Algerie Europe coopération durable

Algerie Europe coopération durable
Patrick le Berrigaud

jeudi 31 mai 2012

الجزائر 2012 فرنسا أوروبا التعاون


الجزائر هو "أبواب أفريقيا" لجميع الشركات الراغبة في العمل في هذه القارة. اليوم نرى كل الإرادة الدولية لتوثيق العلاقات الاقتصادية مع الدول الكبرى. وقد أدركت اليابان والولايات المتحدة، على أهمية علاقات دائمة الاستراتيجية مع هذا البلد العظيم. وضعت الكثير من الأنشطة الاقتصادية هناك بما في ذلك الطاقة المتجددة والسياحة والهواتف الجوالة أو القطاع المصرفي.فرنسا، أكثر من أي بلد آخر، وهناك العديد من المزايا: اللغة نفسها، ووضع إطار قانوني مماثل، والقرب الجغرافي والتاريخ المشترك. ناهيك عن الترحيب الحار من الجزائريين أن أي شخص يكتشف عند وصولهم إلى الجزائر العاصمة.
 
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Algérie OMC cycle de négociations 2012


Cycle de négociations Algérie OMC

La question de la double tarification du gaz réglée

Aux yeux de l’opinion publique, l’accession de l’Algérie à l’OMC est gênée par deux dossiers. La libéralisation des services d’un côté,
la double tarification des prix du gaz de l’autre.

Le groupe de travail chargé de l’accession de l’Algérie à l’OMC s’est réuni pour la première fois en 1998. S’en est suivi un long cycle de négociations qui aura duré 14 années sans que la demande d’adhésion du candidat algérien ait finalement été acceptée.
Les négociateurs se sont réunis en tout et pour tout dix fois. Aujourd’hui encore, on a du mal à bien définir les avancées dans le processus de réalisation et à situer les blocages qui persistent. D’autant que les déclarations des responsables en charge du dossier, aussi bien au ministère du Commerce qu’à celui des Affaires étrangères sont assez diffuses à ce propos.
Aux yeux de l’opinion publique, l’accession de l’Algérie à l’OMC est gênée par deux dossiers. La libéralisation des services d’un côté, la double tarification des prix du gaz de l’autre. Du moins, c’est ce qu’on a laissé croire.
Récemment, le directeur des relations avec l’OMC au ministère du Commerce, Mohamed El Hadi Belarima, avait annoncé que la question de la double tarification du gaz avait été réglée conformément aux dispositions de la loi promulguée en 2007 sur les hydrocarbures et sur la concurrence, de manière à ce que l’Etat préserve le droit de fixer les prix sur le marché interne après concertation avec les opérateurs économiques. Un point qui ne figure pas au bilan des négociations, vu que les membres de l’OMC considèrent qu’il reste beaucoup à faire pour l’Algérie en matière de politique des prix des hydrocarbures. On annonce également que l’Algérie a déposé, en février dernier, une nouvelle offre sur les services. Il lui reste encore des réformes législatives à adopter en matière de normes techniques phytosanitaires et sanitaires. Cependant, les choses sont pour l’Algérie plus compliquées qu’elles ne le semblent.

Nouvelle offre de services

Il est vrai que les membres de l’OMC ont reconnu les progrès réalisés par l’Algérie sur un certain nombre de points, comme la réforme de son régime de commerce, afin de le rendre pleinement compatible avec les règles de l’OMC. L’Algérie a ainsi adopté de nouvelles lois en matière d’obstacles techniques au commerce (OTC), de mesures sanitaires et phytosanitaires (SPS), de propriété intellectuelle (ADPIC), de pratiques antidumping, de sauvegarde et de mesures compensatoires, de politique des prix, d’évaluation en douane, d’importation de produits pharmaceutiques et de boissons alcoolisées, d’exportation de viandes bovine et ovine et de palmiers.
Mais cela ne suffit pas à satisfaire les membres de l’OMC. Selon eux, il y a encore beaucoup à faire concernant les législations régissant les entreprises d’Etat, les prix des hydrocarbures, les droits de commercialisation et la présence commerciale, le régime fiscal (TVA et autres taxes à la consommation), les subventions à l’exportation, ainsi que de nouvelles mesures SPS, OTC et ADPIC.
Et l’Algérie n’est pas au bout de ses peines. Il reste encore à finaliser les accords bilatéraux. Cinq accords ont jusqu’ici été signés avec le Brésil, l’Uruguay, Cuba, le Venezuela et la Suisse.
Les négociations avec l’Argentine, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la Malaisie et l’Indonésie semblent également avancer dans le bon sens. Néanmoins, le processus paraît au point mort avec le partenaire commercial le plus important de l’Algérie, à savoir l’Union européenne, qui reste loin du soutien annoncé à la signature de l’Accord d’association.

 
Melissa Roumadi ELWATAN

Algérie veut un partenariat productif durable 2012


Le Chef de l’état à la 45e foire Internationale d’Alger

“L’Algérie veut un partenariat productif durable

Un atelier sur les techniques de négociations dans le cadre de l’adhésion à l’OMC est prévu pour le mois d’octobre prochain. 


Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a inauguré, hier, la 45e Foire internationale d’Alger (Fia). Le premier magistrat du pays s’est contenté d’une brève virée vers le pavillon égyptien, pays invité d’honneur de l’édition 2012, avant d’achever sa visite. Abdelaziz Bouteflika a, lors de son entretien avec le ministre égyptien de l’Habitat, Mohamed El-Bradeï, insisté sur la nécessité de mettre en place un partenariat productif durable entre les deux pays. Les quelque 217 opérateurs économiques venus d’Égypte ont exprimé leur ferme volonté de nouer des relations d’affaires dans tous les secteurs d’activité. À vrai dire, l’Égypte a été choisie comme pays d’honneur de la Fia en 2010. Mais, compte tenu des évènements qui se sont produits à l’issue du match qui a opposé les deux équipes nationales, le gouvernement égyptien a jugé utile de reporter l’invitation.
Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, présent à cette cérémonie d’ouverture, a expliqué aux autorités égyptiennes que les programmes quinquennaux marqués par de grands projets structurants prévus par l’Algérie attirent toutes les convoitises du monde. Ce qui permet à notre pays de sélectionner ses partenaires et de saisir les meilleures offres. “L’Algérie exigera ainsi un transfert de technologie et de savoir-faire des investisseurs étrangers”, affirmera M. Benbada. Car il existe des entreprises algériennes en mesure d’exporter leurs produits mais, soulignera-t-il, elles manquent d’expérience et de technicité dans le domaine de l’exportation. En s’associant avec des homologues d’outre-mer, ces opérateurs pourront utiliser leur réseau de distribution et placer de ce fait leurs produits sur le marché international. Le ministre du Commerce a également indiqué que la liste négative établie par l’Algérie pour les produits commercialisés par des pays comme l’Égypte, la Jordanie… dans le cadre de la zone arabe de libre-échange, est un droit que confère à notre pays la Ligue arabe. “Cette mesure est toutefois provisoire, d’autant plus qu’elle a une durée d’existence de 5 ans. Et si ces pays avancent un argumentaire plus fort que le nôtre, nous serons prêts à négocier sur un, deux ou trois produits en question”, ajoutera M. Benbada. Par ailleurs, la pomme de discorde entre les pays membres de la Zale demeure l’origine des produits. Au sein de la ligue, avouera le ministre, il n’y a pas encore d’accord entre partisans de valeur ajoutée et de transformation substantielle et ceux qui souhaitent une intégration à 40%. “L’option de l’intégration ne nous arrange pas car, mise à part l’Arabie Saoudite, les autres pays n’ont pas d’assise industrielle solide”, relèvera-t-il. Le Conseil économique et social de la ligue, qui a reçu la liste négative de la part de l’Algérie en 2011, a invité les Algériens à une autre discussion autour de cette question pour le mois en cours. Ce conseil souhaite que ce problème soit résolu avant la tenue de son sommet prévu pour le mois de septembre prochain. Abordant le processus d’adhésion à l’OMC, M. Benbada a déclaré que le groupe des négociateurs algériens devait affiner leur stratégie sur la base des “signaux” envoyés par les autres pays membres.
À ce propos, le ministère du Commerce a programmé un atelier sur les techniques de négociation dans le cadre de l’OMC. Financée par les banques islamiques, cette rencontre, qui regroupera quelque 9 pays expérimentés, se tiendra en octobre prochain. Des experts seront à cette occasion invités à assurer des sessions de formation sur les méthodes de négociation au sein de l’OMC.


