Algerie Europe coopération durable

Algerie Europe coopération durable
Patrick le Berrigaud

mardi 31 janvier 2012

Mr Mourad Medelci ministre des Affaires étrangères délégation européenne 2012

Surveillance des prochaines législatives : Medelci rencontre une délégation européenne dans une semaine
ALGER - Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a déclaré mardi à Alger qu’il rencontrera dans une semaine la délégation européenne attendue mardi soir à Alger dans le cadre de l’évaluation des conditions de déploiement d’une mission d’observateurs des prochaines élections législatives en Algérie.APS

Barbès Café, à nouveau à l’affiche du Cabaret sauvage 2012


Hommage au patrimoine musical de l’émigration

Barbès Café, à nouveau à l’affiche du Cabaret sauvage

Le Cabaret  sauvage récidive avec 15 nouvelles représentations de Barbès Café - un spectacle musical imaginé par Meziane Azaïche
en collaboration avec l’historienne Naïma Yahi - du 1er au 24 février 2012, après une première édition qui s’est déroulée du 11 au 28 mai 2011.Paris
De notre correspondante


Barbès Café, qui se présente en plusieurs tableaux, raconte, à travers ses musiques, l’histoire des immigrés algériens en France, ouvriers d’usine, ou mineurs de fond le jour, chanteurs dans les cafés le soir. Ils ont habité dans des foyers, entassés à plusieurs dans une chambre et, le soir, ils se retrouvaient au café pour oublier la rudesse du quotidien, les uns pour chanter, les autres pour les écouter. Programmateur musical à l’Institut du Monde arabe et journaliste, Rabah Mezouane rappelle : «L’exil fut leur royaume, l’usine, entre les ordres aboyés par les contremaîtres et le choc des carrosseries, leur gagne-pain, et les bars, leurs salons de musique.
Entre 1930 et 1960, la plupart des chanteurs maghrébins étaient des amateurs travaillant le jour, dans des conditions souvent pénibles et jouant le soir dans des cafés.» Et d’ajouter : «De fait, ces artistes, au statut particulier, ont bercé la solitude des migrants, transmis le patrimoine de la communauté et participé à la construction de nouvelles symboliques. Ils avaient pour noms Cheïkh El Hasnaoui, Slimane Azem, Mohamed Mazouni, H’nifa, Dahmane El Harrachi, Akli Yahiaten, Kamel Hamadi, Mohamed Jamoussi, Missoum, Salah Saâdaoui ou Oukil Amar».
Le répertoire musical du spectacle qui sera interprété par Samira Brahmia (chant et guitare), Hafid Djemaï (chant et guitare),  Annie Papin (chant et comédie), Salah Gaoua (chant et comédie), Malik Kerrouche (guitare), Mamoun Dehane (batterie), Amar Chaoui (percussions), Hichem Takaoute (basse et chant), Rafik Korteby (clavier) et Sarah Guem (danse), se compose des chansons suivantes :  Maison Blanche d’El Hasnaoui, Algérie, mon beau pays de Slimane Azem,  Alger, Alger de Lili Boniche, Eli Rah ou wela de Dahmane el Harrachi, J’en ai marre, c’est fini de cheikha Rimitti, Khokhomania de Rachid Taha,  M’chat aliya de René Perez, Algérie civilisée de Debza, Hara ahibek de Warda (sélection non exhaustive).
Dans un bistrot, du nom de Barbès Café, la patronne raconte l’histoire de ce patrimoine musical depuis un siècle, de l’environnement dans lequel il s’est développé et que retrace un montage vidéo réalisé par Aziz Smati : la manifestation du 17 octobre 1961 contre le couvre-feu qui était imposé aux Algériens, le racisme et la xénophobie dont ils étaient victimes, les grandes manifestations et marches de leurs enfants pour la dignité et l’égalité des droits.... A chaque représentation, il y aura  un invité surprise. En mai 2011, ce fut Kamal Hamadi, Idir, Aït Menguellat, Fellag, Rachid Taha, Mouss et Hakim, Souad Massi, Nassima, Mahieddine Bentir, Vigon, Gaâda de Béchar…
Dans l’intervalle des représentations, le spectacle, mis en scène par Géraldine Benichou, se déplacera dans des lieux de vie et d’histoire de l’immigration algérienne. Lors de la première édition de mai dernier, des artistes s’étaient déplacés dans une cité HLM du 19e arrondissement de Paris, un hammam, une épicerie et un café social accueillant des retraités à Belleville. Il y aura aussi des tables rondes, dont celle intitulée «Révolutions arabes. Le troisième temps des luttes anticoloniales», en collaboration avec la Semaine anticoloniale, le 24 février 2012. Une exposition de photos «chibani d’ici» de Leïla Bousnina, une seconde exposition de Ali Guessoum, intitulée «Installation». Une rencontre-dédicace avec Hamou Bouakkaz, adjoint au maire de Paris, chargé de la vie associative et de la démocratie locale,  autour de son livre Aveugle, arabe et homme politique, ça vous étonne ? (Entretiens avec Noël Bouttier, préface de Stephane Hessel. Editions Desclée de Bouwer, paru en mai 2011).
«Recueillir et valoriser la parole et la mémoire des anciens»
L’objectif de Barbès Café est d’«expliquer aux jeunes générations l’histoire de l’immigration algérienne et son contexte, recueillir et valoriser la parole et la mémoire des anciens qui l’ont vécue, utiliser les thèmes du spectacle pour instaurer un dialogue entre les générations autour de la mémoire, la comparaison des expériences et la diversité culturelle». Grâce au musicien et flûtiste, Nasredine Dalil, de l’Institut supérieur de musique d’Alger, cofondateur du groupe Mugar, auteur de l’album Mozart l’Egyptien, les jeunes artistes de Barbès Café découvrent, ou redécouvrent, les anciens dont ils ont «réarrangé» les morceaux qu’ils interprètent.
Auteur, compositeur et interprète, Samira Brahmia, qui a été la grande révélation des deux dernières éditions (2008 et 2009) des Folles nuits berbères du «Cabaret sauvage», nous disait en mai 2011 que ce répertoire de générations d’artistes qui ont précédé la sienne est pour elle une «découverte» et une «initiation». «Nous faisons de notre mieux pour garder le lien avec l’Algérie, être fiers de nos origines algériennes et de vivre en France dignement», d’«assumer notre double appartenance à l’Algérie et la France», de «faire tomber les clichés», ajoute la jeune artiste.
«Nous découvrons des talents extraordinaires, comme Mohamed El Kamal, premier à organiser des tournées dans les cafés. Le café était le seul lieu de vie des anciens émigrés : c’est là qu’ils écoutaient la radio, les nouvelles du pays, recevaient leur courrier et savouraient les compositions de Dahmane El Harrachi, Slimane Azem, El Hasnaoui», nous affirmait, pour sa part, Mohamed Ali Allalou, coordinateur de Barbès Café  (ndlr El Watan 2 mai 2011). Meziane Azaïche, fondateur du «Cabaret Sauvage», constate, quant à lui, que «les musiques de nos anciens sont entrées dans les foyers français… Nos racines gagnent du terrain. C’est ce que je veux mettre en avant.» C’est pourquoi il conçoit le «Cabaret Sauvage» comme «un pont», «une ouverture». «J’ai été impressionné qu’en Algérie on le connaisse et cela me touche profondément.» Et son vœu que Barbès Café se produise en Algérie pourrait être exaucé avant la fin de l’année en cours.
 
