Algerie Europe coopération durable

Algerie Europe coopération durable
Patrick le Berrigaud

vendredi 30 septembre 2011

Algerie pour financer l’économie productive

Pour financer l’économie productive : «La surliquidité peut être transformée en fonds souverains», affirme le Mr Dr Bouzidi «On devrait transformer la surliquidité des banques en ressources pour fonds souverains et financer ainsi l’économie productive», a suggéré, hier à Alger, Abdeldjallil Bouzidi, docteur en économie et enseignant à la Sorbonne-Nouvelle (Paris 3).
Une option possible, selon M. Bouzidi, puisque «l’Algérie a trois fonds souverains», en faisant référence au fonds des réserves de change (près de 174 milliards de dollars), le fonds de régulation des recettes (FRR, 70 milliards de dollars), et le fonds national de l’investissement (FNI, 1,8 milliard de dollars). Ils peuvent servir de fonds souverains pour financer l’économie et surtout le secteur productif dont les PME en les alimentant avec la surliquidité (+136,2 milliards de dinars) ou l’épargne, a-t-il développé lors du petit-déjeuner du Cercle d’action et de réflexion autour de l’entreprise (CARE) en collaboration avec la Fondation Friedrich Naumann. Pour l’économie algérienne, «la clé est de transformer l’épargne publique et abondante qui dépasse 50% du PIB (produit intérieur brut) en investissements productifs», a-t-il dit en ajoutant que «quel que soit le montant, il faudra commencer par un fonds d’investissement en domestique sur le long terme en développant le tissu des PME principalement privées mais aussi publiques sans s’interdire le partenariat avec des sociétés étrangères».  Ce jeune économiste et vice-président de l’Observatoire des émergents et de l’association Algerian Talents Network, a relevé qu’ «il y a un réel problème de transformation de cette épargne en investissement en Algérie pour repenser le modèle de financement de l’économie algérienne». Il s’agit d’un fonds nouveau qui sera un «outil pilote» puis l’élargir ou carrément «utiliser cette épargne dans le FNI qui répondra le mieux au financement de l’économie et mieux le cibler sur des projets à valeur ajoutée.
Ce docteur en économie, spécialiste des finances, définit le fonds souverain comme étant «un véhicule financier public gérant l’argent public». Les ressources de ce fonds pourraient être portées jusqu’à 10 milliards DA, a-t-il signalé donc, il faudra des mécanismes pour transformer cette épargne en ressources pour fonds souverains d’autant que l’Algérie est classée 4e avec un taux d’épargne de 52% pour un taux d’investissement ne dépassant pas les 33% et l’industrie 4,5% du PIB.
Pour sa part, Lies Kerrar, Pdg du Cabinet Humilis, a signalé que seulement «40% des dépôts bancaires sont réinjectés dans l’économie» et l’usage du FRR (alimenté par la fiscalité pétrolière) se limite actuellement à un exercice budgétaire en cas de déficit. Enfin, les économistes et les chefs d’entreprises présents au débat ont relevé que l’Algérie possède deux critères qui lui permettent d’avoir ses fonds souverains : des réserves de change importantes et un excédent commercial en sa faveur.Fella Midjek. quotidien HORIZONS

Alger le label s'inscrit dans une démarche de développement de coopération

cente d'affaires Acades de l'AMIRAUTE ALGER entreprise spécialisée dans la mise à disposition d’espaces de travail pour les firmes. Ce centre vient ainsi consolider l’implantation en algerie  Ce centre d'affaires donnera la possibilité aux entreprises nationales et internationales de s’installer dans des zones d’affaires stratégiques et en pleine expansion. Ce  centre d’affaires permettra de ce fait d’accompagner la croissance et l’ouverture économique de ce pays. Il pourrait dans ce contexte favoriser l’établissement d’entreprises locales mais également de groupes internationaux désireux de se lancer sur le marché du Maghreb

Algérie hausse de 20% du SMIC

Le Premier ministre algérien, Mr Ahmed Ouyahia a annoncé vendredi à la presse une hausse de 20% du salaire minimum. Ce dernier passera de 150 à 180 euros en janvier prochain.

"Le salaire minimum a augmenté de 20% (elle sera effective en janvier 2012) après avoir augmenté de 30% en décembre 2009. En moins de deux ans, il a augmenté de 50%", a affirmé le Premier ministre à la presse après l'avoir annoncé à la clôture de la réunion tripartite entre le gouvernement, le patronat et le syndicat officiel.

Cette réunion avait débuté jeudi à Alger en présence du chef du gouvernement entouré de cinq ministres, de sept organisations patronales et de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), le syndicat officiel. Les syndicats autonomes, majoritaires dans la fonction publique et qui contestent la représentativité de l'UGTA n'avaient pas été conviés à cette rencontre.

Huit points étaient à l'ordre du jour. Outre l'augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG), ils portaient sur la protection de la production nationale, le dossier des retraites ou encore l'évaluation des mesures décidées lors de la dernière tripartite en mai.

Près de 200 mesures économiques avaient alors été satisfaites. Une réunion d'évaluation de l'état d'avancement des mesures prises ces 29 et 30 septembre se tiendra en mars 2012.

La dernière réunion de ce type qui avait eut lieu fin mai, avait débouché sur des décisions économiques pratiques dont la révision du controversé crédit documentaire accusé de ralentir les approvisionnements venant de l'étranger.
le fiagro

Projet d'Euromed audiovisuel Terramed

Présentation du projet d'Euromed audiovisuel Terramed Plus lors d’une conférence de presse à Turin

Présentation du projet d'Euromed audiovisuel Terramed Plus lors d’une conférence de presse à Turin

26-09-2011


Le projet euro-méditerranéen Terramed Plus, mis en œuvre dans le cadre du programme Euromed Audiovisuel III, a été présenté aux journalistes lors d’une conférence de presse organisée par RAI-Italie le 21 septembre, à l’occasion de la 63ème Édition du Prix Italia. 
 
Terramed Plus réunit actuellement huit partenaires : RAI-Italie (chef de file), SNRT-Maroc, EPTV-Algérie, RTVE-Espagne, COPEAM, Skylogic Spa-Italie, France Télévisions, ARTE France, et TéléLiban, en qualité de partenaire associé. Le projet a pour but de promouvoir la circulation d’œuvres audiovisuelles méditerranéennes, et de contribuer ainsi au développement d’une audience euro-méditerranéenne en diffusant le matériel et des émissions par satellite et internet. L’accent est mis aussi sur la mise en réseau des professionnels du secteur des deux côtés de la Méditerranée.
 
 
Les résultats escomptés du projet sont les suivants :
 
·       Diffusion hebdomadaire d’un « pack promotionnel » par satellite : Conception et diffusion par satellite de bandes-annonces promotionnelles de programmes diffusés par les partenaires de la TV.
·       Réalisation d’une plateforme et d’un catalogue web : La conception, la création et la gestion de la plateforme Web Terramed Plus offrira une vitrine « promotionnelle » (avec les promos déjà diffusées par satellite) ainsi qu’une section « vidéo à la demande » riche de plus d’une centaine d’heures de documentaires, de courts métrages, de longs métrages, de films de fiction et d’animation. Ces œuvres, sous-titrées en français et en arabe, seront accessibles en streaming par les internautes. 
·       Analyse et échange d’expériences autour de questions juridiques en rapport avec les produits audiovisuels diffusés en ligne. Ce projet entend faire de la richesse audiovisuelle euro-méditerranéenne un instrument concret de dialogue interculturel.
 
Le programme Euromed Audiovisuel III vise à contribuer au développement et au renforcement de la capacité du secteur cinématographique dans la région Sud de l’IEVP (Algérie, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Maroc, Syrie, Territoire palestinien occupé, Tunisie) et à promouvoir la compréhension mutuelle, le dialogue interculturel et la diversité culturelle, conformément à la « Stratégie pour le développement de la coopération audiovisuelle euro-méditerranéenne », qui a été approuvée par les ministres de la culture de la région euro-méditerranéenne à Athènes en mai 2008.(ENPI Info Centre

