LE PROFESSEUR ABDERRAHMANE MEBTOUL INVITE D’HONNEUR A DEUX RENCONTRES INTERNATIONALES A PARIS ET A MALTE 16/25 NOVEMBRE 2011
Deux importantes rencontres sont organisées en ce mois de novembre 2011 qui interpelle l’Algérie, l’une concernant la pratique des affaires, l’autre traitant du volet géostratégique.
A-.La première rencontre organisée par CM-CIC-Securites entreprise d’investissement du groupe mutualiste Crédit Mutuel CIC, 2ème groupe bancaire français le 16 novembre 2011, verra la présence de nombreuses personnalités européennes, du Maghreb et de l’Afrique plus de 200 personnalités, experts de renom et opérateurs . Suite à l’invitation du président de ce groupe financier international, le docteur Abderrahmane MEBTOUL interviendra pendant 30 minutes sur le thème « panorama de l’économie algérienne 2009/2011 bilan et perspectives de coopération, dans le cadre euro-méditerranéen et africain » .Seront développés les axes suivants
1.-Quelle est la situation sur le plan macro financier et macro économique : taux de croissance, taux de chômage, taux d’inflation, réserves de change, structuration des échanges : importation et exportation et quels sont les obstacles à l’investissement et comment les lever en améliorant l’environnement dont bureaucratie, système financier, foncier, système socio-éducatif ; l’apport des investissements étrangers mais qui doivent faciliter le transfert technologique et managérial par la formation des algériens.
2.-La question stratégique d’une transition d’une économie de rente à une économie hors hydrocarbures dans le cadre des valeurs internationales : à quel horizon les réserves pétrolières et gazières en Algérie devraient-elles arriver à épuisement fonction de l’évolution du prix international du gaz pour les 20 années à venir : stable, en baisse (concurrence des énergies renouvelables, du gaz de schiste…), en hausse (raréfaction du pétrole, demande énergétique mondiale tirée par la croissance des pays émergents) ? La croissance démographique algérienne dans 25 ans tenant compte de la demande énergétique interne pourra-t-elle être satisfaite par une transition énergétique réussie (solaire, nucléaire ce qui pose la problématique de la transition énergétique en Algérie (plan solaire, développement des énergies renouvelables, nucléaire…).
3.-Le professeur A.MEBTOUL les nouvelles mesures de l’investissement étranger en Algérie suite à la crise de l’économie mondiale depuis la loi de finances complémentaire 2009 concernant les hydrocarbures, le secteur industriel, les services, le secteur bancaire, et comment en faire un levier du partenariat quitte à les améliorer. Seront donc posées les modalités de l’insertion dans les échanges internationaux (grand Maghreb, processus d’adhésion à l’OMC, Accord d’association avec l’UE). Qu’est-ce que l’Algérie peut en attendre : spécialisation industrielle, gains de productivité et croissance, conformément à la théorie des avantages comparatifs ou regain d’importations et destruction du tissu industriel local si l’ouverture n’est pas opérée de manière suffisamment graduelle.
4.- Les déterminants immédiats en vue de parvenir au développement d’un appareil productif compétitif et diversifié : gouvernance, Etat de droit, rôle de l’Etat et aspects institutionnels formation/enseignement/recherche/innovation,( axe essentiel d’un bon partenariat) développement d’un secteur bancaire privé et des marchés financiers, insertion dans les échanges internationaux devant respecter le séquençage particulier entre ces divers éléments.
B.- Quant à la rencontre de Malte les 24/25 novembre 2011, une rencontre stratégique du fait de la haute qualité et du nombre des participations, une première du genre, elle regroupera plus de 400 personnalité internationales des deux rives de la Méditerranée , des experts de l’Europe de l’Est , de la communauté économique européenne dont d’anciens premiers ministres, ministres ,des députés européens et d’éminents experts de l’Algérie, du Maroc, de la Tunisie, de la Mauritanie et de la Lybie.
Suite à l’invitation du président de ce forum Europe/Maghreb lors un séminaire international sur les transitions politiques en Méditerranée au vu de la récente expérience notamment de ce que l’on qualifie de « « printemps démocratique arabe, l’intervention du professeur Abderrahmane MEBTOUL sera axée sur « les relations Europe/ Maghreb, dans la mondialisation, pour une prospérité partagée ». Comme le note les concepteurs de cette organisation,« le poids des contraintes de développement au sud de la Méditerranée et la resurgence toute récente d’un certain nombre d’aspirations positives dictent forcément une partie de l’agenda méditerranéen. Une transition est par définition un processus qui se construit dans la durée, sa nature renvoie pour partie à l’idée d’universalité et son caractère est enfin suffisamment aléatoire pour qu’il en résulte un besoin de contradiction et de confiance durables ». Il est prévu que les participants abordent les thèmes suivants.