Nadjia Bouzeghrane ELWATAN

Algerie délégation britannique énergie 2012


Algérie - énergie : visite d’une délégation britannique



Une importante délégation composée d’une vingtaine  de compagnies britanniques spécialisées dans le domaine énergétique est arrivée hier à Alger pour une visite de cinq jours.
La délégation est conduite par M. Terry Willis, directeur d'Energy Industries Council (EIC), une grande organisation du Royaume- Uni qui rassemble les compagnies britanniques exerçant dans le domaine énergétique.
Cette visite vise à renforcer la coopération entre l’Algérie et le Royaume-Uni dans le domaine de l’énergie, y compris les énergies renouvelables, et à établir de nouveaux liens entre les opérateurs économiques de ces deux pays, au moment où les relations commerciales entre les deux pays se développent de  manière significative.
Parmi les sociétés qui se rendront en Algérie, figurent, entre autres,   Aggreko Intl Puissance, Brosse Machines électriques Ltd, Canusa Systems, Clarke  Energy et Draeger Safety. Durant la visite, les membres de la délégation participeront à un atelier  de travail qui sera organisé par Sonatrach et effectueront une visite à Hassi Messaoud (Ouargla) pour rencontrer les représentants des compagnies pétrolières  opérant en Algérie.
«L'EIC organise une dizaine de missions commerciales par an, mais celle-ci est sans doute l’une des plus importantes dans la période récente, car l’Algérie  est un pays nouveau pour nous, et nos membres ont montré beaucoup d'intérêt pour ce marché», a déclaré à l’APS M. Mike Major, un responsable de EIC. Une seconde mission britannique spécialisée dans le domaine des énergies renouvelables, effectuera une autre visite en Algérie à partir du 7 février. (APS) MAGHREB ERMERGENT

Mr Rachid Benaissa ministre de l’Agriculture et du développement Mr Xavier Driencourt, ambassadeur de France en Algérie 2012


Benaissa reçoit l’ambassadeur de France

Le ministre de l’Agriculture et du développement rural, M. Rachid Benaissa et M. Xavier Driencourt, ambassadeur de France en Algérie ont procédé aujourd’hui au siège du ministère à l’installation du groupe de travail sectoriel algéro-français de coopération dans le domaine de l’agriculture et du développement rural.Le ministre de l’Agriculture et du développement rural, M. Rachid Benaissa et M. Xavier Driencourt, ambassadeur de France en Algérie ont procédé aujourd’hui au siège du ministère à l’installation du groupe de travail sectoriel algéro-français de coopération dans le domaine de l’agriculture et du développement rural.
Ce groupe de travail qui s’inscrit dans le cadre des accords existant entre les deux pays vise le renforcement et la diversification de la coopération institutionnelle agricole.ELMOUDJHAID

lundi 30 janvier 2012

Coopération algéro-française l’agriculture 2012


Coopération algéro-française : Installation d’un
 groupe de travail dans le domaine de l’agriculture
ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, M.Rachid Benaïssa, et l’ambassadeur de France en Algérie, M.Xavier Driencourt, ont procédé lundi à Alger à l’installation d’un groupe de travail sectoriel algéro-français de coopération dans le domaine de l’agriculture et du développement rural, indique un communiqué du ministère.APS

Algerie pour un tourisme responsable 2012

Journée mondiale des zones humides : pour un tourisme responsable en Algérie (DGF)
ALGER - La protection et la valorisation du patrimoine environnemental national, et notamment les zones humides, seront au menu des actions de sensibilisation du public à travers la célébration de la Journée mondiale de ces espaces de la biodiversité, célébrée le 2 février de chaque année.APS

Algerie cèdres sur dalles miracle de survie 2012

Les cèdres sur dalles, un miracle de survie à l’heure du dépérissement de l’espèce dans les Aurès
BATNA - Au moment où des spécialistes d’universités algériennes et étrangères multiplient les recherches et les rencontres sur le phénomène du dépérissement du cèdre de l’Atlas, la cédraie du parc national de Belezma (7 km à l’ouest de Batna) abrite des sujets bien portant poussant sur des dalles rocheuses.APS

Décès de Mr Abdelhamid Mehri, ancien ministre du GPRA 2012


Décès de Abdelhamid Mehri, ancien ministre du GPRA
ALGER - Abdelhamid Mehri, ancien ministre du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) et l’une des figures du mouvement national, est décédé lundi matin à l’hôpital militaire de Ain Naâdja (Mohamed-Seghir Nekache) à Alger à l’âge de 85 ans, a-t-on appris auprès de sa famille.
Le défunt sera inhumé mardi après la prière d’Al Asr au cimetière de Sidi-Yahia à Alger.
Né le 3 avril 1926 à El-Harrouch (W. Skikda), le défunt s’engagea dans les rangs du Parti du peuple algérien (PPA) puis du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD) dans lequel il fut membre du Comité central.
Arrêté en novembre 1954, il fut détenu en prison jusqu’en avril 1955. Quelques mois plus tard, il fut désigné au sein de la délégation extérieure du Front de libération nationale (FLN) et occupa le poste de membre du Conseil national de la Révolution algérienne (CNRA), puis celui de membre du Comité de coordination et d’exécution (CCE).
A la constitution du GPRA, il occupa le poste de ministre des Affaires nord-africaines dans la première formation et celui de ministre des Affaires sociales et culturelles dans la deuxième.
Abdelhamid Mehri a été également ministre de l’Information ainsi qu’ambassadeur dans plusieurs pays.
La dernière fonction officielle du défunt fut celle de secrétaire général du parti du FLN de 1988 à 1996 APS