Algerie Journées Internationales de Thermique

Bilan des journées internationales de thermique JITH’2011


Les Journées Internationales de Thermique 2011 (JITH2011) se sont tenues les 24, 25 et 26 Septembre 2011 à l’Auditorium de l’Université Abou Bekr Belkaid de Tlemcen. Cette rencontre scientifique de haut niveau a regroupé prés de deux cents (200) participants venus de plusieurs pays dont la France, l’Algérie, la Tunisie, le Maroc, le Canada, le Soudan, le Togo...
La thématique du congrès de cette 15ème édition des JITH2011 a porté sur les "Energies du Futur", et plus précisément sur les Energies Renouvelables.
Placé sous le haut patronage de Monsieur le Directeur Général de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique, Professeur AOURAG Hafid, ce congrès international a était organisé par l’Unité de Recherche Matériaux et Energies Renouvelables (URMER) de l’Université de Tlemcen, et le Centre de Développement des Energies Renouvelables (CDER) d’Alger - Bouzaréah.
Il est à préciser que ces JITH2011 se sont déroulées dans leur quinzième édition à Tlemcen et ce, depuis leur création en 1983 en Tunisie, organisées alternativement et régulièrement tous les deux ans en Algérie, Tunisie, France, Maroc, Belgique et Egypte.
Ces rencontres de niveau scientifique élevée ont pour objectifs de :
  • Favoriser les échanges scientifiques entre les équipes, les laboratoires, les centres de recherche et les universités des deux rives de la Méditerranée
  • Faciliter l’exécution de programmes de recherche
  • Offrir aux jeunes chercheurs, doctorants la possibilité d’exposer et d’échanger leurs travaux scientifiques
  • Valoriser et faire fructifier leurs programmes d’échange entre les institutions de recherche et l’environnement socio-économique.
A chaque manifestation des JITH, à chaque édition, nous projetons de présenter :
  • Une mise au point et des mises à jour sur l’état d’avancement des travaux portant sur les transferts thermiques, les énergies renouvelables les énergies du futur
  • Une large diffusion de ces travaux dans la perspective d’exécuter des programmes d’application dans divers secteurs de l’économie, notamment l’industrie, l’agriculture, le transport, l’habitat
  • Des travaux dans les domaines de la maitrise de l’énergie et de l’environnement
  • Des programmes d’échange et de coopération entre chercheurs et décideurs.
Dans cette quinzième édition, les JITH2011 qui se sont tenues à Tlemcen les 24, 25 et 26 Septembre 2011, sont orientées vers des thématiques d’intérêt et d’actualité planétaires : "Les Energies du Futur", avec une session spécialisée : "Les Matériaux pour la Thermique" et "La Thermique des Matériaux".
Aussi, comme il est de tradition nous présentons les derniers développements des Transferts Thermiques, dans leurs aspects d’expérimentation, de modélisation, et de simulation.
Le développement des énergies renouvelables occupe une place de choix dans les domaines du photo-solaire (Photo-thermique et Photovoltaïque). D’autres thèmes sont abordés avec grand intérêt tels que les systèmes hybrides, le stockage d’énergies, l’efficacité de l’énergie, et ce en application aux domaines de l’Industrie, du Bâtiment, du Transport et de l’Agriculture
Le programme de ces JITH2011 a été préparé avec rigueur, durant trois réunions du Comité Scientifique et Permanent des JITH, qui se sont tenues respectivement à l’Université de Tlemcen (Novembre 2010), à l’Université de Marseille (Février 2011), et au Centre de Développement des Energies Renouvelables à Alger (Juillet 2011). Il à était retenu prés de deux cents (200) présentations sous forme de conférences plénières (au nombre de 6), communications orales (au nombre de 24), et de communications posters avec brèves présentations orales (au nombre de 170).
Il est à souligner une large participation dans cette grande rencontre scientifique dont nous soulignons le nombre important de nos étudiants-doctorants, ainsi que les enseignants-chercheurs de rang magistral.
Les acteurs de cette manifestation scientifique qu’ils soient enseignants, chercheurs, étudiants, organisateurs, ou membres des comités scientifique et permanent, ont préparé et organisé avec rigueur et efficacité la tenue de cette conférence.
Fait à Tlemcen le 27/09/2011
Le Président des JITH2011
Professeur Boumédiène BENYOUCEF

jeudi 29 septembre 2011

Algerie l'Union européenne propose son expertise

L'appui à l'amélioration des politiques publiques et des systèmes de gestion est un nouvel instrument de coopération initié par l'UE.
L'Unité de gestion du Programme d'appui à la mise en oeuvre de l'Accord d'association (UGP3A) entre l'Algérie et l'Union européenne élabore son bilan et prépare de nouveaux projets. C'est son directeur, Aïssa Zelmati, qui a fait cette annonce hier lors d'un point de presse à Alger. A la même occasion, il a souligné qu'il passe le témoin à Abdelaziz Guend, ex-inspecteur principal au ministère du Commerce. De février 2009 à septembre 2011, le P3A a réalisé des jumelages institutionnels, des séminaires et des ateliers.
L'UGP a atteint son objectif de lancer cinq jumelages institutionnels permettant le travail en partenariat pendant 18 mois, entre des institutions publiques algériennes et leurs équivalentes des États membres de l'Union européenne. Ces projets visent, entre autres, l'amélioration des relations de l'administration fiscale avec les contribuables, le renforcement de la capacité de l'Algérienne des eaux à améliorer la qualité de l'eau et la mise en oeuvre efficiente des règles de la concurrence. Selon un document remis à la presse, les experts du P3A ont entamé depuis quelques mois la phase d'identification et de préparation de nouveaux jumelages institutionnels, parmi les 15 projets dont le financement et la réalisation sont prévus. Quatre projets de jumelage sont identifiés.
Ils sont destinés au renforcement des structures et des pouvoirs de la Commission de régulation de l'électricité et du gaz et ceux du Centre national de recherche pour le développement de la pêche et de l'aquaculture. Le Centre de recherche juridique et judiciaire et l'Observatoire des filières agricoles et agroalimentaires sont parmi ces projets. L'autre type d'actions menées consiste dans des missions d'assistance technique et d'échange d'informations (Taiex).
Sur les trente opérations prévues, vingt-neuf sont déjà réalisées sous forme de missions d'experts et de séminaires en Algérie et de visites d'études dans des États membres de l'Union européenne.
Le ministère des Finances a bénéficié de 9 missions, celui de l'Agriculture de 6 et celui de l'Industrie de 4 missions. Les ministères du Commerce, de l'Énergie, de la Prospective et des Statistiques, de la Justice ont été parmi les autres bénéficiaires. D'un autre côté, l'Algérie a été représentée dans dix-huit missions lancées par la Commission européenne et qui se sont déroulées dans États membres de l'UE. Elles ont été consacrées à des thèmes touchant notamment à la gouvernance, au commerce, à la métrologie, à la normalisation, aux textiles, aux petites et moyennes entreprises, aux organismes génétiquement modifiés, à la piraterie et la contrefaçon, à la santé et à la justice. En matière de nouveautés, le P3A compte introduire un troisième instrument de coopération (en plus du jumelage et du Taiex), en vue de multiplier les opportunités de rapprochement et d'échange entre les institutions algériennes et celles des États membres de l'Union européenne.
Il s'agit de l'instrument Sigma pour l'appui à l'amélioration des politiques publiques et des systèmes de gestion. C'est une initiative conjointe de l'Ocde et de l'UE, principalement financée par l'UE.
Il est adapté aux thématiques horizontales et concerne ainsi les questions de gouvernance et de gestion administrative. Il est particulièrement approprié, entre autres, en matière de procédures de marchés publics, de contrôle des dépenses, de formation de fonctionnaires et de justice administratives.
Des ateliers de réflexion et des ateliers thématiques ont également eu lieu à côté d'actions de communication et de visibilité. Pour accompagner les activités du P3A et assurer une information en continu, à la fois, en direction des acteurs du Programme et du grand public, la communication été d'un apport significatif dans la réalisation de ce bilan, juge l'UGP. La communication a été axée sur la publication de 14 numéros de La Lettre du P3A (édition mensuelle du Programme) et la création d'un site Web alimenté régulièrement en informations. Dans ce domaine de communication, il y a eu l'organisation de 22 rencontres avec des représentants des médias.l'expression

Algérie annonce des mesures fiscales

Une trentaine de mesures relatives à la fiscalité ont été introduites dans le projet de loi de Finances 2012, a annoncé jeudi le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia à l'ouverture de la réunion tripartite entre le gouvernement, le patronat et la centrale syndicale officielle à Alger.
"Le gouvernement, a affirmé M. Ouyahia, a jugé utile de prendre les devants en insérant déjà dans le projet de loi de finances 2012, une trentaine de mesures découlant des recommandations tripartites relatives à la fiscalité". Il n'a pas détaillé ces mesures.