LIBERTE Par : Badreddine KHRIS B K

Google Translate 2012


Google Translate permet désormais aux utilisateurs de modifier les traductions

Mr RACHID MOUSSAOUI DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L’ANDPME 2012


Tout est prêt pour la mise à niveau

LE  (AGENCE NATIONALE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PETITE ET MOYENNE ENTREPRISE), RACHID MOUSSAOUI, A FAIT LE POINT SUR L’OPÉRATION DE MISE À NIVEAU, DANS UN ENTRETIEN ACCORDÉ À LA CHAÎNE III DE LA RADIO NATIONALE DONT IL ÉTAIT L’INVITÉ DE LA RÉDACTION.
Il estime que les leçons ont été tirées par rapport à tous les programmes de mise à niveau déjà appliqués dans notre pays. Il fait savoir que tous les textes sont mis en place et le dispositif réglementaire est ainsi mis en œuvre pour la nouvelle opération de mise à niveau. Il reconnaît qu’il y a eu un retard mais celui-ci a été mis à profit. Il rappelle que ce sont 386 milliards de dinars pris du budget de l’Etat qui sont mis dans cette nouvelle opération de mise à niveau et que cela exige un suivi des procédures, au nombre de 15. Il souligne que le programme de mise à niveau permet de mettre en place les labels, les normes et les certifications. L’investissement immatériel consiste en l’accompagnement pour que l’entreprise soit dans les normes. Selon Rachid Moussaoui, l’ANDPME a enregistré 1 800 demandes d’adhésion au programme. Il fait savoir également que l’Ansej a été sollicitée et 3 300 micro-entreprises ont été retenues à partir de cette Agence. Ces dernières répondent aux critères pour ce programme. A propos de la mortalité des PME, il fait remarquer que 9 700 entités sont dans ce cas. On accorde, dt-il, de l’importance à l’information concernant la démographie des PME. Tous les six mois, dit-il, le point est fait par une structure spécialisée du ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements. Ce travail est fait en collaboration avec les universitaires et chercheurs dans le cadre des programmes nationaux de recherche. Le phénomène de la mortalité des PME a des causes endogènes et des causes exogènes, dit-il. Les causes endogènes sont, explique-t-il, essentiellement liées aux insuffisances dans le management et dans l’absence d’introduction des technologies de l’information et de la communication, quant aux causes exogènes, comme leur nom l’indique, elles relèvent de l’environnement de l’entreprise. Il fait remarquer que les deux plans quinquennaux de construction de logements ont drainé beaucoup de PME qui se sont redéployées dans les créneaux liés à ce secteur. Pour le DG de l’ANDPME, la pétrochimie est à promouvoir, de même que la filière mécanique qui est en déploiement et qui attire des sous-traitants.

N R LA NOUVELLE REPUBLIQUE LAKHDAR A.

Algerie Allemagne Europe renforcer ses relations économiques avec l’Algérie 2012


30 entreprises allemandes y participent

“L’Allemagne souhaite renforcer ses relations économiques avec l’Algérie

Pour la 13e fois, la République fédérale d’Allemagne participe officiellement avec 30 exposants à la 43e édition de la Foire internationale d’Alger (FIA) prévue du 30 mai au 5 juin 2012 à Alger, annonce  l’ambassade de la République fédérale d’Allemagne Alger, dans un communiqué. “À travers cette participation, l’Allemagne, soutenue par le ministère fédéral de l'Économie et de la Technologie (BMWi), souhaite renforcer ses relations économiques avec l’Algérie et promouvoir des partenariats d’affaires”, souligne l’ambassade de la République fédérale d’Allemagne à Alger, relevant que “les échanges commerciaux entre l’Allemagne et l’Algérie se sont consolidés en 2011”. Les exportations allemandes vers l’Algérie en 2011 ont atteint 1,5 milliard d'euros et les importations allemandes en provenance de l’Algérie, 1,9 milliard d’euros. Sur une surface de 1 500 m2, 30 entreprises allemandes seront présentes avec des produits et prestations dans le domaine de la construction des machines. Par ailleurs, une surface extérieure de     1 000 m2 présentera les entreprises allemandes qui exposent leur gamme de produits tels que les engins. Parmi les exposants présents à la FIA figurent Sennebogen Maschinenfabrik GmbH, Baier + Köppel GmbH, Inlog Industriewaren KG, Boehnke & Luckau GmbH, Schaeffler Technologie AG, KILIA GmbH, Deutsche Milch Kontor GmbH, Liebherr, etc.
M. R  Par : Meziane Rabhi  LIBERTE

Centre d’information commerciale destiné aux exportateurs ALGEX. 2012


Le Centre d’information commerciale opérationnel avant fin 2012 (responsable)
ORAN - Le Centre d’information commerciale destiné aux exportateurs sera opérationnel avant la fin de l’année en cours, a annoncé, mercredi à Oran, le Directeur de l’agence nationale de promotion du commerce extérieur "ALGEX".
Installé au niveau de l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur et doté de tous les moyens nécessaires, le centre permettra à l’opérateur économique d’accéder aux différentes banques de données de l’Agence concernant les activités d’exportation, a souligné Idir Astouati dans communication sur le rôle d’ALGEX.
D’autre part, le même organisme compte élaborer des études de marchés "personnalisés" au profit des opérateurs économiques, a-t-il indiqué lors d’une rencontre sur la promotion des exportations hors hydrocarbures.
Des produits alimentaires comme les pâtes, l’huile d’olive, le couscous et autres produits industriels (équipements électroménagers, câbles électriques, ...) que l’Algérie peut exporter sont identifiés au niveau de l’agence, a-t-on également signalé.
La rencontre, organisée par la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie (CCIO) et la Compagnie algérienne d’assurance et de garantie des exportations (CAGEX), a constitué une occasion pour les opérateurs économiques de la wilaya de connaitre les différentes facilités offertes par les services des douanes et des impôts dans le domaine de la promotion des exportations hors hydrocarbures.APS

