies audacieuses d’intégration croisée engageant nos partenaires européens à investir à nos côtés dans l’amont et le transport et accédant nous-mêmes au client final pour lui fournir mètres cubes de gaz et kilowattheures d’électricité. A ce titre, nous ne subirons pas les volumes concurrents, mais les accueillerons et en tirerons bénéficie aux côtés de nos partenaires européens. Il faut pour cela que les pays européens du Sud, dont nous permettons aux compagnies (comme GDF Suez) d’accéder à nos gisements, n’opposent pas des contraintes de souveraineté et ouvrent l’aval gazier et la génération électrique à Sonatrach et Sonelgaz.
-Sonatrach est empêtrée depuis deux ans dans des problèmes de corruption et de direction, ne risque-t-elle pas d’être en décalage avec les mutations qui sont en train de se produire?Je crois que l’on insiste trop sur les malheureuses turbulences traversées par Sonatrach. Mais pensez-vous que l’industrie pétrolière soit une industrie d’enfants de chœur ?
Savez-vous que les plus éminentes compagnies ont connu des crises bien plus graves que celle traversée par Sonatrach ? Elles n’en sont pas mortes pour autant, et souvent ces crises ont été vite banalisées par une presse que l’on a convaincue par un travail de communication professionnel et rigoureux quant aux enjeux que représentent ces compagnies.
Or, l’image de Sonatrach est aujourd’hui brouillée et a besoin d’être reconstruite. L’écrasante majorité des cadres et des travailleurs de Sonatrach est honnête et patriote et ce que vivent ces femmes et ces hommes est injuste. Injuste et dangereux, car cette image que l’on veut coller à Sonatrach inhibe toute initiative et affecte gravement les processus décisionnels.
Il faut absolument tourner la page et respecter aussi la présomption d’innocence de toutes ces personnes qui sont devant les tribunaux et qui voient leurs noms étalés sur les unes des journaux.
Des familles, des enfants en souffrent, il faut le savoir. Je connais bien cette entreprise dont je suis issu et à laquelle je dois tout.
Elle est saine, même si des aventuriers ont pu en prendre les commandes un jour. Sonatrach est en train de retrouver ses marques, il faut l’y aider.  
 
Safia Berkouk Elwatan 

Algerie la Banque de développement local (BDL)


La Banque de développement local (BDL) se lance dans le e-banking
ALGER - La Banque de développement local (BDL) vient de lancer un nouveau produit, le "e-bdl", qui permet à ses clients de gérer leurs comptes via Internet, devenant ainsi la première banque publique à proposer un service de e-banking.
Ce système, appliqué depuis trois mois déjà, permet "exclusivement" aux clients de la BDL, personnes physiques et morales, de gérer leurs avoirs à distance, 7/7 jours et 24/24 heures, faire des virements, consulter l’historique de leurs opérations sur un mois et leurs soldes et transférer des soldes de sous-comptes au compte principal, ont indiqué lundi des cadres de la banque lors d’un séminaire de vulgarisation du nouveau produit.
L’accès à ce service, disponible à l’adresse URL : ebanking.bdl.dz et qui se fera via un abonnement annuel de 400 DA appelé à baisser, est "hautement sécurisé", a assuré le PDG de la banque M. Mohamed Arslane Bachtarzi.
"Nous avons mis du temps pour lancer ce système parce que nous avons pris le temps nécessaire pour s’assurer de sa sécurité", a-t-il argué.
Pour accéder à ce service, l’agence de la BDL communique à son client, dans une première étape, un identifiant et un mot de passe. Une fois l’accès à "e-bdl" est fait avec succès, la banque demande au client, via sa page électronique, de définir sa propre "signature électronique" qu’il gardera évidement secrète, une mesure qui vise une sécurisation maximale de l’opération, expliquera M. Toumi Nabil, directeur des moyens de paiements à la BDL.
Lors des débats animés à cette occasion, des interrogations se sont posées sur l’aspect réglementaire de l’utilisation de la signature électronique en Algérie, surtout que l’ ARPT (Agence de régulation des poste et télécommunications) n’a pas encore sélectionné un bureau de certification agréé en Algérie.
"La signature électronique dispose de l’ancrage juridique en Algérie, c’est vrai que l’ARPT a opté pour une technologie de certification internationale mais ça s’est fait conformément à la réglementation en la matière qui autorise cette agence de régulation à choisir des producteurs de certificat étrangers", a expliqué M. Toumi.
Le nouveau canal de communication entre la BDL et ses clients assurera plus de rapidité, de sécurité, de confort et de simplicité, s’est-il réjoui. Une simulation d’accès à "e-bdl" a été faite avec succès devant la presse et les cadres présents.
Par ailleurs, le PDG de la BDL a annoncé que les produits de la bancassurance, lancés en partenariat avec l’assureur français Macif via la nouvelle filiale d’assurance SAPS, seront disponibles à travers les agences de la banque à "compter du 31 décembre au plus tard".APS