La dernière réunion tripartite, fin mai, avait débouché sur des décisions économiques pratiques dont la révision du controversé crédit documentaire (Crédoc), qui ralentissait les approvisionnements venant de l'étranger

Sept organisations patronales, l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et le chef du gouvernement entouré de cinq ministres se réunissent jeudi et vendredi. Huit points sont à l'ordre du jour dont l'augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG) qui n'a pas été augmenté depuis 2009 où il avait été fixé à 15.000 dinars (150 euros).
le figaro

Algerie Etats-Unis opportunités d’affaires

ORAN- L’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique en Algérie, Henry S. Ensher, a affirmé mercredi à Oran, que "les opportunités d’affaires avec les compagnies américaines sont multiples et peuvent aller au-delà des hydrocarbures".
Lors d’un point de presse à l’issue d’une rencontre avec des opérateurs économiques au siège de la Chambre de commerce et de l’industrie de l’Oranie (CCIO), il a indiqué qu’il a étudié, avec la communauté d’affaires de la capitale de l’Ouest algérien, les possibilités de développer les relations dans des domaines aussi variés que l’agriculture, la pharmacie, les NTIC, les énergies renouvelables et l’enseignement.
Le diplomate américain a également exprimé son engagement à améliorer ces relations pour contribuer notamment au "développement du futur Oran". "Nous avons été reçus ce mercredi par le wali d’Oran et nous avons évoqué les possibilités de développer des domaines de coopération avec les compagnies d’investissement pour participer notamment au futur Oran", a-t-il souligné.
L’ambassadeur américain qui était accompagné du secrétaire aux affaires politiques, Steeve Mraf et un spécialiste en économie, Nasreddine Gouri, devait également visiter, lors de son séjour d’une journée à Oran, plusieurs sites archéologiques, dont la chapelle de Santa Cruz.APS

Alger environnement de grande qualité cente d'affaires

cente d'affaires Acades de l'AMIRAUTE ALGER entreprise spécialisée dans la mise à disposition d’espaces de travail pour les firmes. Ce centre vient ainsi consolider l’implantation en algerie  Ce centre d'affaires donnera la possibilité aux entreprises nationales et internationales de s’installer dans des zones d’affaires stratégiques et en pleine expansion. Ce  centre d’affaires permettra de ce fait d’accompagner la croissance et l’ouverture économique de ce pays. Il pourrait dans ce contexte favoriser l’établissement d’entreprises locales mais également de groupes internationaux désireux de se lancer sur le marché du Maghreb

Algerie foncier industriel

Ces terrains, situés à proximité de zones industrielles et d’activités commerciales, ouvrent des perspectives non négligeables pour une relance effective de l’investissement dans divers secteurs.

Le Comité d’assistance à la localisation et à la promotion des investissements et à la régulation du foncier (Calpiref) vient de jouer un bon coup pour l’investissement local en dégageant plusieurs hectares servant d’assiettes de terrain pour la réalisation d’importants projets structurants. En effet, une trentaine d’assiettes foncières ont été récemment attribuées à des investisseurs privés par ledit comité. Le Comité d’assistance à la localisation et à la promotion des investissements et à la régulation du foncier (Calpiref) a décidé d’augmenter son offre en matière de foncier destinée à la réalisation de projets économiques afin de rendre plus efficace le dispositif d’assistance aux investisseurs et répondre avec célérité à leurs demandes de terrain.
C’est ainsi que des assiettes destinées initialement à des projets d’investissement non concrétisés ont été récupérées dans le cadre d’une opération d’assainissement du foncier industriel qui a ciblé notamment des zones d’activités d’Oran, de Aïn El Turck et d’Oued Tlélat. Les faux investisseurs, qui ont détourné de leur vocation les terrains d’assiette, ont retardé le plan de développement économique et social de la wilaya d’Oran.
Perspectives non négligeables
Le problème induit par le manque de terrains d’assiette ralentit le développement économique et social de la wilaya. Dans le même cadre, une douzaine de projets du secteur du tourisme n’ont pas été encore lancés à cause de l’indisponibilité d’assiettes foncières. Le recensement des poches vides et de terrains vagues effectué a permis de localiser plusieurs assiettes foncières disponibles. Ces terrains, situés à proximité de zones industrielles et d’activités commerciales, ouvrent des perspectives non négligeables pour une relance effective de l’investissement dans divers secteurs.
Cette initiative n’étant pas une fin en soi pour les autorités locales, celles-ci ont préconisé d’autres actions à mener dans le cadre de l’assainissement du foncier et, par conséquent, répondre à la demande des promoteurs publics et privés. Ce projet consiste en la récupération des lots de terrain attribués par l’Etat à différents promoteurs dans le cadre de la relance de l’investissement industriel mais qui n’ont pas été utilisés jusqu’alors ou qui ont vu leur vocation initiale sciemment détournée par ceux qui en ont bénéficié.                           
Cherifa K. elwatan

mercredi 28 septembre 2011

Algerie financer l’économie productive

Pour financer l’économie productive : «La surliquidité peut être transformée en fonds souverains», affirme le Mr Dr Bouzidi «On devrait transformer la surliquidité des banques en ressources pour fonds souverains et financer ainsi l’économie productive», a suggéré, hier à Alger, Abdeldjallil Bouzidi, docteur en économie et enseignant à la Sorbonne-Nouvelle (Paris 3).
Une option possible, selon M. Bouzidi, puisque «l’Algérie a trois fonds souverains», en faisant référence au fonds des réserves de change (près de 174 milliards de dollars), le fonds de régulation des recettes (FRR, 70 milliards de dollars), et le fonds national de l’investissement (FNI, 1,8 milliard de dollars). Ils peuvent servir de fonds souverains pour financer l’économie et surtout le secteur productif dont les PME en les alimentant avec la surliquidité (+136,2 milliards de dinars) ou l’épargne, a-t-il développé lors du petit-déjeuner du Cercle d’action et de réflexion autour de l’entreprise (CARE) en collaboration avec la Fondation Friedrich Naumann. Pour l’économie algérienne, «la clé est de transformer l’épargne publique et abondante qui dépasse 50% du PIB (produit intérieur brut) en investissements productifs», a-t-il dit en ajoutant que «quel que soit le montant, il faudra commencer par un fonds d’investissement en domestique sur le long terme en développant le tissu des PME principalement privées mais aussi publiques sans s’interdire le partenariat avec des sociétés étrangères».  Ce jeune économiste et vice-président de l’Observatoire des émergents et de l’association Algerian Talents Network, a relevé qu’ «il y a un réel problème de transformation de cette épargne en investissement en Algérie pour repenser le modèle de financement de l’économie algérienne». Il s’agit d’un fonds nouveau qui sera un «outil pilote» puis l’élargir ou carrément «utiliser cette épargne dans le FNI qui répondra le mieux au financement de l’économie et mieux le cibler sur des projets à valeur ajoutée.
Ce docteur en économie, spécialiste des finances, définit le fonds souverain comme étant «un véhicule financier public gérant l’argent public». Les ressources de ce fonds pourraient être portées jusqu’à 10 milliards DA, a-t-il signalé donc, il faudra des mécanismes pour transformer cette épargne en ressources pour fonds souverains d’autant que l’Algérie est classée 4e avec un taux d’épargne de 52% pour un taux d’investissement ne dépassant pas les 33% et l’industrie 4,5% du PIB.
Pour sa part, Lies Kerrar, Pdg du Cabinet Humilis, a signalé que seulement «40% des dépôts bancaires sont réinjectés dans l’économie» et l’usage du FRR (alimenté par la fiscalité pétrolière) se limite actuellement à un exercice budgétaire en cas de déficit. Enfin, les économistes et les chefs d’entreprises présents au débat ont relevé que l’Algérie possède deux critères qui lui permettent d’avoir ses fonds souverains : des réserves de change importantes et un excédent commercial en sa faveur HORIZONS DZ

Algerie opérateurs privés dans l’hôtellerie, voyages , restauration

Des opérateurs privés dans l’hôtellerie, les voyages et la restauration distingués
ALGER - Douze (12) opérateurs touristiques privés dans le domaine de l’hôtellerie, des voyages et de la restauration activant au niveau de la wilaya d’Alger ont été distingués

Algerie Sonatrach exploration pour trouver du gaz de schiste,

L'Algérie prévoit de lancer au début de l'année prochaine sa première  a déclaré mercredi Sonatrach, la compagnie nationale d'hydrocarbures

Entre 10 et 12 millions d'internautes en Algérie

M. Moussa Benhamadi, Ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication en Algérie, a affirmé ce matin lors de la conférence ayant précédé l'inauguration du Med-IT qu'il y avait actuellement en Algérie entre 10 et 12 millions d'internautes.


Souvenez-vous de la fin 2007 et de ses quelques 4 millions d'internautes ! Certes, Internet n'a pas connu le grand boom qu'a connu la téléphonie mobile en Algérie mais bon... L'une des raisons est que beaucoup d'algériens ne disposent encore pas d'une ligne de téléphonie fixe. La plupart des internautes se connectent via les cybercafés qui sont devenus au jour d'aujourd'hui de véritables espaces de rencontres virtuelles. Le fiasco qu'a connu l'opération Ousratic I, un PC par foyer, n'a pas arrangé les choses. Les grosses lourdeurs administratives, qui sont devenues chose courante dans notre pays, ont été pour beaucoup dans l'échec de ce projet.

Le problème du contenu algérien se pose également et a d'ailleurs été l'un des problèmes évoqués par M. Benhamadi ce matin lors du  Med-IT. En effet, selon le Ministre, " le manque de contenu algérien est l'une des principales raisons qui a fait que l'Algérie ait opté pour la 3G au lieu de la 4G ". Certaines institutions publiques ne disposent toujours pas de sites web ou, si site il y a, celui-ci n'est quasiment jamais ou rarement mis à jour.