Alger regard neuf sur le Japon AU BASTION 23 2012



EXPOSITION DE PHOTOGRAPHIES AU BASTION 23

Un regard neuf sur le Japon

 
Un travail artistique qui ne veut point servir de support documentaire pour une quelconque réalité. C’est une tentative de présenter les nouvelles réalités ainsi que les différentes manières de regarder le monde à “une époque où les gens sont coincés entre les exigences contradictoires  de la mondialisation  et du pluralisme (…).”

Jadis, la photographie était un moyen d’immortaliser une action, un moment dans la vie… Quelques années plus tard, ces instantanés permettent de faire vivre la mémoire, personnelle d’une part, collective d’autre part. Avec l’avancée technologique, elle est considérée “comme un média qui enregistre avec précision à la réalité ". C’est dans cette optique que l’ambassade du Japon à Alger organise, depuis dimanche, à 15h, au Palais des  Raïs (Bastion 23), une exposition de photographies intitulée “Counter-photography - Japan’s artists today”, qui nous vient directement du Musée d’art de Shoto, et dont le commissaire est Yuri Mitsuda.
Un ensemble d’images réalisées par de grands artistes du pays du Soleil levant, à travers lesquelles le Japon est décortiqué sous un nouvel angle. Dans son allocution, l’ambassadeur du Japon a déclaré qu’“on parle souvent de la différence entre la photo et la peinture.” Et d’ajouter : “La photo est un simple moyen d’imprimer ou reproduire une vision exactement telle qu’elle est en réalité, tandis que la peinture est un art que le peintre crée en ajoutant une âme à la scène qu’il a vue.” Avec cette exposition, le clivage entre la photo et la peinture est flou, voire ambigu. Toutes les pièces ainsi que le patio du Palais 18 sont ornées de photographies qui sont l’œuvre de pas moins d’une dizaine de photographes, à l’image de Miho Akoika, Eikkoh Hosoe, Akiko Sugiyama, Kazuo Katase, Hiroko Inoue, Tomoaki Ishihara… Des œuvres qui rompent avec l’idée classique de cet art. Ce ne sont plus des geishas ou autres femmes au visage fardé vêtues du traditionnel kimono, ni des maisons ou des jardins fleuris…, qui ont tant fait la réputation de ce pays. Ce sont plutôt des instants volés, fixés à jamais par l’objectif de ces artistes. Ils livrent, à travers leur travail, outre le côté artistique, un regard, une vision de leur pays. Ils tentent -et c’est réussi- d’introduire, non pas par petites doses, cette approche de la réalité à travers l’art de la photographie. Une approche moderne, faisant fi des règles préétablies. Une cassure radicale, mais qui n’a aucune incidence sur la structure, ni la beauté de l’œuvre. L'exposition est divisée en deux sections, selon une thématique précise correspondant au choix des artistes, aux disciplines, et à l’approche du sujet. La première, appelée “Pour distiller : un autre aspect” ; le visiteur, surtout celui qui a un regard averti, découvre que l'intention des artistes est d'extraire l'essentiel -comprendre l’esprit ou l’âme de l'objet (le sujet représenté)- que ce soit une plante, une pierre ou autres, mettant à nu une autre dimension du sujet, qui va en parallèle à l’approche. Quant à la seconde section, intitulée “Pour inverser : une autre relation”, les auteurs des photographies “adoptent une approche plus sociale.” En effet, les œuvres de cette partie explorent notre relation avec soi, avec les autres, d’une part. D’autre part, c’est également la relation qu’a le citoyen avec son pays. En termes plus clairs, ces œuvres représentent une tentative de dépeindre les relations humaines, les relations des gens, et ce, selon une perspective entièrement nouvelle. Pour rappel, cette exposition entre dans le cadre de la célébration du 50e anniversaire des relations algéro-japonaises, coïncidant avec le cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie. 
Par : Amine IDJER
 LIBERTE
“Counter-photography-Japan’s artists today”, exposition de photographies organisée par l’ambassade du Japon à Alger, jusqu’à fin février 2012 au Palais des Raïs (Bastion 23) 

Groupe Saidal fleuron de l’industrie pharmaceutique en Algérie 2012


Le groupe Saidal, "fleuron de l’industrie" pharmaceutique en Algérie (Ould Abbès)
ALGER - Le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, M. Djamel Ould Abbés, a affirmé dimanche à Alger la nécessité du soutien de l’entreprise publique de production pharmaceutique ’’Saidal’’, "fleuron" de l’industrie pharmaceutique en Algérie.
M. Ould Abbés a indiqué lors d’une visite à l’unité de production du groupe Saidal de Gué de Constantine qu’il "compte beaucoup" sur ce groupe aux côtés des producteurs privés pour la promotion de la production nationale afin de couvrir 70% des besoins nationaux à l’horizon 2014.
L’Etat a accordé une importance particulière au groupe à travers un soutien financier de 17 milliards de DA pour le renouvellement des équipements de ses unités de production, a-t-il ajouté. La capacité de production de l’unité de fabrication de médicaments BIOT IC du groupe Saidal de Gué de Constantine est estimée à 21 millions d’unités par an avec un chiffre d’affaires de prés de 1,8 milliards de dinars.
L’unité de Gué de Constantine souffre actuellement de l’exiguïté des services de production et de stockage (en dépit d’une superficie de 45.000 m2) en sus de la précarité de certains équipements dont l’acquisition remonte à 20 ans.
Le PDG du groupe, M. Boumediene Derkaoui a présenté un exposé détaillé sur l’unité Gué de Constantine construite en 1949, soulignant qu’un projet d’étude est en cours d’élaboration pour son extension.
S’agissant du sérum sucré et salé dont la capacité de production par le groupe est estimée à 8 millions d’unités, M. Derkaoui a affirmé que la production de cette solution atteindra à l’avenir 12 millions d’unités par an après la création "d’une nouvelle unité aux environs d’Alger et la conclusion d’un partenariat avec un laboratoire étranger spécialisé dans ce domaine.
Le ministre a appelé dans ce contexte à l’accélération de la production de cette matière vitale qui a connu une pénurie durant les dernières années ayant conduit à des perturbations dans le fonctionnement des services chirurgicaux dans les hôpitaux. Il a affirmé à ce propos que la production nationale de cette solution sous toutes ses formes atteindra prochainement les 34 millions d’unités.
L’unité de Gué de Constantine du groupe Saidal emploie 260 travailleurs et produit des médicaments purement algériens.APS