Algerie Turquie partenariat échanges Blida 2012


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES 

 Les Turcs cherche des opportunités de partenariat et d’échanges

Mardi 29 mai 2012
Encouragés par la réussite de leurs compatriotes déjà installés dans la Mitidja à travers plusieurs investissements, des opérateurs économiques turcs sont venus dimanche en force à Blida à la recherche d’opportunités commerciales de partenariat et d’échanges.
Des entretiens entre l’importante délégation d’hommes d’affaires turcs, conduite par le conseiller commercial de l’ambassade turque à Alger, et le président de l’association commerciale Tumsiad et les membres de la Chambre de commerce et d’industrie de la Mitidja, représentée par son président, Chami Ramdane, ont ainsi eu lieu. Les deux parties ont passé en revue l’état des relations commerciales et les possibilités de les renforcer en mettant en exergue les opportunités offertes de part et d’autre. La partie turque renferme des entreprises de différents secteurs, dont l’agroalimentaire, en particulier la production de lait, le textile, les équipements, les énergies renouvelables et la construction.
Les hommes d’affaires turcs ont été alors impressionnés par la richesse et les potentialités, notamment agroalimentaires, de la Mitidja en se déclarant prêts à s’engager dans des projets de partenariat mutuellement fructueux. Du côté algérien, M. Chami a noté avec satisfaction les relations privilégiées qui existent entre l’Algérie et la Turquie, grâce à une coopération prospère, en progression rapide ces dernières années. Il a également souligné la volonté des opérateurs algériens à bénéficier de l’expérience turque dans le domaine du commerce et de l’industrie.
Zeynep B. Karabacak, membre de la délégation installée depuis huit ans à Alger dans le commerce, est un exemple de réussite d’hommes et de femmes d’affaires dans la coopération algéro-turque en arrivant à s’y adapter et œuvre à convaincre d’autres compatriotes à faire de même.
Brahim B. El Watan

Mr Christian Van ambassadeur de Belgique à Alger qualité des liens Algérie Belgique Europe 2012

LES ENTREPRISES BELGES À LA RECHERCHE D'OPPORTUNITÉS

Alger exhibe ses atouts

Le développement des relations de partenariat entre l'Algérie et la Belgique dans divers secteurs, a été au centre d'un forum d'affaires bilatéral qui a regroupé, mardi à Alger, plusieurs responsables d'entreprises belges avec leurs homologues algériens. Intervenant à l'ouverture de cette rencontre, à laquelle ont pris part une douzaine d'entreprises belges, le vice-président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci), Ameziane Medjkouh, a mis en avant les potentialités de l'économie algérienne qui sont, dit-il, «des opportunités qu'il faut saisir pour booster les relations économiques et commerciales bilatérales». Il a énuméré, dans ce contexte, la confortable assise financière dont dispose le pays, dont notamment des réserves de change totalisant plus de 200 milliards de dollars qui assurent, précise-t-il, au moins 4 ans d'importations, et un marché intérieur important fort de 37 millions d'habitants. M.Medjkouh a affirmé, à l'occasion, la nécessité d'encourager les échanges mutuellement bénéfiques pour les deux pays dans le volet commercial et dans l'investissement, ajoutant que l'Algérie dispose d'un dispositif institutionnel à même d'inciter le lancement de nouveaux projets de partenariat. «Il y a une attente de nos entreprises pour améliorer la qualité des relations économiques et commerciales avec les entreprises belges», a insisté le même responsable qui a fait part de la disponibilité de la Caci à accompagner les projets communs entre les opérateurs des deux pays. Citant les chiffres des Douanes algériennes, M.Medjkouh a indiqué que les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Belgique ont atteint 3,2 milliards de dollars en 2011. Les exportations algériennes, constituées à 99% d'hydrocarbures, se sont élevées à 2,3 milliards de dollars, alors que les importations avaient atteint 800 millions de dollars au cours de l'année dernière. En 2011, a-t-il poursuivi, la Belgique a été classée 7e fournisseur de l'Algérie et son 14e client. L'Algérie est le 2e client de la Belgique dans le Continent africain après l'Afrique du Sud. Actuellement, environ 80 sociétés belges sont présentes en Algérie et opèrent, notamment dans les secteurs de la construction, de la pharmacie, des moyens de transport et des technologies de l'environnement. Intervenant à son tour, l'ambassadeur de Belgique à Alger, M.Christian Van Driessche s'est félicité de la qualité des liens économiques et commerciaux qui existent entre l'Algérie et la Belgique et s'est dit convaincu que ces relations allaient se développer davantage à l'avenir. Il a affirmé que la stabilité politique de l'Algérie, sa croissance économique soutenue grâce aux programmes de développement successifs, sont à même d'offrir «beaucoup d'opportunités (...)».L'EXPRESSION 