Bref, en attendant, les opérateurs ont tous les yeux rivés sur la 3G. Les candidatures seront examinées dès la semaine prochaine par l'Autorité de Régulation de la Poste et des Télécoms (ARPT) et les licences devraient être attribuées dès le 23 octobre. Le Ministre a annoncé un passage à la technologie 3G dès le début de l'année prochaine. Espérons que les délais seront cette fois-ci respectés !
NTIC WEB

Algerie Technologies de l’information et de la communication

Un centre régional de la normalisation, dont le siège sera à Alger, est à l’étude, même si les équipements sont extrêmement coûteux», a déclaré Zohra Derdouri, présidente du conseil de l’Autorité de régulation de la poste et de technologie, avant-hier, au cercle militaire de Beni Messous à Alger, à l’ouverture de l’atelier régional sur la réduction de l’écart en matière de normalisation.

Organisé par l’ARPT en collaboration avec l’Union internationale des télécommunications (UIT), cet événement, auquel ont pris part des experts venus de pays africains et arabes, se fixe comme objectif de prodiguer des conseils et des bonnes pratiques sur la participation des pays en développement à l’élaboration de normes mondiales et sur le renforcement de leurs capacités d’adaptation aux normes. Présent à cet atelier régional, Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, a mis en exergue les efforts déployés par l’UIT pour réduire l’écart en matière de normalisation. «J’enregistre avec satisfaction l’importance accordée au niveau des pays arabes et africains pour le développement de l’usage qui est fait des TIC», a-t-il affirmé.
Pour lui, la sécurité électronique est impérative, une nécessité absolue à l’heure des bouleversements technologiques. «Le paysage des TIC s’est métamorphosé. Il faut relever le défi en se mettant à la normalisation et la standardisation», a-t-il appuyé. L’occasion est ainsi donnée aux entreprises de s’adapter aux nouvelles démarches en élaborant des normes techniques qui permettent d’étendre plus facilement au monde les bienfaits des TIC pour accéder au développement économique et à l’innovation technologique.
«L’installation de systèmes d’interopérabilité permet la mise en place de référentiels pour assurer un suivi et un contrôle rigoureux en termes de normes», a-t-il ajouté.

Autre intervenante lors de cet atelier régional, Khadidja Hamouda Ghariani, secrétaire générale de l’Organisation arabe des technologies de l’information et de la communication, qui a insisté sur la nécessité de parvenir à une «convergence technologique» pour  ne pas rester à la traîne des pays développés, qui enregistrent des progrès et des avancées considérables en matière de TIC, en encourageant la normalisation. Pour l’oratrice, ce n’est plus un secteur hautement technique, mais c’est devenu un domaine stratégique. C’est dans cette optique qu’elle recommande de passer du rôle peu enviable de consommateur à celui d’acteur à part entière.
Cependant, selon un autre intervenant, l’écueil se pose en termes d’élaboration des normes. La contrefaçon demeure, selon cet intervenant, le principal obstacle à l’établissement des normes. C’est dans ce sens qu’il est impératif de lutter efficacement contre ce fléau pour préserver la sécurité des usagers et des consommateurs.      
 
Meziane Cheballah elwatan

Algerie la société civile

Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

La société civile de Ghardaïa plaide pour plus d’espaces de concertation
Les pouvoirs publics doivent encourager les espaces de concertation permettant à la société civile de participer davantage à l’édification d’une stratégie nationale de développement ayant un impact positif sur la population, ont estimé mardi à Ghardaïa les participants à la rencontre de concertation sur le développement local. Initiée début septembre par le Conseil national économique et social (CNES) dans le cadre des réformes politiques engagées par le président de la République, cette rencontre de concertation a permis aux différents acteurs de la société civile de Ghardaïa d’exprimer leurs attentes et propositions en vue d’améliorer leurs conditions de vie quotidienne. Les intervenants ont émis le vœu d’ouvrir "un large débat" avec la participation des différentes couches sociales, sur différentes questions, concernant notamment l’éducation, la jeunesse et l’emploi ainsi que sur les critères d’élaboration du système salarial de tous les secteurs afin de remédier aux insuffisances enregistrées dans ces domaines et définir une politique adéquate à long terme permettant la concrétisation du principe de développement durable et de justice sociale.
"Ecoutez les gens du Sud, ils ont des spécificités", a insisté, dans ce sens, un représentant d’une association locale. Ils ont également mis l’accent sur la mise en place de mesures "concrètes et radicales" pour mettre un frein aux constructions anarchiques et illicites qui déforment le tissu urbain de la ville de Ghardaïa, classée "patrimoine universel" par l’Unesco et à la dégradation alarmante des palmeraies dans les oasis de la vallée du M’zab.
Plusieurs intervenants ont, en outre, préconisé la création de groupements urbains dans le sud afin d’occuper et de rentabiliser l’immense espace saharien et permettre ainsi la résorption du déficit dans le foncier consacré aux logements et infrastructures publiques.
Pour pallier l’épuisement des ressources énergétiques fossiles, les représentants de la société civile de Ghardaïa ont exhorté les pouvoirs publics à mettre en place une véritable politique de développement à grande échelle des énergies renouvelables variées (solaire, éolienne et géothermique).
Abordant le volet justice, un intervenant estime que "la crédibilité de l’autorité de l’Etat ne peut se concrétiser sans la crédibilité du système judiciaire du pays", appelant à mettre en place des mécanismes permettant "une justice d’équité pour lutter contre les maux qui rongent notre société", particulièrement la corruption, "El hogra" et la délinquance dans toutes ses formes.
Les participants à cette rencontre ont, à l’unanimité, exprimé le souhait de voir leurs préoccupations prises en charge par les pouvoirs publics, notamment le logement, l’emploi, la maintenance des infrastructures de base, l’élargissement du soutien à l’agriculture et à l’élevage ainsi que l’économie de l’eau.
De son côté, le président du CNES, Mohamed Seghir Babes, a réitéré son engagement à transmettre toutes les doléances et préoccupations de la société civile aux hautes instances de l’Etat en vue de les inclure avant la fin de l’année dans le programme des réformes politiques décidées par le chef de l’Etat.
La rencontre de concertation sur le développement local qui s’est ouverte hier lundi à Ghardaïa regroupant, pour la première fois, deux wilayas voisines (Ghardaïa et Ouargla), a permis aux deux walis de mettre en relief les efforts consentis par les pouvoirs publics durant la dernière décennie et les indicateurs de développement socio-économique, tout en réitérant leur volonté à être à l’écoute des propositions citoyens, élus et représentants de la société civile.
La prochaine rencontre de concertation se déroulera demain mercredi à Djelfa et regroupera deux autres wilayas à savoir Laghouat et M’Sila. Les rencontres locales de concertation, animées par le CNES, ont débuté le 5 septembre à Tindouf.
Sept wilayas du sud ont été concernées par ces rencontres. Il s’agit, outre Tindouf et Ghardaïa, d’Illizi, Tamanrasset, Adrar, Bechar, El Oued et Ouargla. Ces rencontres locales précèdent six assises régionales qui, elles mêmes, aboutiront à la tenue des assises nationales sur le développement local en décembre prochain.
En mai dernier, le CNES s’était vu confier, par le président de la République, la tâche d’animer la concertation nationale visant à adapter les objectifs du développement local aux attentes de la population.

mardi 27 septembre 2011

Alger emplacement géographique de premier choix

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Economie-Algérie

Economie-Algérie: Dépenses en augmentation, économie productive en attente
Encore un autre déficit budgétaire - Depuis le premier épisode de la crise économique mondiale en 2008, le gouvernement ne cesse de rassurer que l'Algérie reste à l'abri des conséquences d'une telle crise. Non en raison de la déconnexion du système financier algérien du système international, mais l'argument évoqué à chaque fois est la disponibilité du Fonds de régulation des recettes (FRR) doté de plus de 4 000 milliards dinars.

Même durant la période où les prix du pétrole ont connu une baisse, on évoquait cette couverture. «Le FRR nous permet de faire face aux dépenses pour deux, voire trois ans», indiquait à chaque sortie médiatique le ministre des Finances, Karim Djoudi. Voilà qu'aujourd'hui, dans le projet de loi de finances 2012, les rédacteurs avertissent : «Les disponibilités du FRR ne peuvent constituer une source de financement pérenne en raison de la volatilité des prix des hydrocarbures et de l'incompressibilité des dépenses courantes.» C'est une manière de souligner que l'Etat ne peut pas compter éternellement sur ce fonds institué en 2000 du temps de l'ancien ministre des Finances, Abdelatif Benachenhou.En 2000, les disponibilités du FRR étaient de 232 milliards de dinars, elles sont positionnées aujourd'hui à 4 842 milliards de dinars. Avec ce niveau, il y a la possibilité de couvrir trois années de déficit du Trésor. Un déficit qui était de l'ordre de 34% en 2011 pour une prévision de 25,4% en 2012. Certes, il y a une baisse du déficit de l'ordre de 8,6%. Mais, le gouvernement ne peut plus se permettre d'autres budgets déficitaires.