Algerie Europe centre d’affaires se lancer sur le marché du Maghreb 2012


Algerie Europe centre d’affaires se lancer sur le marché du Maghreb

Relais entre hier et demain, le patrimoine bâti est un outil de développement local au service du territoire.
Support pour dynamiser l’emploi, il a un rôle social (chantiers d’insertion) et un impact
sur le cadre de vie et l’attractivité du territoire.
Comprennent les matériaux, les techniques, les savoir-faire. C’est-à-dire construction et compétence du constructeur. Nous sommes dans le champ de l’habitat, du bâti.Et si votre espace de travail se pliait à toutes vos exigences professionnelles et personnelles ?Organiser une réunion dans un lieu prestigieux, établir votre entreprise sur un nouveau territoire, développer vos ressources internes… Vos besoins en immobilier d’entreprise sont multiples et évoluent avec votre activité, centre d’affaires les « Arcades de l ‘Amirauté » situé à coté de la Chambre de Commerce Algérienne vous accompagne dans tous vos projets.1 boulevard Amilcar Cabral

Algerie réseau European Union National Institut For Culture (Eunic).2012


Réseau des instituts culturels des états membres de l’Union européenne

Adhésion de l’Algérie

L’Algérie fait désormais partie du réseau European Union National Institut For Culture (Eunic).
 

Dans le cadre de la constitution du groupe Eunic/Alger, réseau des instituts culturels des Etats membres de l’Union européenne, la déléguée Wallonie-Bruxelles et présidente du groupe Eunic, Mme Marie-Henriette Timmermans, a dévoilé les grands axes de ce réseau lors d’un point de presse animé au niveau de la résidence Wallonie-Bruxelles. Le réseau Eunic/Alger,  qui compte huit membres des instituts culturels, a vu ses premiers balbutiements en juin 2011. Un représentant de l’Union européenne s’est également associé à ce réseau afin de mieux articuler les initiatives prises par le groupe Eunic avec celle de la délégation de l’UE.
La conférencière a indiqué que les priorités que le groupe Eunic s’est fixées s’inscrivent de manière générale dans celles du réseau Eunic dans son ensemble concernant la promotion de la diversité culturelle, la compréhension entre les peuples et l’approfondissement international du dialogue et de la coopération culturelle avec les pays tiers. «Ces priorités se concentreront sur le développement des capacités dans tous les métiers liés au domaine des arts, de l’industrie créative et de l’éducation. Celles-ci s’inscrivent dans le réseau Mena et du projet emblématique, en particulier, auquel le groupe  d’Alger s’efforcera de participer.» Par ailleurs, le groupe Eunic sera appelé à participer à l’élaboration et la discussion de la politique culturelle européenne en Algérie, pouvant servir de facilitateur pour l’accès aux projets financés par des fonds européens.
Eunic est également organisé en réseaux régionaux. L’Algérie, le Maroc, la Libye,  la Tunisie, le Liban, l’Egypte, la Syrie et la Jordanie font partie du réseau MENA. Pour la préparation des projets régionaux, une première réunion a eu lieu en septembre 2011 à Rabat. Une autre intitulée Arab European Forum est prévue au cours de cette année à Amman.
Il est à noter que dans le cadre du projet «Un pont entre les deux rives : rencontres plurielles de jeunes créateurs algériens d’Europe et d’Algérie», Eunic organise, le demain à 15h, à l’Institut culturel italien d’Alger, un débat portant sur les thèmes de l’art et des expériences professionnelles. Cette première rencontre verra la participation du violoniste algérien Nabil Hamai, qui dirigera une master-class en direction des jeunes étudiants en musique du conservatoire d’Alger, suivie à 17h d’une performance musicale.
En mars prochain, une deuxième action sera à l’honneur : le  British Council organisera une rencontre de trois jours dédiée à la traduction.
Pour rappel, à l’échelle internationale, le réseau  Eunic regroupe tous les organismes des Etats membres de l’Union européenne chargés des activités culturelles à l’étranger. Depuis sa création en 2006, ce réseau compte 30 membres représentant 26 pays. Plus de 60 réseaux nationaux Eunic ont vu le jour. Leur action est axée, essentiellement, sur les arts, les langues, la jeunesse, l’enseignement, les sciences, le dialogue interculturel et le développement.   
 