mercredi 30 mai 2012

Réchauffement climatique Nord Sud un défi 2012



Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

Réchauffement climatique : Un défi qui divise le Nord et le Sud

Mercredi 30 mai 2012
Le réchauffement climatique constitue un des défis majeurs de notre siècle. Son importance est telle que les Nations unies ont décidé d’adopter, dès le premier sommet de la Terre, tenu à Rio en 1992, une convention dénommée CNNUCC (Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques) pour prendre les mesures nécessaires pour lutter contre ce phénomène qui menace l’humanité entière. Vingt ans après, cette question, pourtant d’une extrême gravité, demeure toujours sans réponse.
Les émissions des Gaz à effet de serre (GES) ne cessent de croître en dépit des désastres que cela engendre et malgré les nombreuses mises en garde des organismes et institutions internationaux de protection de l’environnement. A quelques jours du prochain sommet de la Terre (Rio+20), qui se tiendra du 10 au 12 juin au Brésil, il nous a paru utile de rappeler aux lecteurs les enjeux du réchauffement climatique et d’analyser les raisons et les conséquences de l’échec actuel de la communauté internationale sur ce sujet.
Réchauffement climatique : les pays du Sud plus durement touchés
Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), mis en place en 1988 par les Nations unies, le réchauffement climatique est une conséquence directe de l’augmentation de la concentration dans l’atmosphère des gaz à effet de serre et notamment du C02. Ces gaz sont d’origine anthropique, c’est-à-dire liée aux activités de l’homme et plus particulièrement à sa consommation immodérée d’énergies fossiles polluantes tels le charbon et le pétrole. Malgré les objections de certains "climato-sceptiques", le phénomène du réchauffement climatique est un fait avéré. Il a été mesuré par l’Organisation météorologique mondiale (OMM) selon laquelle la décennie 2001-2011 a été "la plus chaude jamais observée sur tous les continents du globe". Ses effets sont tout autant nombreux que cataclysmiques. Il provoque la fonte des glaciers de l’Arctique (voir figure 1) et l’élévation du niveau des océans qui, à terme, entraîneront la disparition de certaines régions du monde comme les îles Maldives. D’autres îles, à l’image de l’île de Lohachara (Inde), disparue en 2006, ont déjà été rayées de la carte. De nombreuses régions continentales sont également menacées. C’est le cas notamment des Pays-Bas et du Bangladesh. Le réchauffement climatique accélère la désertification des terres, réduit les rendements agricoles et provoque un déséquilibre hydrique. Il favorise aussi l’émergence de nombreuses maladies tels les pathologies cardiovasculaires, les cancers et les maladies dues à certains parasites et autres allergènes. Ces effets, qui n’épargnent ni l’homme, ni la faune, ni la flore, ne frappent pas toutes les régions du globe avec la même intensité. D’après le GIEC, l’Afrique, l’Asie et les zones insulaires seront les plus durement touchées. La malnutrition et autres catastrophes naturelles aggraveront donc la situation déjà précaire que vivent les populations de ces régions. Un déplacement massif de réfugiés "climatiques" est prévu par de nombreux organismes. Les Nations unies estiment ce flux migratoire à plus de 250 millions de personnes d’ici 2050 ; certaines ONG l’évaluent à un milliard.
Protocole de Kyoto : un accord "historique" non appliqué
Le protocole de Kyoto a été signé au Japon le 11 décembre 1997 et mis en vigueur le 16 février 2005. Les dispositions principales de ce protocole fixent un objectif de réduction des émissions globales de GES de 5,2% en 2012, par rapport à 1990. Elles définissent aussi le taux de diminution des émissions de GES de tous les pays industrialisés (pays dits de l’annexe I). Ce protocole a été qualifié d’historique par de nombreux observateurs pour plusieurs raisons. D’abord, c’est le premier accord qui arrête des mesures quantifiées pour contenir le réchauffement climatique, ensuite et surtout, parce que les pays industrialisés, qui sont responsables de plus de 70% des GES émis depuis le début de la révolution industrielle, ont reconnu, pour la première fois, leur responsabilité directe dans ce phénomène. Ces pays se sont même engagés, sous peine de sanctions, à limiter leurs émissions de GES, sans astreindre les pays émergents et ceux en voie de développement à une quelconque restriction. C’est le principe de la responsabilité différenciée. Son application a constitué une grande avancée, peut-être même une première, dans les relations internationales. Trop beau pour être vrai, ce protocole n’a pas été, malheureusement, suivi d’effet. Résultat : les émissions de GES, qui devaient diminuer, se sont fortement accrues. A titre d’exemple, les émissions des Etats-Unis, qui représentent 25% des émissions mondiales, ont encore augmenté de 10,5% selon le rapport publié le 15 avril dernier par l’agence américaine de protection de l’environnement (EPA). Ceci est également le cas des autres pays industrialisés. Autre fait sans précédent, le Canada, qui encourait de lourdes sanctions financières du fait du large dépassement de son quota d’émission, s’est tout simplement retiré du protocole de Kyoto qu’il a pourtant ratifié.
Conférence de Copenhague : remise en cause du principe de responsabilité différenciée
Devant le bilan décevant du protocole de Kyoto, tous les espoirs se sont reportés sur la conférence de Copenhague qui s’est tenue du 7 au 18 décembre 2009 au Danemark. L’objectif fixé à cette conférence était des plus ambitieux. Il consistait à prendre les actions nécessaires pour limiter l’élévation de la température de la planète à moins de 2°C d’ici 2050. Ce seuil critique, fixé par le GIEC, se devait d’être respecté pour éviter les effets catastrophiques du réchauffement climatique. Cette conférence a bien commencé. Elle a regroupé plus d’une centaine de chefs d’Etat et de gouvernement et connu une participation record de près de 20 000 participants. Au bout de 10 jours d’intenses négociations, qui ont tenu en haleine le monde entier grâce à une couverture médiatique exceptionnelle, il fallait se rendre à l’évidence. Cette conférence a été un fiasco.
Le pseudo-accord, qui a été finalement convenu, ne fait que réitérer la nécessité de contenir l’augmentation de température à 2°C sans fixer aucune mesure pour y parvenir. On s’est contenté de demander aux parties de "faire de leur mieux" sans aucun engagement contraignant. Cet échec est dû essentiellement à la remise en cause du principe de responsabilité différenciée par les pays industrialisés. Ceux-ci ne voulaient plus être les seuls à limiter leurs émissions. Ils proposaient d’étendre les mêmes mesures aux autres pays. L’ère du pollueur payeur est donc révolue. Le seul point positif de cette conférence a été la promesse de la création d’un fonds vert pour le climat d’un montant de 100 milliards à l’horizon 2020, destiné à aider les pays en développement à s’adapter à l’impact du dérèglement climatique et lutter contre la déforestation. Même cette mesure, minimaliste, semble remise en cause, puisque le comité chargé de lever ces fonds n’a pas été encore installé.
Conférence de Durban : un échec lourd de conséquences
Mal partie après les déboires de Kyoto et de Copenhague, la conférence de Durban, tenue du 28 novembre au 9 décembre 2011 en Afrique du Sud, était présentée comme celle de la dernière chance. C’était, en effet, la dernière occasion pour mettre en place un instrument juridique de lutte contre le réchauffement climatique, en remplacement du protocole de Kyoto qui expirera fin 2012. Comme dans les précédentes conférences, toutes les parties soulignent la gravité de la situation mais n’arrivent pas à s’entendre sur ce qu’il faut faire. Faute de solution, il a été finalement décidé de reporter la date d’un éventuel accord pour 2015 avec une entrée en vigueur en 2020. Autrement dit, il n’y aura aucun accord et, bien évidemment, aucune restriction formelle des émissions de GES durant la période 2013-2020. Compte tenu de cette situation, le respect du seuil critique de limitation de la température de la planète exigera un rythme de réduction des GES encore plus élevé (4% par an) à partir de 2020. Ce taux est jugé tout simplement inatteignable par de nombreux spécialistes. Autant donc dire que l’échec de Durban a placé la planète terre sur une orbite de réchauffement irréversible aux conséquences gravissimes.
Conclusion
La question du réchauffement climatique confirme, si besoin est, que les relations et les accords internationaux sont régis par les seuls intérêts partisans. La notion d’intérêt commun, quand bien même il s’agit d’une question essentielle pour toute l’humanité, passe au second plan. Dans ces conditions, il ne reste plus qu’à espérer que les climatosceptiques, c’est-à-dire ceux qui croient que le réchauffement climatique n’est pas dû aux émissions de GES d’origine anthropique, aient raison. Autrement, l’avenir des futures générations, surtout celles des pays du Sud qui seront les plus affectées, n’est pas enviable. Pour ne pas terminer sur une note pessimiste, formulons le vœu pour un sursaut salutaire de la communauté internationale sur ce sujet.
Salah Azzoug, Ingénieur en raffinage et pétrochimie, Le Soir d’Algérie