Quelle alternative devant une telle situation ? Car, théoriquement, les disponibilités actuelles du FRR devraient sécuriser les dépenses publiques sur une période de deux ans au-delà de 2014, si l'économie nationale continue à se baser sur les recettes d'hydrocarbures, des difficultés de financement des projets et autres chantiers risquent de surgir. Dans trois mois, le programme quinquennal 2010-2014 aura consommé deux ans. Qu'a-t-on fait au cours de cette période pour sortir du cercle de la rente pétrolière et instaurer, par ricochet, une économie diversifiée ? La réponse est claire, jusque-là pas grand-chose. L'Etat n'a fait que multiplier les dépenses pour sauvegarder les entreprises publiques à travers des plans de restructuration qui n'ont pas encore porté leurs fruits. L'objectif de faire passer le PIB de l'industrie de 5 à 10% en 2014 risque de ne pas être atteint. De nombreuses filières industrielles tardent à démarrer à l'image de l'industrie du médicament et l'industrie mécanique.

Les indicateurs macro-économiques restent positifs à la lumière de la dernière note de conjoncture de la Banque d'Algérie et du dernier rapport du Fonds monétaire international (FMI), mais le taux de croissance reste faible. L'économie productive peine à démarrer et le chômage continue à sévir notamment dans les zones rurales où le gouvernement a misé sur les projets de développement rural intégré, lesquels tardent aussi à donner des résultats. D'un autre côté, les investissements directs étrangers (IDE) se font toujours désirer. Certes, il y a eu un regain en 2011 par rapport à 2010, cependant...

La Tribune/

Algerie création d’entreprises Grande-Bretagne europe

La collaboration britannique avec l’Association nationale des échanges entre les jeunes (ANEJ) qui a clôturé, hier, des journées «portes ouvertes sur la micro-entreprise pour jeunes» qui se sont déroulés au Centre culturel du boulevard Mohamed V, à Alger centre, est une modeste contribution dans le cadre du programme de soutien aux Fonds arabes qui s’est illustré par la création du Fonds arabe de partenariat créé, suite aux événements du printemps arabe. C’est ce qu’a affirmé l’ambassadeur britannique à Alger, M. Martin Roper, lors d’une conférence de presse. Il a noté, à cette occasion, que l’Algérie, qui fait partie de ce programme, a les moyens de financer les projets des micro-entreprises et que  la Grande-Bretagne, qui collabore actuellement avec quatre organisations non gouvernementales autre que l’ANEJ (dont les scouts et le réseau Nada), intervient  dans les domaines de l’expertise, du développement des capacités et de la formation. Il a ajouté que le soutien financier aux projets sera déterminé selon les projets. Toutefois, «il est actuellement estimé à 5 millions de livres sterlings», a-t-il indiqué. 
Pour sa part, le président de l’ANEJ, Ali Sahel, a annoncé que cinq projets ont déjà bénéficié de ce fonds. «L’ambition est d’arriver à réaliser d’ici mars prochain une dizaine de micro-entreprises à condition qu’elles soient réelles. Nous ne faisons que démarrer. L’essentiel est de convaincre les jeunes qu’ils sont capables de créer leurs propres entreprises», a-t-il dit. M. Roper a précisé que cette expérience qui ne concerne actuellement que la capitale, sera probablement élargie aux autres wilayas. « Cela dépend des résultats », a-t-il souligné.
LE MINISTRE BRITANNIQUE DU COMMERCE EN VISITE À ALGER EN NOVEMBRE PROCHAINLe ministre britannique du Commerce, Vince Cable, effectuera, en novembre prochain, une visite de travail en Algérie, a indiqué l’ambassadeur du Royaume uni à Alger. Il a également annoncé que plusieurs missions économiques britanniques sont attendues en Algérie. La première qui est composée d’une dizaine d’hommes d’affaires se déplacera la semaine prochaine à Hassi Messaoud. D’autres missions économiques britanniques sont programmées pour les mois d’octobre, novembre prochains et janvier 2012. M. Roper a affirmé que le commerce est un volet important pour le renforcement des relations bilatérales entre les deux pays. «L’association du secteur privé est très liée à cet objectif. C’est pour cette raison que nous avons augmenté la coopération dans ce domaine», a-t-il dit. IL FAUT FAIRE VITE POUR ASSISTER AUX OLYMPIADES DE LONDRES Au sujet des visas, l’ambassadeur du Royaume uni a affirmé que son pays ne changera pas les modalités d’attribution pour 2012 qui connaîtra  l’organisation des jeux Olympiques et les festivités du 60e anniversaire de l’accession de la Reine Elizabeth au trône britannique. «Notre système sur le site web de l’ambassade est très efficace. Nous allons le garder. Nous attribuons environ 15 mille visas par an», a-t-il assuré.
Pour assister aux jeux Olympiques de Londres, «les athlètes auront un système un peu différend. Pour les visiteurs rien ne changera».HORIZON quotidien

Algerie Europe Desertec

Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

Le second Forum germano-arabe sera organisé, les 20 et 21 octobre à Berlin, par la Chambre arabo-allemande de commerce et d’industrie en collaboration avec la Deutsche Gesellschaft für Zusammenarbeit Internationale (GIZ), la Ligue des États arabes, l’Union générale des Chambres de commerce, d’industrie et agriculture des pays arabes, Desertec Industrial Initiative (DII) et l’Association allemande des ingénieurs conseils (VBI).
Ce Forum, qui aura lieu le 20 octobre prochain à Berlin, sera la suite du celui organisé, il y a une année, à Berlin et qui a été "un succès" dit-on puisqu’il a réussi à réunir environ 300 participants du monde des affaires. Pour les industriels allemands, ce sera une plate-forme idéale pour l’échange, une fois de plus, d’informations sur "les projets actuels, les plans et les perspectives de coopération dans le secteur de l’énergie".
On estime qu’il y a nécessité, aujourd’hui, de relancer de tout projet capable de "répondre à la demande croissante d’énergie pour les années à venir", notamment les "régimes d’énergie intelligente et efficace", sous-entendu le projet Desertec qui englobe déjà une partie du monde arabe, du Moyen-Orient à la région d’Afrique du Nord dont l’Algérie. Les responsables allemands ne cachent pas leur ambition, à travers leurs entreprises, de "présenter d’excellentes opportunités de coopération" disent-ils, au profit de nombre de pays arabes.
Ainsi, il a été retenu dans le cadre des différentes sessions du Forum, un large éventail de thèmes plus particulièrement les perspectives de "nouveaux partenariats dans les énergies renouvelables, le dessalement d’eau, l’efficacité énergétique, le développement des centrales, la formation et le savoir-faire en matière de transfert, ainsi que la sécurité des approvisionnements en énergie fossile".
La Chambre de commerce et d’industrie arabe, qui regroupe 21 pays dont l’Algérie, a signé lors du 1er Forum, tenu à Berlin les 14 et 15 octobre 2010 avec les partenaires allemands, un mémorandum dans le but d’intensifier la coopération avec les industriels de ce pays dans le domaine des énergies renouvelables, à l’instar des projets de dessalement, mais aussi de la production de l’énergie solaire grâce au leur grand projet Desertec qui implique aussi bien les pays arables que ceux de l’Europe en tant que futur marché d’exportation de l’électricité ainsi produite.
Pour rappel, le projet Desertec dont on parle depuis quelques années, intéresse l’Algérie puisque un privé, Cevital en l’occurrence, est déjà partie prenante, mais l’Algérie a émis plusieurs conditions dont la négociation du prix de cession de l’électricité, la fabrication des équipements ou leur intégration. Mais il semble bien parti puisque deux banques italiennes viennent, il y a quelques mois seulement, de le soutenir. Rappelons que Desertec a, pour objectif essentiel, de créer, d’ici 40 ans, un vaste réseau d’installations de stations éoliennes et solaires en Afrique du Nord, notamment en Algérie, au Sud du Sahara et au Moyen-Orient, qui fourniront à terme plus de 15% de la consommation d’électricité à l’Europe. L’investissement nécessaire est, soulignons le, évalué à plus de 400 milliards d’euros.
Horizons