1.-Les enjeux de la transition - Sud de la Méditerranée : quelles transitions, pourquoi, par qui et comment, les dimensions régionales et sécuritaires des enjeux de la transition au sud de la Méditerranée ; -les interrogations en matière de transition : la pertinence, les apports et limites du concept de transition appliqué au sud de la Méditerranée, les incertitudes et les risques des processus de transition au sud de la Méditerranée et l’apport des expériences en matière de transition : - Les expériences réussies ou semi-réussies (Espagne, Portugal, Pologne, etc), les échecs ou semis échecs, les leçons à retenir .
2.-Les moyens institutionnels et politiques de la transition : quelles institutions pour quelles transitions ; le rôle des forces armées et la question de la réforme des services de sécurité dans les situations de transition démocratique, les ressources et les moyens de la gouvernance dans des contextes fragiles et incertains ; les instruments économiques et financiers de la transition : les challenges, conditions et moyens économiques d’une transition effective, la réforme des institutions financières et les facteurs de dynamisation de l’investissement productif, quelles relations Nord-Sud et Sud-Sud pour quelle transition économique et financière et les facteurs de consolidation de l’efficacité des processus de transitions :le poids du religieux dans les transitions méditerranéennes en cours ; quel renouveau intellectuel arabe pour quelles transitions au sud de la Méditerranée et quelle prééminance du rôle des femmes dans l’efficacité des processus de transition ?
Dr Abderrahmane MebtoulDimanche 13 Novembre 2011 reflexion quotidien
Deux importantes rencontres sont organisées en ce mois de novembre 2011 qui interpelle l’Algérie, l’une concernant la pratique des affaires, l’autre traitant du volet géostratégique.
A-.La première rencontre organisée par CM-CIC-Securites entreprise d’investissement du groupe mutualiste Crédit Mutuel CIC, 2ème groupe bancaire français le 16 novembre 2011, verra la présence de nombreuses personnalités européennes, du Maghreb et de l’Afrique plus de 200 personnalités, experts de renom et opérateurs . Suite à l’invitation du président de ce groupe financier international, le docteur Abderrahmane MEBTOUL interviendra pendant 30 minutes sur le thème « panorama de l’économie algérienne 2009/2011 bilan et perspectives de coopération, dans le cadre euro-méditerranéen et africain » .Seront développés les axes suivants
1.-Quelle est la situation sur le plan macro financier et macro économique : taux de croissance, taux de chômage, taux d’inflation, réserves de change, structuration des échanges : importation et exportation et quels sont les obstacles à l’investissement et comment les lever en améliorant l’environnement dont bureaucratie, système financier, foncier, système socio-éducatif ; l’apport des investissements étrangers mais qui doivent faciliter le transfert technologique et managérial par la formation des algériens.
2.-La question stratégique d’une transition d’une économie de rente à une économie hors hydrocarbures dans le cadre des valeurs internationales : à quel horizon les réserves pétrolières et gazières en Algérie devraient-elles arriver à épuisement fonction de l’évolution du prix international du gaz pour les 20 années à venir : stable, en baisse (concurrence des énergies renouvelables, du gaz de schiste…), en hausse (raréfaction du pétrole, demande énergétique mondiale tirée par la croissance des pays émergents) ? La croissance démographique algérienne dans 25 ans tenant compte de la demande énergétique interne pourra-t-elle être satisfaite par une transition énergétique réussie (solaire, nucléaire ce qui pose la problématique de la transition énergétique en Algérie (plan solaire, développement des énergies renouvelables, nucléaire…).
3.-Le professeur A.MEBTOUL les nouvelles mesures de l’investissement étranger en Algérie suite à la crise de l’économie mondiale depuis la loi de finances complémentaire 2009 concernant les hydrocarbures, le secteur industriel, les services, le secteur bancaire, et comment en faire un levier du partenariat quitte à les améliorer. Seront donc posées les modalités de l’insertion dans les échanges internationaux (grand Maghreb, processus d’adhésion à l’OMC, Accord d’association avec l’UE). Qu’est-ce que l’Algérie peut en attendre : spécialisation industrielle, gains de productivité et croissance, conformément à la théorie des avantages comparatifs ou regain d’importations et destruction du tissu industriel local si l’ouverture n’est pas opérée de manière suffisamment graduelle.