SIFTECH 2012 ORAN Algerie 2012


SIFTECH 2012 : à la découverte des dernières innovations
des TIC
ORAN - Le 13ème Salon international de la future technologie (SIFTECH), qui se tiendra à Oran du 5 au 7 juin prochain, constituera un important rendez-vous pour faire découvrir les dernières innovations dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), ont souligné mardi les organisateurs.
Lors de cette manifestation, prévue au Centre des conventions d’Oran (CCO) Mohamed Benahmed, le public aura l’occasion de connaître les nouveautés des technologies de communication, avec la présence de groupes internationaux spécialisés dans le domaine, a-t-on ajouté.
Le visiteur trouvera dans ce salon une "panoplie d’informations" sur la révolution numérique et technologique enclenchée dans le monde, dont les technologies de quatrième génération opérée sur le matériel de communication et d’information et les prestations du système trois dimensions "3D".
Cette manifestation favorisera également les échanges d’expériences et de connaissances entre les experts et les professionnels en TIC du pays et de l’étranger, selon les organisateurs.
Une soixantaine d’exposants se sont manifestés pour participer à ce salon qui accueillera, cette année en tant qu’invité d’honneur, la Finlande qui est leader dans les télécommunications.
La réservation d’un espace aux professionnels pour la concrétisation d’un partenariat national et mixte et la recherche de nouvelles opportunités d’affaires et d’investissements dans le secteur est également envisagée, assure-t-on.
Le salon prévoit ainsi de larges possibilités pour atteindre cet objectif, telles qu’un stand pour faire connaître les différentes opportunités de l’emploi et de formation dans le domaine des TIC.
Les conférences et les ateliers techniques pour débattre de thèmes abordant, entre autres, "la révolution numérique" et "e-commerce" figurent également au programme de cette manifestation.
Le 13ème SIFTECH est organisé cette année pour la quatrième fois à Oran, qui accueillera également la prochaine édition.
Ce salon coïncide avec la tenue à Oran de la 16ème édition du Conseil des ministres arabes des technologies de l’information et de la communication et la 32ème réunion exécutive du même conseil prévue les 4 et 5 juin prochain.

Google+ Local 2012 Youtube


Les internautes ayant adopté Google+ peuvent remarquer une nouvelle section baptisée « Local ». Pour Google, l'objectif est de retourner aux internautes une liste des lieux publics proches de chez lui avec une note de satisfaction et des commentaires personnalisés. Ainsi il sera possible de filtrer une recherche pour le terme « pizzéria » avec des résultats géo-localisés. Une liste des restaurants aux alentours de l'internaute s'affichera avec, le cas échéant, les commentaires de ses contacts sur ces lieux publics. Il s'agit donc véritablement d'une intégration de Google Places

La suite sur Clubic.com 

TIZI OUZOU capitale du Djurdjura Centre culturel français Algerie 2012

TIZI OUZOU

Le Centre culturel français reprend ses activités

Très bonne nouvelle pour les citoyens de la capitale du Djurdjura. Le Centre culturel français à Tizi Ouzou a annoncé hier, la reprise de ses activités après une fermeture qui a duré plus de 20 ans! Une fermeture dictée par des impératifs sécuritaires.
La réouverture du CCF sera certainement d'un grand apport culturel à la Kabylie.
Car autant cette région a été le fer de lance de la guerre de Libération nationale et de lutte contre la France coloniale, autant elle est l'une des régions les plus francophones du pays. C'est donc une juste décision que d'installer un Centre culturel dans cette région à l'image d'Alger, de Annaba, d'Oran et de Constantine.
Le projet de réouverture figure dans les priorités de coopération entre la France et l'Algérie, définies par le document-cadre de partenariat signé au plus haut niveau le 4 décembre 2007.
Un travail de partenariat est en cours depuis plusieurs mois entre le service de coopération et d'action culturelle de l'ambassade de France et les chefs d'entreprise de Tizi Ouzou, partenaires-clés, dont la participation est nécessaire à la réussite de ce projet.
L'ambassade de France espère conduire à bien avec ses partenaires algériens la réalisation, dans les meilleurs délais, d'un projet cher à de nombreux Algériens et Français.
Cet ancien centre culturel français, fermé dans les années 1990 en raison des tensions sécuritaires, devra proposer une nouvelle fenêtre sur le monde francophone et particulièrement sur la France, premier partenaire économique de l'Algérie.L'EXPRESSION

Mr Abdelkader Mesdoua ambassadeur d’Algérie en Serbie reçu par Mr Tomislav Nikolic Président Serbe 2012


L’ambassadeur d’Algérie en Serbie reçu par le président Tomislav Nikolic
BELGRADE - L’ambassadeur d’Algérie en Serbie, M. Abdelkader Mesdoua, a été reçu mercredi à Belgrade par le président serbe élu, M. Tomislav Nikolic, a-t-on appris de source diplomatique.
Le diplomate algérien a remis un message du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, à M. Nikolic à l’occasion de son élection à la magistrature suprême de ce pays.
Au cours de cet entretien, les deux parties ont examiné les voies et moyens, en vue du renforcement des relations entre l’Algérie et la Serbie dans tous les domaines.
Le président serbe s’est "particulièrement félicité" de l’état de développement de ces relations et s’est dit "déterminé" à les "approfondir davantage", a-t-on ajouté de même source.APS

Le président de la République Mr Abdelaziz Bouteflika inaugure la 45è édition de la Foire internationale d’Alger (FIA


ALGER- Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a inauguré, mercredi au Palais des expositions (Pins maritimes), la 45è édition de la Foire internationale d’Alger (FIA).
Plus de 600 sociétés étrangères représentant 36 pays prennent part à cette foire placée sous le thème "50 ans d’édification".
Cette importante manifestation économique prévue jusqu’au 5 juin, se déroulera sur une superficie totalisant 47.160 m2 pour accueillir neuf (9) pays d’Europe, quatre (4) d’Asie, six (6) des Amériques, huit 8 du monde Arabe et un pays d’Afrique.
Représentés en force lors de cette nouvelle édition de la FIA, qui se tient dans le sillage de la célébration du cinquantenaire de l’Indépendance nationale, huit pays arabes vont y participer. Il s’agit de l’Egypte, l’Irak, la Jordanie, le Koweit, la Syrie, la Palestine, la Libye et la Tunisie.
L’Egypte, invitée d’honneur de cette 45è édition, participera avec 61 entreprises activant notamment dans l’industrie du textile, les industries chimiques et de transformation. Une importante communauté d’affaires égyptienne composée de 217 opérateurs économiques devra prendre part à la FIA et vont s’enquérir des opportunités d’investissement offertes par l’Algérie.APS

Inforrmation communication environnement Mr Nacer Mehal ministre de la Communication Algerie 2012