lundi 26 septembre 2011

Coopération algéro-européenne

Par Samira Imadalou la tribune
Dans le cadre du programme d’appui à la mise en œuvre de l’accord d’association Algérie-Union européenne (P3A), dans sa deuxième phase, quinze nouveaux jumelages institutionnels sont prévus. Cette étape démarrera en janvier 2012, soit juste après la première phase  lancée en décembre 2007 et dotée d’une enveloppe financière de 10 millions d’euros pour cinq projets de jumelage. Pour cette  deuxième opération, l’unité de gestion du programme a dégagé 30 millions d’euros dont 1 million représente une contribution volontaire de l’Algérie. L’accord portant  financement de cette phase de P3A a été signé en mars dernier. C’est ce qu’a indiqué hier le nouveau directeur de l’unité de gestion du P3A (UGP3A), M. Abdelaziz Guend, lors d’une rencontre avec la presse.
Nouvellement installé à la tête de l’UGP3A, en remplacement de M. Aïssa Zelamti, actuellement secrétaire général du ministère du Commerce, M. Guend aura à mener ces projets avec une équipe d’experts algériens et européens, pour une période de trois ans.
Même si le démarrage de l’opération n’est prévu que pour janvier 2012, l’identification des nouveaux jumelages a commencé. A ce titre, quatre projets sont connus et les appels à propositions déjà lancés sur les sites web de la Commission européenne et du P3A. Ces projets concernent l’énergie, la pêche, l’agriculture et la justice. Au premier chapitre, c’est l’autorité de régulation de l’électricité et du gaz (CREG) qui bénéficiera d’un programme de renforcement de ses structures, de ses pouvoirs et de ses compétences. Et ce, en tant qu’autorité nationale de régulation.Il y a lieu, par ailleurs, d’appuyer les capacités du Centre national de recherche  pour le développement de la pêche et de l’aquaculture (CRDPA).Dans le secteur de l’agriculture, l’objectif assigné au jumelage est le développement de l’Observatoire des filières agricoles et agroalimentaires. Enfin, le Centre de recherche juridique et judiciaire (CRJJ) verra, au terme de ce programme, ses structures de fonctionnement renforcées. Une manière d’optimiser ses misions de recherche et d’expertise pour mieux légiférer. Parallèlement aux projets de jumelage, des missions d’assistance technique et d’échange d’informations (TAIEX) sont prévues. Elles viendront s’ajouter à celles ayant déjà eu lieu entre 2007 et 2011, au nombre de 29 (commerce, énergie, statistiques, justice, tourisme, aménagement du territoire...).Dans un proche avenir, le P3A compte introduire, selon M. Guend, un troisième instrument de coopération (en plus des jumelages et des TAIEX). Il s’agit de SIGMA, dont l’objectif est de multiplier les opportunités de rapprochement et d’échanges entre les institutions algériennes et celles des Etats membres de l’UE. Cet instrument concerne aussi bien les questions de gouvernance que celles liées à la  gestion administrative. Il reste à savoir si le programme lancé en trois phases, en vue de préparer les entreprises algériennes à l’horizon 2017 (zone de libre-échange Algérie-UE), dans le cadre de l’accord d’association Algérie-UE, apportera les résultats escomptés en matière d’amélioration de la compétitivité des entreprises algériennes. 

 S. I.

Algerie orientation pour la recherche des énergies renouvelables

Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

Il faut orienter la recherche vers les énergies renouvelables
Orienter davantage la recherche vers la thermique et vers les énergies renouvelables qui constituent essentiellement les énergies du futur a été la principale recommandation données lors des quinzième journées internationales de thermique organisées à l’université de Tlemcen du 24 au 26 septembre. Les participants au JITH 2011 ont souligné l’importance de l’aspect expérimentation en optant pour des plans de développement à même d’offrir les équipements adéquats nécessaires à l’application des résultats de recherche, afin d’éviter les simulations numériques comme c’est le cas actuellement dans différents laboratoires. Les séminaristes ont également recommandé de renforcer les collaborations avec les universités et laboratoires des pays membres des Journées internationales de thermique comme la France, la Tunisie, le Maroc et le Soudan.
La formation doctorale doit être placée sous la tutelle de divers établissements, afin de permettre aux doctorants de travailler en réseau (laboratoires, centres de recherche, universités...), ont-ils encore suggéré.
Le comité scientifique de ces 15es JITH a attribué quatre prix d’encouragement à des jeunes doctorants participant à cette rencontre pour la "qualité" et le "haut niveau" de leurs recherches.
Les prix ont été décernés respectivement à Mlle Sanaa Bannour, de Tunisie, Mme Samira Chader du Centre de développement des énergies renouvelables, Mme Ghellai Nacéra de l’Université de Tlemcen et M. Abdellatif Merabtine, jeune chercheur algérien établi à l’étranger.
Les 16es JITH seront organisées dans deux ans au Maroc, soit à l’université de Marrakech ou celle d’Oujda.

Algerie macro-économiques

Les indicateurs macro-économiques de l’Algérie sont jugés positifs dans le dernier rapport du Fonds monétaire international.Le rapport du Fonds monétaire international (FMI) sur les perspectives économiques mondiales, publié hier, prévoit pour l’Algérie une croissance du PIB de 2,9 % en 2011 et de 3,3 % en 2012, contre 3,3 % en 2010. Dans ses prévisions d’avril dernier, le FMI prévoyait un taux de croissance de 3,6 % pour 2011. Le Fonds note également que la balance des comptes courants du pays resterait positive avec 13,7 % du PIB en 2011 et 10,9 % en 2012, contre 7,9 % en 2010. « Ce taux dépasse la moyenne de celui des pays de la région MENA (hors Libye vu la situation politique incertaine) qui devrait se situer à 11,2 % en 2011 et à 9 % en 2012, contre 7,7 % en 2010 », est-il noté dans le rapport publié à l’occasion de la tenue prochaine de ses assemblées annuelles conjointement avec la Banque mondiale.
Dans les pays importateurs de pétrole de la même région, la balance des comptes courants restera négative à - 4,8 % en 2011 et à - 4,7 % en 2012. Sur la question de l’emploi, le Fonds relève que le taux de chômage connaît des baisses consécutives en Algérie : de 10 % en 2010, il devra reculer à 9,8 % en 2011 et à 9,5 % en 2012. Quant à l’inflation, le FMI estime qu’elle devrait passer de 3,9 % en 2011 à 4,3 % en 2012, contre 3,9 % en 2010. Sur ce point, il est constaté que « l’inflation en Algérie est, de loin, faible par rapport à la moyenne des pays de la région MENA, estimée par le FMI à 9,9 % en 2011 et à 7,6 % en 2012, contre 6,8 % en 2010 ».
Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com
D’après le Jeune Indépendant

Algerie l’ambassadeur français Mr Xavier Driencourt opportunités d’investissement

L’Algérie offre de nombreuses opportunités d’investissement aux entreprises françaises selon l’ambassadeur français Xavier Driencourt
Les entreprises françaises doivent être plus dynamiques en Algérie, a déclaré lundi à Relizane l’ambassadeur de France en Algérie, M. Xavier Driencourt. « De nombreuses possibilités sont offertes aux entreprises françaises désirant investir en Algérie », a souligné l’ambassadeur lors d’une conférence de presse en marge d’une visite dans la wilaya. « Il y a beaucoup de possibilités en Algérie et dans différents secteurs économiques », a observé M. Driencourt en insistant notamment sur les filières agricoles et alimentaires, domaines dans lesquels la France est, a-t-il dit, un des premiers leaders.
Il a évoqué à cet égard les partenariats noués entre des groupes algériens et français spécialisés dans l’alimentaire (SIM-Sanders, Danone-Bretagne international), ajoutant qu’il y a encore d’énormes potentialités sur le marché algérien. Les relations entre l’Algérie et la France connaissent une « particulière embellie » à tous les niveaux économiques et culturels, a estimé, également, l’ambassadeur. A Relizane, l’ambassadeur a visité la Centrale électrique réalisée en 2009 par le groupe Sonelgaz en partenariat avec la société française Alstom qui constitue le constructeur principal et le fournisseur en équipements de cette structure évaluée à plus de 38 milliards de DA. Cette centrale qui s’étend sur 12 hectares à 4 km du chef-lieu de la wilaya, a pour objectif de renforcer la sécurité de l’alimentation électrique de la région Ouest du pays tout en respectant l’environnement, a-t-on signalé.
Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com
D’après le Financier DZ

Alger la référence centre d'affaires

cente d'affaires Acades de l'AMIRAUTE ALGER entreprise spécialisée dans la mise à disposition d’espaces de travail pour les firmes. Ce centre vient ainsi consolider l’implantation en algerie  Ce centre d'affaires donnera la possibilité aux entreprises nationales et internationales de s’installer dans des zones d’affaires stratégiques et en pleine expansion. Ce  centre d’affaires permettra de ce fait d’accompagner la croissance et l’ouverture économique de ce pays. Il pourrait dans ce contexte favoriser l’établissement d’entreprises locales mais également de groupes internationaux désireux de se lancer sur le marché du Maghreb.

Nouveau Maghreb programme ambitieux de coopération

fenetre sur l'europe
Le nouveau Maghreb : pour un programme ambitieux de coopération


Tandis qu’en Libye, les dernières proches de résistance du régime khadafiste tombent, il est urgent pour l’Europe de réfléchir à un véritable programme d’aide à la gouvernance démocratique dans tous les pays où la démocratie a gagné ses galons de haute lutte.
[Patrick Martin-Genier]
Ne pas décevoir les espoirs démocratiques

Les espoirs nés des révolutions qui ont mis à bas des régimes brutaux et corrompus ne doivent pas être déçus ou venir s’échouer sur les rives paisibles de la Méditerranée comme si rien ne s’était passé.

Lorsque des peuples ont vécu des dizaines d’années sous l’oppression, les réflexes démocratiques n’existent pas et le risque est souvent que d’anciennes pratiques demeurent. En fin de compte, il ne faudrait pas que les nouveaux régimes qui se mettent en place, au nom de certaines habitudes de gouvernance, renoncent à court ou moyen terme à instaurer un véritable régime démocratique à l’occidentale. Ainsi, des élections au suffrage universel, moyennant le temps nécessaire à la mise en place de ces élections, devraient avoir lieu le plus rapidement possible, débouchant, si possible, sur une assemblée constituante chargée d’élaborer de nouvelles constitutions prévoyant un régime où les pouvoirs seraient équilibrés.