Nacima Chabani ELWATAN
 

British Council Algerie formation chambres de commerce et des entrepreneurs 2012

British Council : Formation au profit des chambres de commerce et des entrepreneurs

Une formation de trois jours en langue anglaise a été lancée, hier, à Alger par British Council à l'attention des Chambres  de commerce, des entrepreneurs et des entreprises algériens désirant créer   des écoles de langue anglaise en Algérie. Cette formation intervient suite à la "forte demande" relative à l'expertise que pourrait apporter le Royaume-Uni en matière de création et de soutien   de ces écoles, a indiqué l'ambassadeur britannique à Alger, M. Martyn Roper dans une allocution d'ouverture de cette session. Il a précisé qu'il s'agit d'un "projet-pilote" auquel l'ambassade, à travers British Council, apportera son appui technique.
Par ailleurs, M. Roper s'est félicité des "bonnes relations" qu'entretiennent  l'Algérie et le Royaume-Uni dans divers domaines, notamment la lutte contre le terrorisme, le commerce et le tourisme. De son côté, le directeur du British Council, M. Jeremy Jacobson, a  relevé le "grand engouement" des Algériens pour la langue anglaise, affirmant que l'institution qu'il dirige les aidera à lancer des écoles à cet effet.  M. Jacobson a évoqué, à cet égard, l'expérience du British Council en Europe, notamment en Roumanie où des écoles de formation ont été créées et qui ont assuré l'enseignement de l'anglais dans ce pays. ELMOUDJAHID

dimanche 29 janvier 2012

Mr Dahou Ould Kablia ministre algérien de l'Intérieur réouverture des frontières Maroc-Algérie très plausible 2012


La réouverture des frontières Maroc-Algérie « très plausible » selon le ministre algérien de l’Intérieur
Sujet quasi tabou autrefois, la réouverture des frontières avec le Maroc commence à devenir un leitmotiv chez les dirigeants algériens. Après les informations faisant état de préparatifs pour une réouverture dans les prochains mois, c’est autour du ministre algérien de l’Intérieur de laisser entendre que cette éventualité est « très plausible » eu égard au réchauffement des relations entre les deux pays.  « La réouverture de la frontière entre l’Algérie et le Maroc est très plausible eu égard au réchauffement des relations bilatérales marquées par la récente visite du ministre marocain des Affaires étrangères ». L’auteur de cette déclaration n’est autre que Dahou Ould Kablia, ministre algérien de l’Intérieur. Il l’a faite ce dimanche 29 janvier chez nos confrères du journal électronique Tout Sur l’Algérie (TSA). Cette décision, est « politique », a-t-il laissé entendre, tout en reconnaissant qu’elle « ne concerne pas uniquement le ministère de l’Intérieur ».

Une sortie qui peut être interprétée comme un signal fort en provenance de l’Est, un pays où cette question était plutôt un tabou, le plus souvent évoqué avec une apparente indifférence par les dirigeants algériens. Si officiellement, on indique du côté d’Alger que la réouverture des frontières n’a pas été évoquée lors de la visite d’El Othmani, ni la question du Sahara, il semble toutefois que le passage du nouveau chef de la diplomatie marocaine ait permis au régime algérien de se montrer prêt à des gestes forts sur de nombreux plans. En tout cas, sur l’aspect frontalier, 
la presse algérienne évoquait en fin de semaine dernière, des préparatifs du côté algérien, pour la réouverture des frontières dès le mois de mai prochain.

Quoiqu’il en soit, l’évolution de la situation intéresse de très prêt certaines puissances occidentales. A commencer par les Etats-Unis. La secrétaire d’Etat américaine, s’est même entretenue à ce propos avec Saâd Eddine El Othmani, après son retour d’Alger.  Hillary Clinton, qui avait eu par le passé à regretter la fermeture des frontières entre les deux pays et ses répercussions économiques, aurait félicité par téléphone, son homologue marocain pour son déplacement à Alger, la première pour un ministre marocain des Affaires étrangères depuis 2003. 
Par Mr Oumar Baldé .yabiladi 

Viadeo bureau au Maroc Casablanca. 2012

Viadeo, le réseau social professionnel aux 40 millions de membres dans le monde, a annoncé , lors d’une conférence de presse, l’ouverture d’un nouveau bureau à Casablanca. Le Maroc devient ainsi le premier pays d’Afrique du Nord, et plus globalement du monde arabe, dans lequel Viadeo s’installe, et le deuxième sur le continent après le Sénégal en mars 2011.

L’union pour la méditerranée (UPM) 2012

Impact du printemps arabe sur L’union pour la méditerranée (UPM)

L’UE obligée de revoir sa politique avec ses voisins du Sud

Les 

 L’union pour la méditerranée (UPM)

ntervenus dans le sillage du printemps arabe semblent réanimer quelque peu les initiatives de l’Union pour la Méditerranée (UPM) dont l’ambition est de réactiver durablement le dialogue entre  les deux rives de la Méditerranée et de reconstruire les relations euroméditerranéennes.

S’il n’est pas certain que le dialogue politique puisse être serein et fructueux à court terme, les Européens jouent, en attendant des heures plus propices, la carte de relations économiques plus équilibrées et complémentaires.
L’exigence d’un  partenariat euro-méditerranéen pour répondre aux exigences de la transition démocratique dans les pays du sud méditerranéen a ainsi été au centre d’une réunion  de la commission politique, de sécurité et des droits de l’homme de l’Assemblée parlementaire de l’Union pour la Méditerranée (AP-UPM), qui s’est tenue le 26 janvier 2012 au Parlement européen à Bruxelles.
Des recommandations ont mis l’accent sur la nécessité  d’impliquer l’Union des Parlements méditerranéens, d’adapter son action pour mieux appuyer les nouveaux processus, d’œuvrer en faveur du dialogue économique  et politique et l’accompagnement des mutations en cours dans la région pour les appuyer dans le cadre du respect de la souveraineté des pays. La commission politique, de sécurité et des droits de l’Homme de l’Assemblée parlementaire de l’Union pour la Méditerranée (UPM) a recommandé, par ailleurs, en présence de parlementaires de l’Assemblée populaire nationale (APN),  l’établissement d’un partenariat Nord-Sud axé  sur le développement économique et la complémentarité régionale, notamment avec les pays du Maghreb.
Les participants ont adopté à l’issue des débats une  résolution par laquelle ils appellent à revoir la politique adoptée par l’Europe avec  ses voisins dans le cadre des développements survenus dans la région, à travers «la mise en place d’une politique de coopération étroite et qualitative». Durant cette réunion, prélude à la session plénière de l’Assemblée parlementaire de l’UPM, qui se tiendra en mars prochain au Maroc, le commissaire européen, Stefan Fule, en charge de l’élargissement et de la politique européenne de voisinage, est venu débattre avec les membres de la Commission des processus de transition en Méditerranée et du partenariat de la région avec l’Union européenne. Il a fait un premier bilan des effets de la politique de voisinage renouvelée, en place depuis l’année dernière. Andreu Bassols, directeur de l’Institut européen de la Méditerranée (IEMed), a présenté pour sa part l’état des lieux des processus constitutionnels en cours en Egypte, au Maroc et en Tunisie.
Dans le détail, la résolution  adoptée suite à cette réunion à Bruxelles, mise sur «davantage d’échanges et  d’investissements, car la nouvelle dynamique commerciale appuyée par un taux  de croissance élevé, constitue la condition sine qua non pour la création d’un  espace économique euro- méditerranéen», précise la résolution, qui comprend 13  recommandations.
Le texte a également appelé à revoir la politique adoptée par l’Europe avec  ses voisins dans le cadre des développements survenus dans la région, à travers «la mise en place d’une politique de coopération étroite et qualitative». Les participants ont enfin appelé les gouvernements, notamment ceux du Nord,  à «passer à la concrétisation des projets, à mettre en œuvre une stratégie économique forte et cohérente et à lancer des projets structurants dans les domaines de l’énergie, des transports, des PME, des affaires sociales, de l’éducation  et de l’environnement», notamment au profit des pays sortant d’une crise.
Zhor Hadjam ELWATAN