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES 

 L’information et de la communication au service de l’environnement

Le ministre de la Communication, Nacer Mehal a appelé mardi à Alger à une initiative mondiale visant à conjuguer les efforts dans le domaine de l’information et de la communication en matière de lutte contre les risques environnementaux, notamment la désertification et la dégradation des terres. "Les pays du Nord et du Sud doivent organiser leurs efforts dans le domaine de l’information et de la communication dans le cadre d’une initiative mondiale, afin de lutter efficacement contre les risques environnementaux qui menacent la planète", a expliqué M. Mehal lors de l’atelier régional d’information sur la dégradation des terres, la désertification et la sécheresse.
Le ministre a mis en exergue l’importance de la communication dans la vulgarisation des connaissances et la compréhension des enjeux environnementaux, ainsi que la mobilisation des populations contre les menaces qui pèsent sur la planète.
De son côté, le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Rachid Benaissa, a estimé que l’information et la communication représentent "une composante essentielle de toute stratégie de lutte contre ces phénomènes", appelant à leur accorder "la plus grande attention".
Le secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD), Luc Gnacadja, a, quant à lui, jugé "crucial" l’implication des journalistes dans le processus de la convention, considérant l’atelier d’Alger "une composante primordiale" de sa stratégie de communication.
Cet atelier s’inscrit dans la perspective de la tenue de la conférence mondiale sur le Développement durable, appelé communément "Rio+20", prévu du 21 au 22 juin prochain au Brésil.
L’Algérie participera à ce sommet en sa qualité de président du groupe des 77 + la Chine, et de vice-président de la Conférence des parties de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification.

GOOGLE TF1 FRANCE EUROPE 2012


Droits d'auteur : Google remporte une victoire judiciaire contre TF1

Mr Nacer Mehal ministre de la Communication désertification et la dégradation des terres Alger


M. Mehal appelle à une initiative mondiale pour lutter contre les risques environnementaux
ALGER - Le ministre de la Communication, Nacer Mehal a appelé mardi à Alger à une initiative mondiale visant à conjuguer les efforts dans le domaine de l’information et de la communication en matière de lutte contre les risques environnementaux, notamment la désertification et la dégradation des terres.
"Les pays du Nord et du Sud doivent organiser leurs efforts dans le domaine de l’information et de la communication dans le cadre d’une initiative mondiale, afin de lutter efficacement contre les risques environnementaux qui menacent la planète", a expliqué M. Mehal lors de l’atelier régional d’information sur la dégradation des terres, la désertification et la sécheresse.
Le ministre a mis en exergue l’importance de la communication dans la vulgarisation des connaissances et la compréhension des enjeux environnementaux, ainsi que la mobilisation des populations contre les menaces qui pèsent sur la planète.
De son côté, le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Rachid Benaissa, a estimé que l’information et la communication représentent "une composante essentielle de toute stratégie de lutte contre ces phénomènes", appelant à leur accorder "la plus grande attention".
Le secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD), Luc Gnacadja, a, quant à lui, jugé "crucial" l’implication des journalistes dans le processus de la convention, considérant l’atelier d’Alger "une composante primordiale" de sa stratégie de communication.
Cet atelier s’inscrit dans la perspective de la tenue de la conférence mondiale sur le Développement durable, appelé communément ’’Rio+20’’, prévu du 21 au 22 juin prochain au Brésil.
L’Algérie participera à ce sommet en sa qualité de président du groupe des 77 + la Chine, et de vice-président de la Conférence des parties de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification.APS

Développement des relations de partenariat Algérie Belgique 2012


LES ENTREPRISES BELGES À LA RECHERCHE D'OPPORTUNITÉS

Alger exhibe ses atouts

Le développement des relations de partenariat entre l'Algérie et la Belgique dans divers secteurs, a été au centre d'un forum d'affaires bilatéral qui a regroupé, mardi à Alger, plusieurs responsables d'entreprises belges avec leurs homologues algériens. Intervenant à l'ouverture de cette rencontre, à laquelle ont pris part une douzaine d'entreprises belges, le vice-président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci), Ameziane Medjkouh, a mis en avant les potentialités de l'économie algérienne qui sont, dit-il, «des opportunités qu'il faut saisir pour booster les relations économiques et commerciales bilatérales». Il a énuméré, dans ce contexte, la confortable assise financière dont dispose le pays, dont notamment des réserves de change totalisant plus de 200 milliards de dollars qui assurent, précise-t-il, au moins 4 ans d'importations, et un marché intérieur important fort de 37 millions d'habitants. M.Medjkouh a affirmé, à l'occasion, la nécessité d'encourager les échanges mutuellement bénéfiques pour les deux pays dans le volet commercial et dans l'investissement, ajoutant que l'Algérie dispose d'un dispositif institutionnel à même d'inciter le lancement de nouveaux projets de partenariat. «Il y a une attente de nos entreprises pour améliorer la qualité des relations économiques et commerciales avec les entreprises belges», a insisté le même responsable qui a fait part de la disponibilité de la Caci à accompagner les projets communs entre les opérateurs des deux pays. Citant les chiffres des Douanes algériennes, M.Medjkouh a indiqué que les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Belgique ont atteint 3,2 milliards de dollars en 2011. Les exportations algériennes, constituées à 99% d'hydrocarbures, se sont élevées à 2,3 milliards de dollars, alors que les importations avaient atteint 800 millions de dollars au cours de l'année dernière. En 2011, a-t-il poursuivi, la Belgique a été classée 7e fournisseur de l'Algérie et son 14e client. L'Algérie est le 2e client de la Belgique dans le Continent africain après l'Afrique du Sud. Actuellement, environ 80 sociétés belges sont présentes en Algérie et opèrent, notamment dans les secteurs de la construction, de la pharmacie, des moyens de transport et des technologies de l'environnement. Intervenant à son tour, l'ambassadeur de Belgique à Alger, M.Christian Van Driessche s'est félicité de la qualité des liens économiques et commerciaux qui existent entre l'Algérie et la Belgique et s'est dit convaincu que ces relations allaient se développer davantage à l'avenir. Il a affirmé que la stabilité politique de l'Algérie, sa croissance économique soutenue grâce aux programmes de développement successifs, sont à même d'offrir «beaucoup d'opportunités (...)».L'EXPRESSION

mardi 29 mai 2012

Désertification l’expérience algérienne UNCCD Mr Luc Gnacadja 2012

L’expérience algérienne de lutte contre la désertification, un modèle à adopter par les autres pays (UNCCD)
ALGER - Le secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD), M. Luc Gnacadja, a appelé mardi à Alger les pays du monde à tirer profit de l’expérience algérienne en matière de lutte contre la désertification et la dégradation des terres.APS

Un forum d’affaires algéro-belge juin 2012


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 Des hommes d’affaires belges attendus à Alger : Un forum d’affaires algéro-belge