lundi 28 novembre 2011

Algerie Qatar coopération


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES De larges perspectives à la coopération algéro-qatarie


L’économie algérienne ouvre de larges perspectives pour le développement de la coopération bilatérale algéro-qatarie a affirmé, lundi à Alger Le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi.
Le programme quinquennal de développement (2010-2014), auquel l’Etat à consacré une enveloppe de 286 milliards de dollars, "ouvre de larges perspectives de coopération et de partenariat entre l’Algérie et le Qatar" a affirmé M. Yousfi à l’ouverture de la séance de travail algéro-qatarie, à laquelle a assisté le ministre qatari de l’Energie et de l’Industrie, Mohamed Ben Salah Al-Sada.
M. Yousfi a souligné que l’Algérie disposait de grandes capacités d’investissements dans différents domaines. Il a "également renouvelé "la détermination" de l’Algérie à "hisser les relations entre les deux pays au niveau de leurs relations politiques, au mieux des intérêts de l’Algérie et du Qatar"
Cette séance de travail, qui se tient dans le cadre de la visite qu’effectue le ministre qatari de l’Energie en Algérie, s’est déroulée en présence de représentants des secteurs économiques des deux pays notamment l’énergie, les mines, le transport aérien, l’agriculture, les finances et l’industrie.
Les domaines et les projets examinés lors de cette rencontre "revêtent une grande importance" a expliqué M. Yousfi ajoutant que les discussions entre les deux délégations "permettront de dégager une vision claire et précise qui permettra d’aboutir à des propositions en faveur des deux pays".
La rencontre permettra également aux deux parties "de définir les moyens à même de développer et d’élargir les relations de coopération et de partenariat", a souligné M. Yousfi.
Pour sa part, le ministre qatari de l’Energie et de l’Industrie, Mohamed Ben Salah Al-Sada s’est dit "confiant" quant au renforcement de la coopération algéro-qatarie" en vue de concrétiser "des investissements et des projets communs" dans le futur.
Le ministre qatari effectue depuis dimanche une visite de trois jours en Algérie et aura des entretiens avec plusieurs responsables algériens

Algerie Madame Julienne Donziel développement local


Mme Donziel : la concertation sur le développement local en 
Algérie est une référence pour d’autres pays 
(TROIS QUESTIONS)
réussite de la Concertation nationale sur le développement local en Algérie constituerait une référence dans la prise en charge des préoccupations socio-économiques des populations dans d’autres pays, a affirmé à l’APS lundi à Alger Mme Julienne Donziel, membre du Panel des éminentes personnalités africaines du Mécanismes Africain d’Evaluation par les Pairs (MAEP). APS