Continuer la révolution démocratique

Il existerait ainsi un pouvoir exécutif qui serait responsable devant un Parlement élu par les peuples, avec en outre un pouvoir judiciaire indépendant.

Demander cela semble d’une grande exigence. C’est pourtant la seule solution pour que la gouvernance démocratique soit juste et durable.

Mais la révolution politique ne devra certainement pas s’arrêter là. Il s’agit d’aller plus loin et de réformer en profondeur deux autres pouvoirs : le pouvoir judiciaire et le pouvoir administratif national et local.

S’agissant du premier, il est évident que ces pays ne connaissaient pas ce que signifiait avoir un système judiciaire autonome.Il existait certes des programmes de coopération avec les grandes démocraties occidentales, notamment l’Europe et en particulier la France qui passaient, avec les régimes déchus, par un programme de coopération entre les hautes juridictions de ces pays et le Conseil d’Etat français par exemple.

Des délégations se rendaient ainsi sur place pour montrer aux juges de ces pays ce que signifie chez nous la notion de délibéré et de prise de décision sans influence du pouvoir politique. Mais, de façon constante, les gouvernements intervenaient dans ces pays pour influencer le sens des jugements et il existait invariablement dans chacune de ces juridictions une sorte de « commissaire politique » chargé d’imposer les décisions voulues par les gouvernements. Une telle coopération ne servait ainsi quasiment à rien et était même utilisée à des fins de faire valoir par ces régimes. Aujourd’hui, il est évident que la mise en place d’un vrai système judiciaire doit passer par de nouvelles dispositions constitutionnelles créant des juges autonomes et indépendants du pouvoir politique.

Sera-ce possible ? Sera-ce compatible avec les coutumes de ces pays ?C’est à nous ainsi de leur proposer des pistes de réflexion et d’action en signant en urgence des accords avec l’Etat français afin que des délégations de magistrats puissent se rendre sur place.

Éradiquer la corruption

S’agissant du pouvoir administratif national et local, il s’agira en effet d’instaurer un mode de gouvernance faisant la place à la concertation, à la démocratie et devant se débarrasser de toute forme d’arbitraire et de corruption, même si nous devons sur ce point faire preuve d’une certaine modestie...

Sur ce chemin, la transition sera difficile et pourrait prendre aussi une bonne dizaine d’année. Ce qui s’est passé dans ces pays n’est pas l’apanage du Maghreb ; ce fut aussi le cas des entiers pays d’Europe de l’Est qui avait vécu pendant des décennies sous le joug communiste, pays corrompus au possible dès lors que la classe dominante servait ses seuls objectifs en disposant de l’opulence et des privilèges.

La circonstance que toutes les familles régnantes soient ainsi partis avec des stocks d’or ou des valises de billets, non sans avoir expatrié leurs biens pendant des années, montrent bien que servir le peuple n’était pas de loin la priorité des dictateurs.

Sur ce point, il pourrait être suggéré la mise en place d’un vaste programme de coopération qui pourrait faire l’objet d’accords avec l’Etat français, afin d’envoyer des équipes émanant des instituts régionaux d’administration pour les administrations d’Etat et le Centre national de la fonction publique territoriale pour les collectivités territoriales.

C’est ainsi qu’il avait été procédé dans le début des années 1990 avec les anciens pays d’Europe de l’Est.

Dès la période de transition démocratique en Pologne (le général Jaruzelski était encore président, mais M. Mazowiecki, du syndicat Solidarnosc était déjà Premier ministre), des équipes du CNFPT s’étaient rendues sur place pour proposer aides, conseils et axes d’action tandis que le projet de réforme de décentralisation était en voie de préparation.

Tout cela enfin devrait se faire en concertation avec l’Union européenne qui devra débloquer des fonds pour ce faire. L’Union pour la Méditerranée devrait être partie prenante du processus.

Il est donc urgent de prévoir ce système de coopération dans les semaines qui viennent sachant que d’autres pays pourraient à leur tour se libérer de pouvoirs dictatoriaux et solliciter notre aide.


Patrick Martin-Genier est Maître de conférence à l’Institut d’études politiques de Paris, spécialiste des questions européennes.

Algerie l’épargne nationale

L’épargne nationale doit être transformée en investissements productifs (Expert)
ALGER - L’enjeu de l’économie algérienne est de transformer l’épargne, qui se trouve au niveau des banques, en investissements productifs, a estimé dimanche l’expert en économie Mr Abdeldjellil Bouzidi.APS

Algerie atelier de formation sur les méthodes problèmes des énergies renouvelables

 

Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

Atelier de formation sur les méthodes de réduction de modèles (ROM) pour les problèmes des énergies renouvelables

Dimanche 25 septembre 2011
En continuité de l’école de printemps 2010 sur les Techniques CFD "Computational Fluid Dynamics" appliquées aux Energies Renouvelables organisée en mai 2010 au campus numérique francophone d’Alger, le Centre de Développement des Energies Renouvelables ( CDER ) organise, en partenariat avec l’Agence universitaire de la Francophone ( AUF ) une formation portant sur les méthodes de réduction de modèles (ROM) pour les problèmes des énergies renouvelables.
L’atelier de formation aura lieu du 24 au 26 octobre au Campus numérique francophone partenaire spécialisé en Energies Renouvelables Sis route de l’Observatoire Bouzaréah, Alger.
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dimanche 25 septembre 2011

Métro d'Alger le ticket fixé à 50 DA

Le prix du ticket du métro d'Alger, qui sera mis  en service vers le début du mois de novembre, a été fixé à 50 dinars, annoncent  dimanche l'Entreprise du métro d'Alger (EMA) et la société RATP EL Djazaïr. Un communiqué de ces deux entreprises indique que le prix unique,  permettant d'effectuer un ''aller simple'' sur la ligne 1 du métro d'Alger reliant  les deux terminus, Grande Poste et Hai El Badr, a été fixé à 50 DA. "Le ticket unique est destiné aux clients qui voyagent occasionnellement",  précise t-on, alors que le tarif d'un ticket 10 voyages, permettant de voyager  10 fois, est fixé à 400 DA, soit une réduction de 20% par rapport au prix du  ticket unique. Des abonnements seront également proposés pour des déplacement réguliers  avec une périodicité d'une semaine ou un mois, a-t-on ajouté. Le tarif d'un abonnement hebdomadaire pour une personne qui ferait  un aller-retour quotidiennement six jours sur sept, est fixé à 540 DA,  soit une réduction de 10% par rapport au prix du ticket unique. "Cet abonnement permet aussi un nombre de voyages illimité pendant sept  jours consécutifs", affirment les deux entreprises. Pour l'abonnement mensuel pour une personne qui ferait un aller retour  six jours sur sept chaque semaine pendant un mois, son prix est fixé à 1.820  DA, soit une réduction de 30% par rapport au ticket unique. "L'abonnement mensuel permet également un nombre de voyages illimité  pendant 30 jours consécutifs", souligne-t-on. A ce titre, l'EMA et la société RATP El Djazaïr, qui est chargée de  l'exploitation et de la gestion de la ligne Hai El Badr-La Grande poste, indiquent  que les détenteurs de ces abonnements bénéficieront d'une technologie évoluée,  identique aux grandes métropoles comme Paris, Londres, et Tokyo avec une carte  sans contact, personnalisable et rechargeable, qui permet de franchir plus rapidement  les lignes de contrôle. 

Algerie offres inédites dédiées aux entreprises

Acteur majeur dans le domaine des technologies de l’information et de la communication en Algérie, Wataniya Télécom Algérie-Nedjma participe, pour la septième année consécutive, à la 8e édition du Salon international des technologies de l’information Med-IT, prévu du 26 au 28 septembre 2011, au palais de la culture Moufdi-Zakaria à Alger.  Cet événement professionnel annuel, dédié aux innovations dans le domaine de l’Internet, des télécoms et de l’informatique, est organisé sous le haut patronage du ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication.  Située à la salle 1 du Palais de la culture, la surface d’exposition de Nedjma, de 72 m2, est aménagée en espaces distincts, dédiés aux offres Voix et Data, au Black Berry et autres produits Nedjma.  Nedjma-Entreprises présentera en avant-première son nouveau forfait à 4 000 DA, sur l’offre Pro-Contrôle destinée aux clients entreprises, ainsi qu’un large éventail de solutions de Voix et Data applicables dans divers domaines tels que la monétique.
La nouvelle offre, Pro-Contrôle 4 000, permet au client de bénéficier de nombreux avantages : des appels gratuits et sans limite de 8h à 18h vers Nedjma, des appels à seulement 2 DA la minute vers Nedjma de 18h à 8h, de SMS à seulement 2 DA vers tous les réseaux et des tarifs les plus bas du marché à 4 DA la minute vers les autres réseaux fixe et mobile 24h/24.
Le 8e Med-IT sera également l’occasion pour Nedjma de présenter Nedjma self-service. Une nouvelle solution sous forme de borne automatique de rechargement de crédit et d’achat de cartes de recharge en accès libre, disponible dans les boutiques de son réseau de vente. Ce service, qui est une première dans le secteur des télécommunications en Algérie, confirme l’engagement de Nedjma à offrir les meilleures prestations à ses clients et assoit son leadership dans le domaine de l’innovation technologique. Rédaction de Liberte

Algerie projet de loi de finances pour 2012

Le projet de budget initial pour l’exercice 2012 intègre également une série de mesures devant entériner les accords conclus lors de la dernière tripartite.