Dimanche 27 mai 2012
Dans le cadre du renforcement de la coopération économique et commerciale algéro-belge, une délégation d’hommes d’affaires belges est attendue demain à Alger. Elle séjournera en Algérie du 28 mai jusqu’au 1er juin prochain en vue de découvrir de nouvelles opportunités de partenariats et d’investissements ainsi que de commerce entre Alger et Bruxelles dont les relations bilatérales sont jugées importantes et diverses. Cette délégation est composée d’une dizaine d’entreprises opérant dans plusieurs secteurs d’activités comme étude, conseil et assistance dans les domines de l’urbanisme, l’aménagement du territoire, l’environnement et la création d’espaces verts. D’autres hommes d’affaires et investisseurs activent dans la fourniture d’équipements de chauffage (énergies renouvelables, recyclage de déchets, huiles alimentaires et huiles de vidange) et ventilation, la gestion de flottes de véhicules et de machines par le système de GPS. Et puis d’autres encore sont spécialisés, selon le communiqué de la chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI), dans l’importation et l’exportation de véhicules 4x4 neufs et d’occasions et pièces détachées pour les camions et les engins de travaux publics ainsi que la fourniture de certificats d’importation à la base du programme d’évaluation de conformité, le contrôle et surveillance des travaux de montage et mise en service des équipements de signalisation télécommunications et énergie. Des activités comme la distribution de produits de levage : treuils, tir fors, palans, crics, vérins, sangles, élingues, câbles aciers et chaînes et la fabrication de maisons isolées destinées aux populations après un séisme (préfabriquées) et les énergies renouvelables, construction, groupes électrogènes, génie climatique et climatisation adiabatique directe et indirecte sont également représentés par des hommes d’affaires. La CACI annonce, dans ce cadre, une rencontre d’affaires qui sera organisée le lendemain, mardi à 9h30 au siège de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, Palais Consulaire, Place des Martyrs (Alger). Le programme de cette rencontre prévoit la tenue d’une séance plénière la matinée suivie de rencontres d’affaires B to B l’après-midi entre les hommes d’affaires belges avec leurs homologues algériens. Ces derniers sont donc interpellés par la CACI pour être présents en force pour présenter leurs projets et l’expertise à développer en Algérie dans le cadre des relations de partenariats et d’investissements avec ces opérateurs économiques belges. Il y a lieu de souligner que des responsables algériens et belges ont appelé, le 16 avril, en marge de la réunion du conseil d’affaires à Bruxelles, au renforcement des relations économiques bilatérales afin de les hisser au niveau de la qualité des relations politiques qui lient les deux pays, en insistant sur l’encouragement des contacts directs entre les entreprises algériennes et belges. Lors d’une "Journée algérienne" consacrée à la coopération économique, le chargé d’affaires à l’ambassade d’Algérie auprès de la Belgique et du Luxembourg, Belkacem Belkaïd, a souligné que l’Algérie "souhaite aller dans le sens du renforcement des relations politiques et économiques bilatérales". Les relations politiques entre les deux pays "sont bonnes (...) néanmoins, sur le plan économique, l’Algérie souhaite le partenariat commercial afin d’aller vers un partenariat qui réalise des projets concrets qui apportent une valeur ajoutée à l’économie algérienne.
Meziane Atmani, Le Maghreb

Rio+20 Banque mondiale 2012



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Rio+20 : Six thèmes prioritaires retenus par la Banque mondiale