Alger zones d’affaires stratégiques et en pleine expansion


Algerie groupes internationaux désireux de se lancer sur le marché du Maghreb
http://www.lepost.fr/portfolio/2011/11/10/2634741_algerie-france-cooperation-du-savoir-faire-unesco.html
Réduisez les charges de fonctionnement de votre entreprise tout en conservant fonctionnalité, confort et attrait dans votre espace de travail.
Centres d’Affaires Alger centre ,vous propose tout en respectant votre budget.
Alger le label s’inscrit dans une démarche de développement de coopération cente d’affaires Acades de l’AMIRAUTE ALGER entreprise spécialisée dans la mise à disposition d’espaces de travail pour les firmes. Ce centre vient ainsi consolider l’implantation en algerie Ce centre d’affaires donnera la possibilité aux entreprises nationales et internationales de s’installer dans des zones d’affaires stratégiques et en pleine expansion. Ce centre d’affaires permettra de ce fait d’accompagner la croissance et l’ouverture économique de ce pays. Il pourrait dans ce contexte favoriser l’établissement d’entreprises locales mais également de groupes internationaux désireux de se lancer sur le marché du Maghreb
Relais entre hier et demain, le patrimoine bâti est un outil de développement local au service du territoire.
Support pour dynamiser l’emploi, il a un rôle social (chantiers d’insertion) et un impact
sur le cadre de vie et l’attractivité du territoire.
Comprennent les matériaux, les techniques, les savoir-faire. C’est-à-dire construction et compétence du constructeur. Nous sommes dans le champ de l’habitat, du bâti.Et si votre espace de travail se pliait à toutes vos exigences professionnelles et personnelles ?Organiser une réunion dans un lieu prestigieux, établir votre entreprise sur un nouveau territoire, développer vos ressources internes… Vos besoins en immobilier d’entreprise sont multiples et évoluent avec votre activité, centre d’affaires les « Arcades de l ‘Amirauté » situé à coté de la Chambre de Commerce Algérienne vous accompagne dans tous vos projets.1 boulevard Amilcar Cabral

http://algerquartiermarine.blogspot.com/
patrick le berrigaud

Algerie l’après-pétrole colloque à l’université de Mostaganem



Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

l’Algérie et les défis de l’après-pétrole thème d’un colloque à l’université de Mostaganem

Un colloque national sur le thème l’Algérie et les défis de l’après-pétrole, sera organisé après-demain à l’université "Abdelhamid Ibn Badis" de Mostaganem. Plusieurs experts spécialistes en économie de différentes universités du pays aborderont, lors de cette rencontre organisée à l’initiative du département de sciences politiques de la faculté de droit et de sciences commerciales, les mutations économiques et politiques en Algérie et le rôle des hydrocarbures. Les participants analyseront également, au cours de ce colloque de deux jours, les différentes expériences ayant réussi dans le monde en matière de développement économique hors hydrocarbures et étudieront les perspectives du développement durable en Algérie en phase d’après-pétrole, selon le président du colloque, M. Larbi Larbi. "Cette rencontre vise à sensibiliser sur les conséquences de la dépendance totale aux hydrocarbures et la nécessité de redoubler d’efforts pour redynamiser les autres secteurs et tirer profit des expériences de développement réussies dans ce domaine au niveau international" a-t-il ajouté. Les participants aborderont plusieurs thèmes liés, entre autres, aux recettes d’hydrocarbures et leur rôle dans l’édification et la stabilité politique et sociale en Algérie, à l’environnement et le développement durable en Algérie, le rôle de l’agriculture pour relancer le développement hors hydrocarbures et les énergies renouvelables.
Le Maghreb

dimanche 27 novembre 2011

Algerie Suisse Europe opportunités de coopération



1er Symposium algéro-suisse : M. Benmeradi plaide pour un partenariat bilatéral mutuellement bénéfique
ALGER - Le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, Mohamed Benmeradi, a appelé les opérateurs économiques algériens et suisses à profiter des opportunités de coopération offertes pour monter des partenariats mutuellement bénéfiques, indique dimanche un communiqué du ministère.
S’exprimant à l’ouverture du premier symposium algéro-suisse, qui s’est tenu vendredi à Zurich, M. Benmeradi, qui co-préside le symposium avec la secrétaire d’Etat suisse à l’Economie, Mme Marie-Gabrielle Ineichen-Fleische, a rappelé des réformes économiques engagées par les pouvoirs publics, mettant l’accent sur le programme de développement de l’investissement et la relance du secteur industriel, précise t-on.
M. Benmeradi a ainsi invité les hommes d’affaires des deux pays à "saisir les opportunités offertes dans nombres de filières et monter des partenariats mutuellement bénéfiques".
De son côté, Mme Ineichen-Fleische a incité les opérateurs économiques des deux pays à "diversifier leurs relations notamment dans le domaine de l’investissement en Algérie.
Abordant, en outre, les réformes algériennes, en particulier dans le secteur économique, elle les a qualifié de "courageuses et de porteuses de progrès pour le peuple algérien.
Par ailleurs, les représentants des institutions et administrations algériennes ont, quant à eux, présenté l’environnement de l’investissement en Algérie et les aspects pratiques liés, entre autres, aux avantages accordés aux investisseurs (fiscalité, financement, foncier).
Tenu en présence d’une centaine d’hommes d’affaires dont une vingtaine d’opérateurs Algériens, ce symposium a été organisé par la Chambre de commerce algéro-suisse et l’ambassade d’Algérie à Berne. Plusieurs secteurs étaient représentés lors de cette rencontre, notamment l’industrie pharmaceutique, l’agroalimentaire, les énergies renouvelables et les services.APS