4.- Les déterminants immédiats en vue de parvenir au développement d’un appareil productif compétitif et diversifié : gouvernance, Etat de droit, rôle de l’Etat et aspects institutionnels formation/enseignement/recherche/innovation,( axe essentiel d’un bon partenariat) développement d’un secteur bancaire privé et des marchés financiers, insertion dans les échanges internationaux devant respecter le séquençage particulier entre ces divers éléments.
B.- Quant à la rencontre de Malte les 24/25 novembre 2011, une rencontre stratégique du fait de la haute qualité et du nombre des participations, une première du genre, elle regroupera plus de 400 personnalité internationales des deux rives de la Méditerranée , des experts de l’Europe de l’Est , de la communauté économique européenne dont d’anciens premiers ministres, ministres ,des députés européens et d’éminents experts de l’Algérie, du Maroc, de la Tunisie, de la Mauritanie et de la Lybie.
Suite à l’invitation du président de ce forum Europe/Maghreb lors un séminaire international sur les transitions politiques en Méditerranée au vu de la récente expérience notamment de ce que l’on qualifie de « « printemps démocratique arabe, l’intervention du professeur Abderrahmane MEBTOUL sera axée sur « les relations Europe/ Maghreb, dans la mondialisation, pour une prospérité partagée ». Comme le note les concepteurs de cette organisation,« le poids des contraintes de développement au sud de la Méditerranée et la resurgence toute récente d’un certain nombre d’aspirations positives dictent forcément une partie de l’agenda méditerranéen. Une transition est par définition un processus qui se construit dans la durée, sa nature renvoie pour partie à l’idée d’universalité et son caractère est enfin suffisamment aléatoire pour qu’il en résulte un besoin de contradiction et de confiance durables ». Il est prévu que les participants abordent les thèmes suivants.
1.-Les enjeux de la transition - Sud de la Méditerranée : quelles transitions, pourquoi, par qui et comment, les dimensions régionales et sécuritaires des enjeux de la transition au sud de la Méditerranée ; -les interrogations en matière de transition : la pertinence, les apports et limites du concept de transition appliqué au sud de la Méditerranée, les incertitudes et les risques des processus de transition au sud de la Méditerranée et l’apport des expériences en matière de transition : - Les expériences réussies ou semi-réussies (Espagne, Portugal, Pologne, etc), les échecs ou semis échecs, les leçons à retenir .
2.-Les moyens institutionnels et politiques de la transition : quelles institutions pour quelles transitions ; le rôle des forces armées et la question de la réforme des services de sécurité dans les situations de transition démocratique, les ressources et les moyens de la gouvernance dans des contextes fragiles et incertains ; les instruments économiques et financiers de la transition : les challenges, conditions et moyens économiques d’une transition effective, la réforme des institutions financières et les facteurs de dynamisation de l’investissement productif, quelles relations Nord-Sud et Sud-Sud pour quelle transition économique et financière et les facteurs de consolidation de l’efficacité des processus de transitions :le poids du religieux dans les transitions méditerranéennes en cours ; quel renouveau intellectuel arabe pour quelles transitions au sud de la Méditerranée et quelle prééminance du rôle des femmes dans l’efficacité des processus de transition ?
1.-Quelle est la situation sur le plan macro financier et macro économique : taux de croissance, taux de chômage, taux d’inflation, réserves de change, structuration des échanges : importation et exportation et quels sont les obstacles à l’investissement et comment les lever en améliorant l’environnement dont bureaucratie, système financier, foncier, système socio-éducatif ; l’apport des investissements étrangers mais qui doivent faciliter le transfert technologique et managérial par la formation des algériens.
2.-La question stratégique d’une transition d’une économie de rente à une économie hors hydrocarbures dans le cadre des valeurs internationales : à quel horizon les réserves pétrolières et gazières en Algérie devraient-elles arriver à épuisement fonction de l’évolution du prix international du gaz pour les 20 années à venir : stable, en baisse (concurrence des énergies renouvelables, du gaz de schiste…), en hausse (raréfaction du pétrole, demande énergétique mondiale tirée par la croissance des pays émergents) ? La croissance démographique algérienne dans 25 ans tenant compte de la demande énergétique interne pourra-t-elle être satisfaite par une transition énergétique réussie (solaire, nucléaire ce qui pose la problématique de la transition énergétique en Algérie (plan solaire, développement des énergies renouvelables, nucléaire…).