Algerie université panafricaine spécialisée dans les énergies renouvelables 2012


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES 

 Ouverture en septembre prochain en Algérie d’une université panafricaine spécialisée dans les énergies renouvelables

Dimanche 29 janvier 2012
Une université panafricaine spécialisée dans les énergies renouvelables et les changements climatiques ouvrira ses portes en septembre prochain en Algérie, a annoncé le sous-directeur de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique au cours des assises nationales sur l’énergie et les ressources en eau, ouvertes samedi à Bou Ismail (Tipasa).
M. Mokhtar Sellami, qui a précisé que le choix définitif de l’institution devant l’abriter n’a pas encore été arrêté, a indiqué que cette université devrait accueillir quelque 450 doctorants de tout le continent africain.
La décision de création de cette université panafricaine en Algérie a été prise, selon ce responsable, lors du sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine de juillet 2011. L’université fera l’objet d’une expertise et d’un financement allemand, a ajouté la même source.

Bourse d’Alger relance 2012

Le ministère des Finances donne son feu vert pour un projet de relance de la Bourse d’Alger
ALGER - Le ministère des Finances a donné son approbation à un projet de relance de la Bourse d’Alger à travers l’amendement du règlement général de cette Bourse, a indiqué dimanche le directeur général de la Société de gestion de la Bourse des valeurs, M. Mustapha Ferfera.APS

samedi 28 janvier 2012

Algerie 2012 XXIe siècle youtube

Tour d’Algérie 2012 Espagne Europe


Tour d’Algérie 2012 : La formation espagnole,
 "KTM Bike Industries" souhaite y participer
ALGER - L’équipe espagnole du "KTM Bike Industries" établie à Murcia (Espagne) a exprimé son souhait de participer au prochain Tour d’Algérie de cyclisme et au circuit international d’Alger qui auront lieu respectivement du 10 au 14 mars et le 16 mars 2012, a-t-on appris samedi, auprès du président de la Fédération algérienne de cyclisme (FAC).
"Parmi les équipes étrangères qui ont exprimé leur souhait de participer au Tour d’Algérie et au circuit international d’Alger prévus la première quinzaine de mars, figure celle du +KTM Bike Industries+ de la ville espagnole de Murcia" a indiqué Rachid Fezouine.
"L’équipe du KTM a participé à plusieurs tours à travers le monde : Iran Azerbaïdjan, Canada, Turquie, Grèce, Roumanie, Bulgarie, Portugal, Bolivie, Mexique, Venezuela, France, Autriche, Allemagne. Mais ce sera la première fois qu’elle mettra les pieds en Afrique à l’occasion de la tenue du Tour d’Algérie et du circuit international d’Alger" a-t-il précisé.
"En cas de présence de KTM , ses responsables nous ont promis d’engager leurs meilleurs cyclistes afin de rehausser le niveau technique des ces deux compétitions" a conclu le premier responsable de la FAC. APS

Mr Yasmina Khadra fondation américaine Time For Peace 2012


Le romancier Yasmina Khadra distingué
PARIS- Le romancier algérien Yasmina Khadra vient d’être distingué par la fondation américaine Time For Peace qui lui a décerné jeudi son prix littéraire lors d’une cérémonie au siège du parlement européen à Bruxelles (Belgique).
C’est la première fois de son histoire que cette institution, basée à New York, récompense un homme de Lettres, après avoir couronné uniquement des célébrités du cinéma et de la musique tels que le réalisateur américain Steven Spielberg, la chanteuse canadienne Céline Dion, le chanteur-compositeur américain Steevie Wonder ou encore le chanteur-parolier français Charles Trenet.
Ecrivain prolifique, traduit dans 41 pays, Yasmina Khadra, de son vrai nom Mohammed Moulessehoul a publié de nombreux romans qui ont connu un succés mondial. Il est notamment l’auteur de Morituri (1997), "Les agneaux du Seigneur" (1998), "A quoi rêvent les loups" (1999) et "L’écrivain" (2001).
Yasmina Khadra a également illustré le "dialogue de sourd" qui oppose l’Orient et l’Occident avec sa trilogie "Les Hirondelles de Kaboul", qui raconte l’histoire de deux couples afghans sous le régime des Talibans, "L’Attentat" roman dans lequel un médecin arabe recherche la vérité sur sa femme kamikaze, et "Les Sirènes de Bagdad" qui relate le désarroi d’un jeune bédouin irakien poussé à bout par l’accumulation des bavures par les troupes américaines.
En 2008, Yasmina Khadra publie "Ce que le jour doit à la nuit", un roman sur la guerre de libération nationale algérienne, sur la douleur d’un peuple, ses valeurs et ses idéaux, et qui reçut plusieurs prix en France.
En 2010, il publie "L’Olympe des infortunes", un roman qui plonge le lecteur dans l’univers méconnu des sans-abri. "L’équation africaine" est son dernier roman, paru en 2011.APS