Algerie mise en valeur du patrimoine traditionnel


Coup d’envoi hier du Salon International de l’artisanat à la Safex

Mise en valeur du patrimoine traditionnel

Par : Nabila SAIDOUN
L’artisanat au menu pendant tout un mois pour ne plus se contenter d’une seule journée en guise de célébration. C’est dire qu’il ne s’agit plus pour les responsables du secteur de marquer juste l’événement mais de booster véritablement une activité qui est, inéluctablement, complémentaire à celle du tourisme.
Au-delà de la symbolique artistique, c’est surtout le moyen le plus fiable pour perpétuer des traditions et  protéger la mémoire collective et identitaire. Aussi, le 16e Salon international de l’artisanat, qui se tient depuis hier au Palais des expositions des Pins-Maritimes, et ce, jusqu’au 28 du mois courant, se veut être un espace de rencontre et d’expression des professionnels exerçant dans les différentes filières d’activité du secteur. Inauguré hier par Smaïl Mimoune, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, cet événement se fixe, entre autres, comme objectifs la promotion et la commercialisation des produits de l’artisanat, les échanges d’expériences et de savoir-faire entre les artisans nationaux, d’une part, et les artisans étrangers, d’autre part.
Il est question aussi de tester le comportement du produit algérien par rapport à la concurrence étrangère, motiver et encourager les artisans pour plus d’efforts en termes de créativité, développer le partenariat avec l’étranger et faire intéresser les jeunes à investir dans le secteur.
Notons la participation de pas moins de 203 artisans nationaux représentant 34 Chambres de l’artisanat et des métiers. Les étrangers sont également présents avec 18 participations venant de l’Inde, d’Indonésie, du Pakistan, du Vietnam ainsi que de France à travers deux membres d’une association française qui participent au salon à titre de consultants pour le choix des produits exposés qui seront retenus pour le prochain salon professionnel Maison et Objet de Villepinte - Paris, prévu du 20 au 24 novembre 2012 et auquel le secteur de l’artisanat est appelé à prendre part. L’occasion est donnée, par ailleurs, pour entamer le débat et réfléchir sur des méthodes efficientes pour porter au mieux cette activité. Il s’agit d’abord de régler le problème de la matière première pour laquelle des études sont lancées afin de connaître le gisement national et la qualité de la matière. “Ces études permettront, ainsi, la réduction de l’importation.” Comme expliqué par M. Benabdelhadi, directeur général de l’artisanat, lors de manifestations précédentes. Notre interlocuteur nous parlera aussi de l’allégement fiscal et annoncera que “les artisans sont désormais exonérés d’impôts à vie (filiale artisanale d’art)”. M. Benabdelhadi abordera, également, la pertinence de la formation et annoncera la réalisation de pôles d’excellence à travers des instituts pour la céramique à Tipasa, l’orfèvrerie à Batna et la taille de la pierre précieuse à Tamanrasset.
Il s’agit de professionnaliser une communauté qui ne fait que s’agrandir pour atteindre, actuellement, 425 000 artisans dont 72 000 nouveaux venus pour seulement l’année 2011.
Nabila SaÏdoun  Quotidien LIBERTE