3.-Le professeur A.MEBTOUL les nouvelles mesures de l’investissement étranger en Algérie suite à la crise de l’économie mondiale depuis la loi de finances complémentaire 2009 concernant les hydrocarbures, le secteur industriel, les services, le secteur bancaire, et comment en faire un levier du partenariat quitte à les améliorer. Seront donc posées les modalités de l’insertion dans les échanges internationaux (grand Maghreb, processus d’adhésion à l’OMC, Accord d’association avec l’UE). Qu’est-ce que l’Algérie peut en attendre : spécialisation industrielle, gains de productivité et croissance, conformément à la théorie des avantages comparatifs ou regain d’importations et destruction du tissu industriel local si l’ouverture n’est pas opérée de manière suffisamment graduelle.
4.- Les déterminants immédiats en vue de parvenir au développement d’un appareil productif compétitif et diversifié : gouvernance, Etat de droit, rôle de l’Etat et aspects institutionnels formation/enseignement/recherche/innovation,( axe essentiel d’un bon partenariat) développement d’un secteur bancaire privé et des marchés financiers, insertion dans les échanges internationaux devant respecter le séquençage particulier entre ces divers éléments.
B.- Quant à la rencontre de Malte les 24/25 novembre 2011, une rencontre stratégique du fait de la haute qualité et du nombre des participations, une première du genre, elle regroupera plus de 400 personnalité internationales des deux rives de la Méditerranée , des experts de l’Europe de l’Est , de la communauté économique européenne dont d’anciens premiers ministres, ministres ,des députés européens et d’éminents experts de l’Algérie, du Maroc, de la Tunisie, de la Mauritanie et de la Lybie.
Suite à l’invitation du président de ce forum Europe/Maghreb lors un séminaire international sur les transitions politiques en Méditerranée au vu de la récente expérience notamment de ce que l’on qualifie de « « printemps démocratique arabe, l’intervention du professeur Abderrahmane MEBTOUL sera axée sur « les relations Europe/ Maghreb, dans la mondialisation, pour une prospérité partagée ». Comme le note les concepteurs de cette organisation,« le poids des contraintes de développement au sud de la Méditerranée et la resurgence toute récente d’un certain nombre d’aspirations positives dictent forcément une partie de l’agenda méditerranéen. Une transition est par définition un processus qui se construit dans la durée, sa nature renvoie pour partie à l’idée d’universalité et son caractère est enfin suffisamment aléatoire pour qu’il en résulte un besoin de contradiction et de confiance durables ». Il est prévu que les participants abordent les thèmes suivants.
1.-Les enjeux de la transition - Sud de la Méditerranée : quelles transitions, pourquoi, par qui et comment, les dimensions régionales et sécuritaires des enjeux de la transition au sud de la Méditerranée ; -les interrogations en matière de transition : la pertinence, les apports et limites du concept de transition appliqué au sud de la Méditerranée, les incertitudes et les risques des processus de transition au sud de la Méditerranée et l’apport des expériences en matière de transition : - Les expériences réussies ou semi-réussies (Espagne, Portugal, Pologne, etc), les échecs ou semis échecs, les leçons à retenir .
2.-Les moyens institutionnels et politiques de la transition : quelles institutions pour quelles transitions ; le rôle des forces armées et la question de la réforme des services de sécurité dans les situations de transition démocratique, les ressources et les moyens de la gouvernance dans des contextes fragiles et incertains ; les instruments économiques et financiers de la transition : les challenges, conditions et moyens économiques d’une transition effective, la réforme des institutions financières et les facteurs de dynamisation de l’investissement productif, quelles relations Nord-Sud et Sud-Sud pour quelle transition économique et financière et les facteurs de consolidation de l’efficacité des processus de transitions :le poids du religieux dans les transitions méditerranéennes en cours ; quel renouveau intellectuel arabe pour quelles transitions au sud de la Méditerranée et quelle prééminance du rôle des femmes dans l’efficacité des processus de transition ?
Dr Abderrahmane Mebtoul
Dimanche 13 Novembre 2011 reflexion quotidien
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