Algerie Europe coopération durable

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Patrick le Berrigaud

mardi 13 novembre 2012

Génie local savoir-faire industrialisation Algerie l’horizon 2030



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Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES  

il faut faire reprendre le soleil par les Algériens

Samedi 10 novembre 2012
Le PDG de Sonelgaz, Noureddine Boutarfa, a conduit la délégation algérienne à la 3e conférence DII qui s’est clôturée hier à Berlin. Il a présenté la vision énergétique et de coopération de l’Algérie.
Vous avez présenté plusieurs interrogations à Berlin. Quelle impression gardez-vous de cette conférence ?
Mon impression c’est que le secteur des renouvelables est en pleine ébullition et que beaucoup de questions restent encore sans réponse, notamment celles de la technologie, de la réglementation et des problèmes d’interconnexion électriques entre le sud et le nord de la Méditerranée. Toutes ces questions sont toujours sur la table. De l’autre côté, on voit qu’il y a une volonté d’aller vers le renouvelable parce qu’en fait, c’est pratiquement une nécessité pour les années à venir.
L’Algérie a lancé son propre programme à l’horizon 2030. Qu’est-ce que Desertec peut apporter de plus ?
L’Algérie a posé son programme sur des déterminants internes, elle veut faire un mix énergétique à l’horizon 2030. On veut au moins avoir 40% d’intégration renouvelable dans le système électrique. Toute la machine est en train de travailler pour que cet objectif soit atteint. Il y a plusieurs projets qui sont en train d’être mis sur le terrain, mais c’est un processus long. Sinon, nous travaillons avec DII sur ce qu’il peut faire sur la partie exportation. Nous travaillons sur un projet de 1000 MW, car il faut voir toutes les difficultés, les préalables, les marchés, qui va acheter et comment, quelle interconnexion, qui sont développés et avec qui. Ce sont toutes ces questions qu’il faut résoudre avant. Il ne s’agit pas de faire une centrale pour nos propres besoins, mais une centrale pour l’exportation à 90%.
L’Algérie a-t-elle besoin de Desertec ?
Nous avons un accord de coopération avec Desertec et nous travaillons selon lui. Nous avons énormément de ressources et nous faisons tout pour en tirer le maximum de profits. Pour cela, nous voulons d’abord développer le génie local, le savoir-faire, l’industrialisation et faire reprendre le soleil par les Algériens.
Mina Adel, El watan

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