Algerie Union européenne EU coopération pour coacher l'économie


SANTÉ, JUSTICE, CONCURRENCE ET IMPÔTS

L'Union européenne continue de coacher l'économie de l'Algérie

L'Accord d'association avec l'Union européenne impose une mise à niveau de l'économie de l'Algérie.
Tous les projets initiés en partenariat entre l'Union européenne et l'Algérie avancent à un rythme satisfaisant. La conviction émane de Djamel Belhoul, chef d'équipe des experts de l'Unité de gestion du Programme d'appui à l'Accord d'association. Il cite la coopération avec le ministère des Finances, celui du Commerce. L'artisanat, l'eau et l'infrastructure de qualité font aussi partie des cinq jumelages qui ont démarré depuis plusieurs mois. Les jumelages consistent à adosser une direction spécialisée d'un ministère ou une institution à son homologue européenne pour tenter d'harmoniser les standards de gestion. D'ailleurs, lors de la journée d'hier, l'Unité de gestion du Programme d'appui à l'Accord d'association a annoncé qu'elle participait au Salon international de l'artisanat à travers une journée d'étude. Des responsables de l'Agence nationale de l'artisanat traditionnel et du ministère de l'Artisanat étaient présents à une rencontre avec la presse à l'initiative du Programme européen.
Dans les résultats auxquels sont parvenus les projets de jumelage, figure celui de la proposition d'inscription du principe de rescrit dans les législations algériennes. L'administration sera alors dans l'obligation d'accorder les avantages promis par écrit à des usagers même s'il s'avère plus tard que ces avantages sont indus. Il est également fait mention de la révision du Code des impôts indirects. Les redevances sur l'alcool, les pierres précieuses et le tabac font partie de cette panoplie de réformes. Le ministère des Finances a préféré introduire les changements à petites doses à travers des lois de finances successives au lieu d'une refonte du code en une seule fois. Dans le domaine de la concurrence, les efforts vont directement au renforcement des capacités d'action du Conseil de la concurrence. Un guide de l'enquêteur a été institué et il sera mis à disposition des agents. D'un autre côté, on a appris qu'une nomenclature des activités de l'artisanat est en cours de finalisation pour devenir la base pour l'enregistrement des artisans et pour leur formation.
Quant aux laboratoires de l'ADE, la voie est ouverte pour leur certification après que des protocoles ont été adoptés grâce à la coopération avec l'Union européenne. Même dans le domaine de la métrologie, des avancées ont été enregistrées au profit des offices sous tutelle du ministère de l'Industrie.
Dans les projets de l'Union européenne, on enregistre ceux liés au jumelage avec la Commission de régulation du gaz et de l'électricité et la création d'un observatoire des filières agricoles.
La pêche, la justice, l'aviation civile, la santé et la recherche scientifique sont d'autres projets sur lesquels planche l'Unité de gestion du Programme d'appui à l'Accord d'association.
Par 

Algerie Brest Bretagne Europe canon mythique Baba Merzoug




L’Algérie veut le retour d’un canon mythique, installé à Brest

Baba Merzoug pour les Algériens, la Consulaire pour les Français : le canon a défendu Alger durant deux siècles avant d’être amené comme trophée en France en 1830, dès la colonisation de l’Algérie, mais son pays le réclame pour les 50 ans de son indépendance en 2012. Transformé en colonne, il trône dans l'Arsenal de Brest.

La Consulaire, transformée en colonne reposant sur un socle de granit, est coiffée d’un coq qui retient sous une patte un globe terrestre. Le monument trône au sein du complexe naval de l’Arsenal de Brest.
Deux Consuls déchiquetés
Ce canon de bronze de près de 7 mètres d’une portée de 4,8 km, avec ses quelque 12 tonnes fondues en 1542 par un artiste vénitien à Alger, a notamment déchiqueté deux consuls français.
Le père missionnaire lazariste Jean Le Vacher, consul d’Alger, a été attaché à la bouche du canon et déchiqueté en juillet 1683, en représailles au bombardement d’Alger par l’amiral Duquesnes qui réclamait aux Ottomans tous les esclaves chrétiens.
En 1688, lors d’une attaque similaire commise par le maréchal Jean d’Estrées contre Alger, le consul André Piolle a subi le même sort.
D’où l’appellation française de « Consulaire » pour cette pièce d’artillerie.
Papa fortuné
Les Algériens chérissent ce canon, alors le plus puissant de Méditerranée, qui a défendu Alger depuis le Môle (jetée) Kheireddine (Barberousse), site de l’actuelle Amirauté.
« Son nom de Baba Merzoug veut dire Papa fortuné (au sens de chanceux) et béni, en référence au père qui défend sa famille et du mot arabe Marzouq », Smaïl Boulbina, un médecin passionné d'histoire et porte-parole d'un comité tout juste créé pour demander la restitution de la pièce d'artillerie OUEST FRANCE