Algerie WASHINGTON FMI 2012


FMI : l’économie algérienne ’’se porte relativement bien’’, croissance de plus de 3% en 2012
WASHINGTON - Le FMI a affirmé vendredi que ’’l’économie algérienne se porte relativement bien’’ malgré un climat d’incertitude économique internationale, et lui prévoit une croissance allant entre 3 et 3,5% en 2012.
C’est l’appréciation générale à laquelle a abouti le Conseil d’administration du FMI qui a conclu le 11 janvier en cours les consultations au titre de l’article IV de ses statuts sur l’Algérie.
Dans sa présentation de la situation de l’économie algérienne, l’institution de Bretton Woods souligne que ’’la croissance est restée solide en 2011 et la hausse des cours du pétrole renforce le solde extérieur et les recettes budgétaires du pays’’.
’’L’effet d’entraînement du Programme d’investissements publics (PIP) devrait maintenir le taux de croissance hors hydrocarbures autour de 5%, et porter la croissance du PIB global à 2,5% environ’’ sur l’année 2011.
Jusqu’à présent, poursuit le FMI, ’’la hausse des cours internationaux des produits alimentaires et les relèvements substantiels des salaires de la fonction publique ne se sont pas traduits par une progression sensible de l’inflation en raison des subventions accrues des produits alimentaires de base, d’une hausse de l’épargne des ménages, d’une plus grande demande d’importations et d’une politique monétaire vigilante’’.
Dans l’ensemble, le FMI estime que le taux d’inflation s’est maintenu autour de 4 % en 2011.
Avec la hausse des cours du pétrole, l’excédent du compte courant est porté à 9,5% du PIB en 2011 et les recettes budgétaires des hydrocarbures augmentés de 30%, précise le rapport.
Tout en relevant la hausse substantielle des réserves officielles de devises, le FMI indique, cependant, que ’’le budget restera déficitaire de 4% du PIB environ, l’augmentation des recettes budgétaires étant plus que compensée par une hausse de 32% des dépenses totales, en particulier des salaires de la fonction publique et des transferts’’.
Par ailleurs, le Conseil d’administration du FMI soutient que ’’les perspectives restent favorables à court terme, mais la viabilité budgétaire et la stabilité financière à moyen terme deviennent davantage tributaires de la volatilité des cours du pétrole’’.
A court terme, poursuit-il, la croissance ’’continuera d’être tirée par les investissements publics et le programme d’investissements de la compagnie nationale d’hydrocarbures (Sonatrach)’’.
Pour l’année 2012, le FMI avance que ’’le PIB hors hydrocarbures pourrait progresser de 5%, mais la production d’hydrocarbures devrait poursuivre sa baisse du fait d’une faible demande mondiale, limitant le taux de croissance globale entre 3 et 3,5 % environ’’.
Toujours pour l’année en cours, le Fonds estime que l’inflation devrait se maintenir aux alentours de 4 % ’’si la hausse des prix des produits alimentaires frais reste modérée et les pressions inflationnistes résultant de l’augmentation des salaires sont maîtrisées’’.
A moyen terme, ’’les cours du pétrole qui, selon les prévisions, devraient être relativement élevés, devraient maintenir un solde extérieur positif et des recettes budgétaires importantes, mais le solde budgétaire restera déficitaire’’, prédit-il.
Selon cette institution financière internationale, ’’l’orientation budgétaire expansionniste de ces dernières années a, cependant, rendu la situation budgétaire vulnérable aux fluctuations des cours du pétrole’’, ajoutant que le prix, permettant d’équilibrer le budget, est aujourd’hui légèrement supérieur à 100 dollars le baril.
Le FMI prévient que ’’d’importants risques baissiers émergeront en cas de dégradation de la situation économique internationale et d’un repli prolongé des cours du pétrole’’.
Les positions extérieure et budgétaire ’’seraient alors sérieusement affaiblies, entraînant vraisemblablement une réduction forcée des investissements publics et se traduisant par un fléchissement de la croissance et une hausse du chômage’’, note-t-il encore.
Le FMI réitère que des défis importants subsistent, notamment la nécessité de diversifier l’économie algérienne, d’améliorer le climat des affaires, de faire reculer le chômage et de réduire les vulnérabilités à moyen terme.
’’L’investissement public devant jouer un rôle moins dynamique dans l’économie, le secteur privé devra devenir un moteur plus puissant de croissance et de création d’emplois’’, préconise-t-il.
Pour atteindre cet objectif, le FMI rappelle que ’’les autorités algériennes ont lancé en 2011 une série de consultations avec les partenaires sociaux afin d’améliorer le climat des affaires, ce qui est essentiel pour améliorer les perspectives de croissance à long terme’’.
Sur la base de tous ces éléments d’évaluation, ’’le Conseil d’administration salue les bonnes performances économiques globales réalisées par l’Algérie ces dernières années dans un environnement économique international difficile’’.
Néanmoins, le Conseil note que ’’des défis importants subsistent et encouragent les autorités à redoubler d’efforts en vue de préserver la stabilité macroéconomique, rétablir la prudence budgétaire et diversifier l’économie avec un secteur privé plus solide’’.
Les administrateurs du FMI soulignent que ’’bien que les cours élevés du pétrole permettent de répondre aux revendications sociales urgentes et maintenir la stabilité sociale, cela devrait être géré avec prudence pour éviter des tensions inflationnistes et préserver la viabilité budgétaire à moyen terme’’.
En outre, le Conseil d’administration ’’félicite la Banque d’Algérie pour avoir maîtrisé les tensions inflationnistes et avoir efficacement absorbé une liquidité systémique accrue générée par la hausse des recettes des hydrocarbures et le niveau important des dépenses publiques’’.
Les administrateurs ’’sont d’avis que le régime de change a bien servi l’Algérie et saluent la détermination des autorités à maintenir le taux de change réel proche de son niveau d’équilibre, mais soulignent la nécessité de renforcer les déterminants fondamentaux du taux de change, y compris la position budgétaire et les gains de productivité’’.APS

vendredi 27 janvier 2012

Mr Ahmed Ouyahia premier ministre ADDIS ABEBA réunions de l’UA 2012


Réunions de l’UA : arrivée de M. Ouyahia à Addis Abeba
ADDIS ABEBA - Le Premier ministre, M. Ahmed Ouyahia, est arrivé vendredi à Addis Abeba (Ethiopie) où il représentera le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, à la 26e réunion des chefs d’Etat et de gouvernement du Comité africain d’orientation du NEPAD puis au sommet du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP).
M. Ouyahia a été accueilli à l’aéroport d’Addis Abeba par le ministre éthiopien de l’emploi et du travail, M. Abdelfetah Abdallah.
M. Ouyahia doit présenter, au nom du président de la République, le deuxième rapport sur la gouvernance en Algérie.
Les travaux du 18e sommet de l’Union africaine (UA) sont prévus les 29 et 30 janvier à Addis Abeba.APS