Aforte dominance sociale, le projet de loi de finances pour 2012 prévoit un déficit global du Trésor de 25,4% par rapport au PIB, contre un ratio prévisionnel en 2011 de près de 34%. Les recettes budgétaires devraient s’établir à 3455,6 milliards de dinars en 2012, soit en hausse de 8% par rapport à la LFC 2011. Une augmentation due, selon l’exposé des motifs, à l’évolution de la fiscalité non pétrolière (+225,0 milliards de dinars) contre une quasi-stabilisation de la fiscalité pétrolière (1561,6 milliards de dinars en 2012 contre 1529,4 milliards de dinars prévus par la LFC pour 2011. En contrepartie, les dépenses budgétaires s’inscrivent en baisse de -10,2% à 7428,7 milliards de dinars, en raison de la baisse de 29,2% des crédits de paiements au titre du budget d’équipement contre une hausse de 7,4% du budget de fonctionnement.
Mesures fiscales
Le projet de budget initial pour l’exercice 2012 intègre également une série de mesures devant entériner les accords pris lors de la dernière tripartite, à l’image des volets relatifs à la baisse de la pression fiscale.
Selon les premiers éléments publiés hier par l’APS, le projet de la LF 2012 introduira un alignement fait générateur de la TAP sur celui de la TVA. Alignement qui permettra désormais le paiement de la TAP sur le chiffre d’affaires encaissé et non celui facturé pour les prestations de services.

Le texte propose également la possibilité d’imposer les subventions d’équipement sur la durée d’amortissement au lieu d’une durée fixée à 5 ans actuellement. Ce mécanisme s’inscrit en conformité avec la règle de la comptabilisation des subventions prévue par le nouveau Système comptable et financier (SCF).Le projet de LF 2012 englobe aussi une imposition à l’IRG au lieu de l’exercice de l’activité ou de la profession des contribuables relevant du régime simplifié et ceux soumis au régime de la déclaration contrôlée.
Exonérations
Au chapitre des exonérations, les rédacteurs du texte ont tablé sur une suppression de la taxe applicable sur le blé dur importé, de la taxe de domiciliation bancaire de 3% sur les opérations de réassurance et de l’exonération de la TAP des promoteurs d’activités ou projets éligibles à l’aide du Fonds national de soutien aux microcrédits et d’une exonération de la TVA pour les banques et établissements financiers réalisant des opérations d’acquisition au titre de contrats de crédit-bail. Le projet de loi prévoit enfin la réduction du taux d’impôt forfaitaire unique de 12% à 5% au profit de l’activité de boulangerie ainsi que l’exemption des boulangers de la taxe sur les activités polluantes ou dangereuses sur l’environnement.
Cependant, la nouveauté la plus criarde introduite par le texte concerne le traitement de la fraude fiscale, qui balance vers une attitude moins répressive. Il s’agit, dans ce sens, pour l’administration fiscale de retirer les plaintes contre les fraudeurs dans le cas où ces derniers s’acquitteraient de 50% des droits simples et pénalités, de réduire de moitié des taux de pénalités pour fraude fiscale et d’établir des échéanciers de paiement de la dette fiscale.
Le projet de LF 2012 prévoit aussi l’institution d’une procédure de «rescrit fiscal», la réduction de moitié des délais de vérification de la comptabilité sur place ainsi que l’institution d’une procédure précontentieuse.
Tranchant nettement avec les amendements portés par l’APN lors de la présentation de la LFC 2011, le nouveau projet de loi réintroduit l’incessibilité de 10 ans des logements sociaux participatifs (LSP). Le texte propose également de soumettre les établissements publics à caractère industriel et commercial sous tutelle, ayant la qualité de maître d’ouvrage délégué aux règles budgétaires et comptables relatives aux opérations de dépenses d’équipement public.
Melissa Roumadi Elwatan
 
 
 

Algerie Europe Autriche énergies renouvelables

Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

Les énergies renouvelables en débat à l’ambassade d’Autriche
Dans une rencontre sur les énergies renouvelables organisée jeudi passé à Alger à l’initiative de l’ambassade d’Autriche, les représentants de la commission de régulation de l’électricité et du gaz et de l’Aprue (Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’énergie), ont énuméré un bon nombre de projets en la matière mais dont les fruits tardent encore à venir. A commencer par une réglementation, certes avantageuse pour les éventuels producteurs des énergies renouvelables, mais qui, hélas, ne peut être exercée sur le terrain. "Nous disposons de textes qui encouragent les projets spécifiques dans le domaine des énergies renouvelables, qui ont permis la création notamment du fonds national pour les énergies renouvelables et l’octroi de primes pour les producteurs des énergies renouvelables (à condition qu’ils soient inscrits dans un appel d’offres).

samedi 24 septembre 2011

Algerie énergies renouvelables moteur de création d’emplois et d’économie

Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

Les énergies renouvelables moteur de création d’emplois et d’économie des matières premières
Le développement des énergies renouvelables et la performance énergétique en Algérie constituent des vecteurs d’emplois et d’économie des matières premières, créateurs de richesse et une base solide pour la protection du climat, a indiqué hier à Tlemcen le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, MonsieurAourag Hafid.

Algerie promouvoir les meilleures réformes

Les défis à relever au niveau de chaque secteur  de l'économie nationale et de chaque région du territoire diffèrent dans  leur niveau  de développement. Toutefois, les discussions et autres plans relevant de l'aménagement du territoire s'articulent autour d'une politique portant sur des axes structurants et sur les capacités d'amélioration de la production. Ces politiques qui font partie intégrante du cadre d'une croissance forte, durable et équilibrée, reposent sur une initiative plus novatrice et sur une démarche précieuse en ce qu'elle aide à s'attaquer aux questions d'équilibre régional, tout en favorisant de nouvelles sources de croissance. Le tableau de bord de l'Algérie est de plus en plus contrasté. Il s'agit,  dans l'actualité présente de "structurer" les fondations d'une économie plus forte, plus compétitive et d'une justice sociale plus prononcée. Les progrès déjà accomplis  grâce aux différents programmes lancés ces dernières années,  ont mis en valeur les instruments ayant permis le soutien à la croissance et ont permis de  s'attaquer résolument à l'équilibre de la balance de paiement, la création d'emplois et à relever certains défis majeurs et qui sont propres au pays. Contrairement au passé douloureux vécu par l'Algérie et par toute la population, la situation présente continue de progresser. Il est de plus en plus d'actualité  de consacrer davantage de dépenses publiques aux objectifs sociaux et au progrès inscrits dans le programme politique. S'attaquer à ces défis restera une priorité pour le programme quinquennal 2010/2014. Les approches de développement requises récemment par le gouvernement s'imposent comme nouvelle  alternative  à effet économique et social. Il est nécessaire de les coordonner à travers le principe de la complémentarité. Cette nécessité renforce l'importance de l'action publique. Dans le même temps, les efforts devraient également s'intensifier pour faire face à d'autres attentes urgentes de la société.Les notes positives découlant du Conseil des ministres de février dernier sont aujourd'hui à "alimenter" et à renforcer par un fort engagement sur le terrain et au plus près des populations et des jeunes en particulier. Si l'on tient à construire l'avenir auquel aspire la Nation, il faut faire dans cette voie. Il s'agit,  en fait,  de faire les bons choix susceptibles de " fourmiller " de réflexions-solutions précieuses pour satisfaire  les des populations. Véritable référence de ce développement, le programme politique est crucial dans ce sens pour être poursuivit dans sa globalité afin de résoudre un très grand nombre de problèmes. La stratégie de ce programme offre un ensemble de débouchés pour les voies d'augmentation et de concept dans le cadre de la croissance liée à l'innovation au sens large, une concurrence intelligente, mais aussi un " pesant " investissement dans les ressources humaines, le renforcement des liens avec le monde des affaires et l'amélioration  de l'environnement réglementaire des entreprises avec la relance ou la reprise stricte de leur mise à niveau. La meilleure manière d'assurer ces mutations de l'économie nationale réside dans l'action d'assurer la stabilité financière du pays, de mieux gérer les ressources naturelles de façon durable, tout en protégeant le droit du citoyen à une vie décente, notamment que le chef de l'Etat,  grâce aux récentes mesures annoncées, a favorisé une réponse immédiate aux attentes des citoyens. L'esprit des défis actuels  et en particulier un objectif principal : promouvoir les meilleures réformes.
B. C.