Algerie BISKRA 1er salon international des dattes et du tourisme oasien à Tolga


BISKRA - 200 exposants prennent part au 1er salon international des dattes et du tourisme oasien ouvert samedi à Tolga, wilaya de Biskra. La cérémonie d’inauguration s’est déroulée en présence des représentants des deux ministères du Commerce et du Tourisme et de l’artisanat ainsi que du maire de la circonscription d’Islington au nord de Londres (Grande-Bretagne), Mme. Mouna Hamitouche, l’attachée commerciale de l’ambassade d’Indonésie en Algérie, d’un expert international du programme de coopération Algéro-allemand pour le développement durable et d’un groupe espagnol de l’industrie du froid.

samedi 26 novembre 2011

ALGERIE GRANDE-BRETAGNE EUROPE Lord Howell


GRANDE-BRETAGNE-ALGÉRIE
Lord Howell : La stabilité de l'Algérie "un facteur décisif" dans les relations avec le Royaume-Uni

La stabilité de l’Algérie dans la région est devenue "un facteur décisif" dans la forte évolution des relations entre le Royaume-Uni et l’Algérie, a déclaré vendredi à Londres Lord Howell, ministre délégué aux Affaires Etrangères, chargé de l’Energie et du commerce.
"Le nombre important de délégations britanniques qui se sont rendues en Algérie au cours de 2011 reflète non seulement l’attractivité du marché algérien aux yeux des hommes d’affaires britanniques, en raison notamment de sa richesse en hydrocarbures, mais surtout la stabilité dont fait preuve l’Algérie dans la région", a déclaré à l’APS, Lord Howell qui entame à partir de samedi, une visite de deux jours en Algérie. Le ministre britannique a mis en relief la politique "très positive de l’Algérie et son influence croissante dans la région".
Selon lui, l’évolution des relations entre la Grande Bretagne et l’Algérie en 2011 n’est pas "fortuite", elle reflète l’amélioration constante des relations bilatérales à tous les niveaux et la volonté du Royaume-Uni de promouvoir ses échanges économique avec ce pays à "fort potentiel". Lord Howell a souligné la volonté des compagnies britanniques à s’impliquer davantage dans le plan quinquennal de développement de l’Algérie 2010-2014 qui offre une multitude d’opportunités pour les sociétés britanniques dans divers domaines.
Concernant le programme de développement des énergies renouvelables de l’Algérie à l’horizon 2030, Lord Howell a mis en exergue la volonté du gouvernement britannique de développer à long terme, le secteur des énergies renouvelables en Grande Bretagne affirmant qu’une multitude d’opportunités existait dans la coopération entre ces deux pays, notamment dans le solaire ou l’Algérie recèle d’énormes potentialités qui peuvent être complémentaires avec le savoir-faire et la technologie avancées des firmes britanniques.
Ces dernières, a-t-il soutenu, doivent s’impliquer dans le développement des projets algériens de développement des énergies renouvelables. "Il est très important pour les britanniques de contribuer au développement des énergies renouvelables en Algérie", a-t-il insisté. Le contact permanent et l’échange d’idées entre les deux pays sont à même de faire aboutir un bon nombre de projets qui seront réalisés en commun dans
ce domaine crucial que représentent les énergies renouvelables pour l’avenir. Lord Howell a rappelé que la Grande Bretagne a mis en place en 2010, une nouvelle stratégie de développement économique basée sur la promotion des échanges commerciaux et des investissements avec les marchés émergents dans le monde pour sortir des traditionnels marchés de l’Europe et des Etats Unis.
"Cette stratégie, a-t-il précisé, concerne les marchés de l’Asie, de l’Amérique du Sud et de l’Afrique du nord, dont le marché algérien". "Le Premier ministre David Cameron a parlé de l’Algérie en tant que marché potentiel", a souligné Lord Howell affirmant que la "récente visite effectuée en Algérie par le ministre britannique des Affaires Etrangères, William Hague et celle que j’entame samedi en Algérie, sont de bon augure pour l’accélération de la dynamique de croissance entre les deux pays", a conclu Lord Howell.LE TEMPS D'ALGERIE 