Algerie Internet à 50% à l’horizon 2014 Mr Moussa Benhamad ministre de la Poste et des technologies de l’information et de la communication 2012



Benhamadi : le secteur vise à porter
 le taux d’abonnement au réseau Internet à 50% à l’horizon 2014
ALGER - Le ministre de la Poste et des technologies de l’information et de la communication, Moussa Benhamadi a affirmé jeudi que son secteur vise à porter le taux d’abonnement au réseau Internet de 20 à 50% à l’horizon 2014.
En réponse à une question orale sur "les mesures à prendre pour l’amélioration des prestations Internet" posée par un député lors d’une séance plénière de l’assemblée populaire nationale (APN) le ministre a estimé que le taux des prestations Internet "demeure encore modeste" précisant que tous les efforts déployés jusqu’à présent ont été en deçà des attentes et que des actions sont entreprises pour rattraper les retards.
Parallèlement, le ministre a tenu à souligner les efforts que l’Etat continue de déployer pour la généralisation de Internet à haut débit dans le Sud, les Hauts plateaux, les montagnes et dans les régions isolées.
Abordant les mesures prises pour améliorer et généraliser les prestations Internet et élever le taux des abonnés M. Benhamadi a évoqué l’opération de renforcement du réseau principal national vertical à travers l’établissement de réseaux locaux au niveau des wilayas.
Le ministre a mis l’accent sur la généralisation de Internet à une vitesse 2 mégabits et plus à titre gratuit à travers les lieux publics, les maisons de culture, les établissements scolaires (lycées, collèges), et ce, à la charge du ministère via le fonds de financement des utilisateurs des technologies de l’information et de la communication. Et pour atteindre ce but, a poursuivi le ministre, une procédure est en cours pour promouvoir la large bande des réseaux de télécommunications. Des dispositions seront également prises pour sécuriser les réseaux, a-t-il souligné.
Le téléphone portable de 3e génération (3G) sera introduit au plus tard avant la fin du 1er semestre 2012 afin de développer le réseau de connexion Internet à haut débit, a annoncé le ministre, indiquant que le programme de généralisation des technologies de l’information et de la communication, y compris Internet à haut débit, demeure l’une des priorités nationales.
A ce propos, M. Benhamadi a rappelé la réunion du Conseil des ministres tenue en décembre 2011 au cours de laquelle a été arrêté un plan national de haut débit inscrit dans le cadre de la stratégie nationale "e-Algérie", rappelant que l’introduction de Internet à haut débit est une opération récente qui a débuté en 2005 en se basant sur un type de technologie nouvelle et dont le nombre des utilisateurs était réduit en 2006 puis a augmenté vers la fin 2011 pour atteindre 8 millions d’utilisateurs, soit 20 pc de la population.
"Au niveau régional, nous sommes en cours de réalisation d’une ligne de fibres optiques reliant Alger à Abuja (Nigeria) , en passant par des villes de l’intérieur et du Sud du pays.APS

Mr Ramtane Lamamra commissaire de l’Union africaine (UA) pour la paix et la sécurité 2012


M. Lamamra : Il y a une grande volonté africaine
 de réélire l’Algérie à la tête de la commission de paix et de sécurité
ADDIS ABEBA - Le commissaire de l’Union africaine (UA) pour la paix et la sécurité, Ramtane Lamamra, a souligné, vendredi à Addis-Abeba, que la candidature de l’Algérie pour un second mandat à la tête du conseil jouit d’un large soutien auprès des pays membres de l’UA eu égard aux efforts de ce dernier dans le règlement de nombreuses crises et conflits en Afrique tout au long des quatre dernières années.
Dans une déclaration à l’APS en marge des travaux de la deuxième journée de la 20e session du conseil exécutif de l’UA qui se tient actuellement à Addis-Abeba,
M. Lamamra a précisé que "les efforts consentis par le conseil de paix et de sécurité durant son précédent mandat et ses efforts dans le règlement de nombreux conflits et crises a amené l’Algérie à réfléchir au renouvellement de son mandat à la tête de la commission de paix et de sécurité de l’UA".
Il a en outre précisé que la volonté de l’Algérie "correspond au souhait de nombreux pays membres de l’UA", ajoutant que la campagne électorale des candidats (Algérie, Ethiopie et Botswana) est en cours et se déroule dans un climat démocratique.
Le diplomate algérien s’est dit convaincu que "la place de l’Algérie ainsi que son apport au continent africain sont le meilleur atout dans cette compétition".
M. Lamamra a indiqué par ailleurs, que le mandat précédent du conseil de paix et de sécurité était jalonné de défis à relever en matière de paix et de sécurité en Afrique. "Les questions de paix et de sécurité sont parmi les priorités de l’UA et le règlement des conflits constitue, de ce fait, un préalable pour avancer dans la réalisation des programmes de l’UA aux plans politique, économique et social et aboutir à l’intégration escomptée", a-t-il affirmé.
Il a ajouté que le conseil a contribué par des efforts considérables avec les pays membres et les blocs régionaux au règlement de nombreuses crises et conflits notamment en Mauritanie, au Niger, en Guinée et aux Comores. M. Lamamra a précisé que le conseil œuvrait laborieusement en coopération avec les Nations unies et les blocs régionaux à trouver des solutions aux problèmes somalien et soudanais.
Le conseil exécutif procèdera à l’élection des membres des commissions de l’UA, des dix membres du conseil de paix et de sécurité et d’un juge du tribunal administratif de l’UA.
25 candidats des cinq zones du continent africain se disputeront les huit postes des commissions de l’UA.APS