Lundi 28 mai 2012
Les enjeux sont clairs, au cours des 40 prochaines années, la population mondiale va passer de 7 milliards à 9 milliards de personnes, qui compteront toutes sur la planète pour leur fournir l’énergie, l’eau et la nourriture dont elles ont besoin. Si nous ne changeons rien à notre mode de fonctionnement, le pari sera très difficile à tenir, selon la banque mondiale.
La Conférence des Nations Unies sur le développement durable, plus connue sous le nom de Rio+20, sera l’occasion de définir les structures de planification, les cadres de politique générale, les systèmes d’évaluation et les objectifs ambitieux dont nous avons besoin pour préparer l’avenir et faire face simultanément aux crises de l’alimentation, de l’eau et de l’énergie qui sévissent actuellement. Partout dans le monde, on assiste à une prise de conscience grandissante du fait que, pour progresser dans cette voie, nous devons porter la même attention aux aspects économiques, environnementaux et sociaux qui constituent les piliers d’un développement durable. La conférence — qui se tiendra au mois du 20 au 22 juin et devrait attirer 75.000 participants à Rio de Janeiro, dont cent chefs d’État et des milliers de représentants du secteur privé — offre à la communauté internationale une chance de mettre la dynamique de la croissance verte et solidaire au service du développement durable, d’aller au-delà de la seule prise en compte du PIB pour intégrer le capital naturel et les services écosystémiques à la comptabilisation des richesses nationales et de transposer les nouvelles approches intégrées des secteurs public et privé à l’échelle des paysages urbains et naturels et des océans. Les représentants de la communauté internationale réunis à Rio pourront aussi s’atteler à l’élaboration d’un ensemble d’objectifs de développement durable dans les domaines de l’énergie, de l’alimentation et de l’eau qui viendront compléter les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) et favoriseront l’adoption d’une trajectoire de croissance plus rationnelle qui sera à la fois bénéfique à la planète et aux hommes et porteuse de progrès. Le Groupe de la Banque mondiale, qui travaille en étroite collaboration avec les États, la société civile et le secteur privé sur toutes ces questions, souhaite faire entendre les six messages suivants à l’occasion de la conférence Rio+20.
Une croissance verte et solidaire
Les modes de croissance suivis actuellement dans le monde ne sont pas viables et sont de surcroît totalement inefficaces. C’est pourquoi il et indispensable et urgent de promouvoir la croissance verte et solidaire. Il y a par ailleurs un réel intérêt économique pour les pays à agir maintenant plutôt que de continuer à privilégier des trajectoires de développement polluantes aux conséquences potentiellement irréversibles et d’attendre le dernier moment pour inverser la tendance, au prix d’investissements importants et de profonds bouleversements sociaux. Les modes de développement fondés sur la croissance verte et solidaire sont plus efficaces dans la mesure où ils permettent de réduire l’utilisation inconsidérée de l’énergie et des ressources naturelles, d’améliorer l’aménagement des zones urbaines de manière à tirer le meilleur parti des systèmes de transports publics et des autres services, de créer des infrastructures polyvalentes et d’éliminer les subventions aux combustibles fossiles, qui servent uniquement les intérêts des plus riches et sont un moyen bien coûteux d’aider les plus pauvres. Les carences du système de gouvernance, le poids de comportements profondément ancrés et les contraintes financières sont les principaux obstacles à l’adoption de modes de croissance écologique et solidaire, mais n’ont rien d’inéluctable. Notre souhait est qu’à Rio, le principe de la croissance verte et solitaire soit entériné et recueille une très large adhésion. Le secteur privé a un rôle majeur à jouer en la matière ; il doit notamment inventer des mécanismes de financement et des modèles d’entreprises innovants qui favoriseront l’adoption immédiate d’une trajectoire de croissance durable et contribueront à plus long terme à réduire la production de déchets, la pollution et la consommation d’énergie.
Comptabilisation du capital naturel
Avant même la tenue du Sommet de la Terre de 1992, on observait déjà une prise de conscience grandissante du fait que le PIB ne peut à lui seul à rendre compte des progrès réalisés dans la voie du développement durable. Le PIB ne porte que sur une seule des composantes de la performance économique — la production — et ne donne aucune information sur les richesses et actifs qui sont le fondement de la production. Ainsi, lorsqu’un pays exploite ses ressources minérales, il contribue en fait à l’épuisement de ses propres richesses. Le constat vaut aussi pour la surexploitation des ressources halieutiques ou la dégradation des ressources en eau. Les évaluations de la performance économique qui reposent uniquement sur le PIB peuvent être trompeuses, dans la mesure où la croissance à court terme de certains pays découle en fait d’une exploitation des richesses qui pourrait compromettre la croissance à long terme. A cet égard, l’adoption récente par la Commission de statistique des Nations Unies du Système de comptabilité environnementale et économique (SCEE), qui permet de comptabiliser les ressources naturelles telles que les minéraux, le bois et les ressources halieutiques, est une avancée majeure. Rio+20 sera l’occasion, pour les pays comme pour le secteur privé, de renforcer leur engagement en faveur de la comptabilisation globale et intégrée des richesses. Plusieurs institutions financières ont déjà signé une Déclaration sur le capital naturel, et de nombreuses entreprises adhèrent désormais au principe de l’établissement de rapports intégrés, qui permet de tenir compte de facteurs tels que la biodiversité et le respect de l’environnement dans la prise des décisions de gestion.
Lutter contre la dégradation des océans
Les océans sont indispensables à la sécurité alimentaire et économique de milliards d’individus et à la protection des zones côtières dans lesquelles ils vivent ; ils fournissent au total près de 15 % des apports en protéines de la population mondiale. Dans le même temps, du fait de la mauvaise gestion des ressources, du développement et de la pollution, 85 % des ressources halieutiques de la planète sont aujourd’hui pleinement exploitées, surexploitées, épuisées ou en voie de reconstitution ; de même, 35 % des mangroves et 20 % des récifs coralliens ont été détruits. Au printemps 2012, la Banque mondiale a réuni 130 spécialistes de la santé et de l’exploitation des océans, parmi lesquels des représentants d’organismes publics, d’organisations internationales, de la communauté scientifique et du secteur industriel, en vue de la création d’un Partenariat mondial pour les océans qui va pouvoir s’attaquer au problème de la surpêche, de la dégradation de l’environnement marin et de la disparition des habitats et aura aussi pour rôle de définir des objectifs concrets pour les 10 prochaines années. Nous espérons qu’à Rio, des engagements seront pris en faveur de modes de gestion du milieu marin plus efficaces et de la mise en œuvre des accords conclus à Rio en 1992, à Johannesburg en 2002 et à Nagoya en 2010. Notre objectif est de renforcer la sécurité alimentaire, de réduire la pollution et d’étendre la superficie des zones marines protégées.
Booster l’agriculture
La terre est une ressource vitale pour les populations pauvres des zones rurales qui dépendent de l’agriculture pour assurer leur subsistance. On observe actuellement une baisse de la productivité de près de 2 millions d’hectares de terres consacrés à l’agriculture pluviale et irriguée, en raison notamment d’une importante dégradation des sols. La mauvaise qualité des sols ne fait qu’accentuer la pauvreté et amplifier les crises alimentaires. Faute de ressources et de connaissances indispensables à l’amélioration des modes de production, la dégradation des sols ne cesse de s’aggraver. Il faut donc adopter des modes d’aménagement du territoire plus judicieux, des méthodes plus efficaces et des pratiques agricoles intelligentes sur le plan climatique. Ces changements sont indispensables si l’ont veut nourrir une population mondiale en constante augmentation et lui fournir de l’eau douce salubre. Les spécialistes des différents secteurs concernés mettront à profit la tribune que leur offre la conférence de Rio pour échanger des pratiques de référence, et nous encouragerons pour notre part l’adoption de solutions globales.
Développement urbain
Alors que la communauté internationale s’interroge sur la voie à suivre, la situation des 70 millions de personnes qui viennent s’installer en zone urbaine chaque année appelle une attention particulière. L’urbanisation a favorisé la croissance économique et l’innovation, et les zones urbaines génèrent actuellement les trois quarts de la production économique mondiale. Dans le même temps, elle a contribué à aggraver des problèmes environnementaux et socioéconomiques majeurs, parmi lesquels le changement climatique, la pollution, l’encombrement des voies urbaines et le développement des bidonvilles. Une occasion historique se présente de concevoir, d’administrer et de construire des villes intelligentes, en adoptant des décisions fondées qui répondront aux besoins des citadins d’aujourd’hui sans pour autant limiter les options qui s’offriront aux générations futures. La croissance verte doit avoir pour point de départ une planification urbaine judicieuse qui anticipe l’accroissement démographique et favorise le développement de modes de transport public contribuant à réduire les encombrements et la pollution de l’air, la création de collectivités locales respectueuses des piétons et des cyclistes et la mise en place de services publics efficaces d’approvisionnement en eau et en électricité et de traitement des déchets municipaux. Cette approche suppose cependant de définir des objectifs précis et d’évaluer les progrès en s’appuyant sur des données et des outils de mesure uniformes tels que le Programme des indicateurs pour les villes du monde, le Protocole des GES, les évaluations des risques urbains et les normes de construction écologique. Les décisions relatives aux infrastructures urbaines qui seront prises aujourd’hui influeront sur les conditions de vie des populations urbaines pendant les 50 à 100 prochaines années. Nous voudrions qu’à Rio, des engagements soient pris en faveur du développement de villes durables et mieux équipées pour faire face au changement climatique. Dans la perspective d’une croissance verte et solidaire, il s’agit de mettre l’accent sur l’importance de la planification urbaine et des marchés fonciers, le financement des infrastructures, le logement, les services publics et l’utilisation d’outils de mesure uniformes et de données en libre accès.
Energies durables
L’énergie durable est une condition essentielle du développement durable. Le Secrétaire général des Nations unies, M. Ban Ki-moon, a pris la tête d’une initiative en faveur de l’accès universel à l’électricité, qui vise notamment à promouvoir l’utilisation de cuisinières non polluantes et à multiplier par deux, à l’horizon 2030, la part de l’énergie mondiale fournie par des sources renouvelables, qui passerait ainsi de 15 % à 30%, et le taux d’amélioration du rendement énergétique. Le groupe de la Banque mondiale s’emploie à mobiliser ses connaissances et ses ressources financières et à trouver des solutions innovantes fondées sur le marché pour aider à la réalisation de ces objectifs dans le cadre d’une démarche complémentaire de la feuille de route sur les Objectifs de développement durable. Elle s’emploie activement à rechercher auprès des secteurs public et privé des solutions innovantes qui contribueront à faire avancer le débat sur les nouvelles priorités mondiales et permettront à l’humanité toute entière de tirer avantage de la révolution industrielle verte qui s’annonce.
Le Midi Libre