Algerie Oran Clôture du Conseil mondial de l’énergie


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  Clôture l’assemblée exécutive du Conseil mondial de l’énergie

A l’issue de quatre jours d’activités, les travaux de l’assemblée exécutive du Conseil mondial de l’énergie (CME) ont pris fin jeudi en fin de journée à Oran.
L’assemblée exécutive du CME a été consacrée à plusieurs questions relatives au domaine de l’énergie, notamment sa production, son industrialisation, les investissements, ainsi que son impact sur l’environnement et les perspectives de développement des énergies renouvelables.
Les participants à cette rencontre ont également évalué les niveaux de la production énergétique mondiale à court et moyen termes, en plus du taux de satisfaction des besoins des populations, avec la hausse prévue de 40% de la demande d’énergie à l’horizon 2020.
Une Journée énergie de l’Algérie a été, par ailleurs, organisée en marge de l’assemblée du CME et dont l’objectif était de faire connaître le secteur énergétique algérien et ses perspectives de développement, présenter les opportunités de partenariat et de coopération, et promouvoir les progrès réalisés en matière de disponibilité et de l’accessibilité de l’énergie pour tous en Algérie.
Le CME, qui organise tous les trois ans le Congrès mondial de l’énergie est la plus importante organisation multi-énergies dans le monde. Il dispose de comités-membres dans près de 100 pays, y compris dans la plupart des plus grands pays producteurs et consommateurs d’énergie.
L’organisation, fondée en 1924, est intéressée par tous les types d’énergie, dont le charbon, le pétrole, le gaz naturel, le nucléaire, l’hydroélectricité et les énergies renouvelables.

Algerie nouvelle ville d’El Goléa



Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  Lancement de l’aménagement de la plate-forme de la nouvelle ville d’El Goléa au cours des prochains mois

Vendredi 25 novembre 2011
Le ministre de l’Aménagement du Territoire et de l’environnement, Chérif Rahmani, a indiqué jeudi à Alger que l’aménagement de la plate-forme du projet de la nouvelle ville d’El Goléa (Ghardaïa), sera lancé dans les prochains mois.
En réponse à une question orale d’un membre du Conseil de la Nation, M. Rahmani a affirmé que le lancement des travaux de ce projet est prévu dès la sélection des offres par la tutelle qui avait lancé dernièrement un appel d’offres pour la réalisation de "cet important projet".
Le ministre a souligné que le retard enregistré dans la réalisation de la nouvelle ville d’El Goléa (Ghardaïa) qui s’inscrit dans le cadre du projet des nouvelles villes pilotes est du "à des raisons qui ne relèvent pas du ministère".
"La réalisation d’un aussi grand projet n’est pas une tâche facile", a indiqué le ministre qui a ajouté que cela nécessitait le suivi et le soutien de tous les secteurs pour garantir "la livraison du projet dans les délais fixés".
Le ministre a annoncé par ailleurs le lancement prochain des études concernant l’aménagement du lac d’El Goléa, un des sites touristiques de la ville situé à proximité du projet.
La conception du projet visant à relancer le développement dans le sud du pays, se base sur l’exploitation des nouvelles technologies en matière de maîtrise des énergies renouvelables, notamment solaire et éolienne, pour la production de l’électricité, a ajouté le ministre.
La nouvelle ville d’El Goléa est une extension de la partie sud de cette ville située à 900 km d’Alger et qui relève du territoire administratif de Ghardaïa.
Située sur le route nationale N°1 (route transsaharienne), la ville d’El Goléa, futur pôle économique, culturel et touristique, occupe une place stratégique à même de lui permettre de jouer un rôle important dans les échanges entre le nord et le sud du pays.
Le nombre de la population urbaine est appelé à doubler d’ici 2025 avec un taux d’urbanisation supérieur à 80 %.

APS 50ème anniversaire


50ème anniversaire de l’APS : colloque international dimanche prochain à Alger
ALGER - L’agence nationale d’information Algérie Presse Service (APS) organisera, dimanche et lundi prochains à Alger, un colloque sur le thème "L’agence de presse, le service public et les opportunités de l’information en ligne", à l’occasion de la célébration de son 50ème anniversaire.
Le colloque sera organisé au Palais de la Culture Moufdi-Zakaria avec la participation d’éminents experts en communication qui aborderont différents thèmes se rapportant à l’historique de l’agence, allant de l’ère du télex et des téléscripteurs à l’information en ligne et aux nouvelles technologies de l’information et de la communication.
Trois thèmes majeurs seront évoqués au cours de cette rencontre : "La naissance et développement de l’APS", "Les médias et les missions d’intérêt général" et "Informer au temps du numérique".
En plus des communications de plusieurs experts, Réda Malek et Pierre Chaulet interviendront pour apporter leurs témoignages sur les conditions dans lesquelles était née à Tunis l’agence le 1er décembre 1961.
M. Chaulet a fait partie des acteurs directs ayant participé au lancement de l’APS.
Le colloque sera notamment axé sur la mission de service public de l’agence et son adaptation au développement que connaissent les moyens de communication.
L’APS, qui avait démarré son activité avec des moyens rudimentaires et un personnel réduit, dispose aujourd’hui de moyens modernes.
Des efforts ont été également consentis en matière de formation des personnels dans le but de mettre en phase l’agence avec les exigences de l’ère de la numérisation et du multimédia.
Beaucoup de défis ont été relevés et d’autres restent encore à relever par l’APS afin d’assurer un service public à la hauteur de la mission qui lui est assignée dans le monde de la communication où les cibles, les moyens et les supports se sont multipliés et diversifiés.APS

Algerie Italie Europe opportunités d’investissement et de partenariat


L’ambassadeur d’Algérie en Italie rencontre des industriels italiens
ROME- Les opportunités d’investissement et de partenariat en Algérie offertes dans le cadre du plan quinquennal 2010/2014 et la législation y afférente ont fait l’objet d’une rencontre vendredi à Rome entre l’ambassadeur d’Algérie en Italie, M. Rachid Maarif, et des industriels italiens.
A cette occasion, le diplomate algérien a présenté à ses interlocuteurs, les grandes lignes de ce plan quinquennal doté d’un engagement financier de l’ordre de 286 milliards de dollars, orientés vers tous les secteurs d’activité et dont plus de la moitié (156 MDS USD) sont destinés à financer de nouveaux projets de développement.
Le plan en question offre cependant, un intérêt particulier, pour les projets structurants et ceux du secteur économique, permettant à l’économie nationale de réduire sa dépendance des hydrocarbures.
Les industriels italiens membres du consortium Multicon que préside M. Ivan Drogo, et qui regroupe quelque 250 opérateurs, ont appris à cet égard, que le plan réserve 40 % de l’ensemble de sa dotation financière, au développement des infrastructures de base et à l’amélioration du secteur public.
Dans ce cadre, le plan consacre plus de 20 milliards de dollars de crédit bancaire bonifié par l’Etat destiné au développement industriel et 31 milliards de dollars au secteur des travaux publics pour poursuivre l’extension et la modernisation du réseau routier et l’augmentation des capacités portuaires.
Il prévoit en outre, 28 milliards de dollars en vue de moderniser et étendre le réseau de chemin de fer, améliorer le transport urbain et moderniser les infrastructures aéroportuaires.
Par ailleurs, l’ambassadeur d’Algérie a longuement, évoqué la législation algérienne en matière d’investissement et de partenariat mise à jour dans le Code des investissements en août dernier, offrant des avantages et des garanties aux investisseurs tant nationaux qu’étrangers.
Il a dans ce cadre expliqué le rôle dévolu à l’Agence nationale de développement d’investissement (ANDI) qui est dotée d’un guichet unique habilité à fournir les prestations administratives nécessaires à la concrétisation des projets.
Les opérateurs italiens se sont par ailleurs, intéressés aux différents avantages notamment fiscaux offerts par la législation algérienne.
Au cours des débats, les opérateurs italiens qui ont été invités à se rendre en Algérie, dans le cadre d’une mission de prospection, ont exprimé un grand intérêt, notamment pour établir des partenariats avec leurs homologues algériens.APS